L’animateur de la matinale de Classic 21 va marcher durant tout le week-end pour CAP48.
Pour la quatrième année, les « Baroudeurs de CAP48 » vont traverser la Wallonie, à pied, pour rejoindre Liège, et la grande soirée de clôture de l’opération, dimanche à 20h15, en direct sur La Une. Objectif : récolter des fonds pour soutenir les services de répit.
Dès ce samedi à 19h10 (départ sur La Une), Sébastien Nollevaux et Raphaël Scaini vont marcher 160 km dans les Ardennes, partant de Namur et passant par Yvoir, Ciney, Marche-en-Famenne et Durbuy. Nouveauté cette année : les deux animateurs connaissent le parcours, mais pas ce qui les attend pendant deux jours…
Pourquoi ne plus garder la surprise du parcours ?
Les gens que nous croisions en rue étaient surpris de nous voir et un peu déçus de ne pas pouvoir nous aider. Désormais, nous savons où nous allons.
Êtes-vous préparé pour ces 160 km ?
J’ai de moins en moins de temps pour me mettre en condition… Et l’âge étant là, je devrais me préparer davantage, mais c’est l’inverse. C’est dur, les pieds trinquent… Mais une fois la fatigue passée, on est fier et déjà motivé pour l’année suivante.
Le parcours est difficile…
Pas de canal, pas de chemin de halage, ni de RAVeL. J’utiliserai ma montre GPS pour connaître le dénivelé que nous allons parcourir.
Qu’est-ce qui vous fait tenir ?
Avec Sébastien, je ris beaucoup : c’est un ami dans la vie. Il y a les gens qui viennent à notre rencontre. Et les épreuves permettent de nous garder éveillés aussi. Nous les découvrirons au fur et à mesure du parcours. Elles restent secrètes. Ce qui n’a pas changé, c’est que je ne sais toujours pas nager !
La météo n’est pas toujours clémente…
C’est l’automne, mais l’ambiance est particulière. Il y a deux ans, près de La Roche, le paysage nous faisait penser aux forêts du Canada, avec ses couleurs rouges, orange, vertes… C’était magnifique. Par contre, en 2024, nous avons passé une nuit dans une camionnette non chauffée alors qu’il gelait.
Pourquoi « Les Baroudeurs » ?
C’est une idée de Sébastien. Son rêve, un peu fou, était de partir du « CAP48 » et de revenir par nos propres moyens, sans un sou en poche. On a cherché le croisement de la longitude et de la latitude 48 °N sur le globe… On aurait été lâchés au milieu du Kazakhstan. Il aurait fallu passer par la Russie ! Nous avons été plus raisonnables, mais j’étais partant pour cette aventure !
Pour faire un don
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