Après quelques semaines dans l’aventure « Secret Story », la Belge Pimprenelle et Adrien ont quitté la maison des secrets.
Le presque (vrai) couple de la Maison des Secrets n’a pas pu éviter la sanction du « sas » et a été éliminé par les téléspectateurs, la semaine dernière.
Rencontre avec les candidats.
Comment jugez-vous votre parcours ?
Adrien : Je suis dans la petite maison avec Pimprenelle déjà dedans, c’est vraiment un conte de fées. C’est une expérience incroyable. Heureusement, nous sommes partis en même temps.
Pimprenelle : On arrive avec plein de gens sur le plateau, on découvre un nouveau monde. C’est très intense émotionnellement. C’est décevant de sortir avant la finale mais nous sommes fiers de notre parcours.
Vous avez des secrets qui ont marqué votre vie chacun. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Adé. : Je découvre ma sœur à l’âge de 16 ans, elle a quatre ans de moins que moi. Elle vit dans une ville voisine, je découvre ça grâce à un collègue du lycée. Il rencontre quelqu’un qui a les mêmes traits de visage. J’ai mené mon enquête et j’ai bien une petite sœur. Aujourd’hui, elle est dans notre famille, on mérite cette vie de famille. Je suis très fier d’elle.
Pimp. : J’ai eu un grave accident de surf à Bali. C’est assez grave. Ils font un vrai travail sur mon visage. Je ne connais quasiment personne, ma famille est en Belgique. La plupart des cicatrices sont à l’intérieur de ma mâchoire. Ma bouche est un chemin de fer. On a refait mes dents et ma mâchoire, tout est neuf.
Est-ce que cela a été une force de vous unir dans le jeu ?
Adé. : Oui, clairement. On a créé une union assez tôt dans le jeu. On a deux cerveaux pour réfléchir.
Pimp. : Notre connexion est naturelle. C’est une épaule dans le jeu, un allié dans le jeu.
Vous avez eu une aventure amoureuse dans le jeu. Est-ce un coup de foudre ou un moyen de prolonger le jeu ?
Adé. : En dix minutes, on savait qu’on avait un faible l’un pour l’autre.
Pimp. : Quand la sœur d’Adrien me voit dans la maison, elle se dit que c’est pour Adrien. Moi, je savais que j’étais condamné. La première nuit, je vois les problèmes à venir.