Audiences : plus d’un téléspectateur sur 4 devant l’Eurovision !

Audiences : plus d’un téléspectateur sur 4 devant l’Eurovision !
Pierre Bertinchamps Journaliste

C’est un record en parts de marché pour une demi-finale de l’Eurovision sur la RTBF. Plus de 400.000 personnes ont voulu voir comment Loïc Nottet se défendait à Vienne !

Au lendemain de la qualification de Loïc Nottet pour la finale de l’Eurovision qui se tiendra samedi soir, la RTBF avait un peu la tête dans les choux d’avoir trop fêté l’exploit.

Mais les audiences parues ce mercredi matin, ont fait ressortir le champagne à Reyers.

Un téléspectateur sur 4

En effet, 414.103 personnes ont suivi assidument la première demi-finale de l’Eurovision, commentée par Maureen Louys et Jean-Louis Lahaye, soit 26,9 % de parts de marché. C’est un record depuis l’instauration des demi-finales en 2004.

La RTBF précise que la courbe est restée stable avec un petit frémissement «normal» au moment de sortir les dix enveloppes des qualifiés.

Quant au portrait de Françoise Demey, «Il était une voix», l’apéritif de cette soirée Eurovision sur La Une, il a réuni 298.824 personnes, soit 17 % du public.

«Les Orages de la vie» en forme aussi

De son côté, RTL-TVI réalise une bonne opération aussi. «Les Orages de la vie» consacré au drame du Heysel a intéressé 543.770 personnes (31,1 %). Par contre, la série «Blacklist» ne fait plus recette et tombe à 17,4 % du public (pour 298.000 fans).

Stéphane Bern n’est jamais en berne !

Une fois n’est pas coutume, c’est France 2 qui prend la 3e marche du podium. «Secrets d’Histoire» a séduit 205.315 Belges, soit 12,7 % du public. «Le Grand restaurant», sur Club RTL, a fait le bonheur de 159.580 téléspectateurs (9,1 %). Preuve qu’un bon de Funès, ça marche toujours.

La RTBF espère faire une très belle opération samedi aussi avec le Concours Eurovision de la Chanson. Avec un Belge dans la course, un soir de finale est toujours synonyme de bonnes audiences.

Mais attention, cette année, c’est France 2 qui prend le relais sur les chaînes françaises, au lieu de France 3. Un changement qui pourrait rendre le téléspectateur plus volatile…

Pierre Bertinchamps

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