Pour le réveillon du Nouvel An, ce mercredi à 22h, Vincent Taloche propose un spectacle non pas humoristique, mais musical, en hommage à son idole : Bourvil.
C’est en écoutant régulièrement ses chansons qu’il s’est lancé le défi de reprendre une partie de son répertoire, de façon très personnelle. Entouré de musiciens, il nous livre un concert tout en douceur, entre rire et tendresse.
Pourquoi chanter Bourvil ?
Il a provoqué mon premier émoi artistique. J’étais petit garçon, je devais avoir 4 ans maximum quand j’ai vu Bourvil dans «La Bonne planque», à la télévision. J’ai eu un choc. Il dégageait une humanité si rare, une tendresse si profonde que cela m’a marqué profondément. Il m’a énormément inspiré. Sans Bourvil, il n’y aurait jamais eu les Frères Taloche…
Vous avez choisi 22 chansons…
Ce sont des titres connus et moins connus, de petites perles. C’est aussi une balade sur sa vie : je raconte son parcours, pourquoi il s’appelle Bourvil, comment il a débuté, comment sa carrière a évolué, jusqu’à son décès (il est mort jeune, à 53 ans). Ce qui est magnifique, c’est que ses fi ls, qui ont vu le spectacle, nous ont confié énormément de photos totalement inédites et privées. Elles sont projetées derrière moi, sur grand écran et je les commente. Ce n’est donc pas qu’un concert.
Cet article est paru dans le Télépro du 25/12/2025