Catherine Deneuve justifie la signature de la tribune sur la « liberté d’importuner », texte qu’elle juge « vigoureux, à défaut de le trouver parfaitement juste », mais présente ses excuses aux victimes d’agression, dans une tribune publiée dimanche soir sur le site du quotidien Libération.
« Je salue fraternellement toutes les victimes d’actes odieux qui ont pu se sentir agressées par cette tribune parue dans le Monde, c’est à elles et à elles seules que je présente mes excuses », écrit l’actrice.