Eurovision 2018 : la Belgique va se la jouer James Bond Girl

Eurovision 2018 : la Belgique va se la jouer James Bond Girl
Pierre Bertinchamps Journaliste

La chanson qui nous représentera à Lisbonne est (enfin) dévoilée. Avec «A Matter of Time», Sennek prend une belle option sur la finale.

Même si la VRT avait exigé un embargo à la presse, le titre de Sennek a déjà fuité sur les réseaux sociaux, dimanche soir, obligeant la chaîne flamande à revoir ses plans en matière de communication…

Le clip de «A Matter of Time» a bien été présenté lundi, à Bruxelles. Il reflète le côté mystérieux qu’aime laisser planer Laura Groeseneken autour d’elle. Avec un son typique du groupe Hooverphonic, formation avec qui Sennek a déjà collaboré, et aussi parce que le co-compositeur du titre est Alex Calier, membre de Hooverphonic (titre produit par le français Maxime Tribeche, NDLR).

Bruxelles en 2019 ?

En cas de victoire, les deux chaînes publiques devraient collaborer pour l’organisation de l’édition 2019. Où ? «C’est trop tôt pour l’évoquer», détaille Paul Lembrechts, directeur général de la VRT. «Si on revient avec le trophée, on se mettra autour de la table dès le lendemain pour se pencher sur l’organisation. Je pense que c’est ce que font tous les pays qui remportent l’Eurovision.» La RTBF aussi précise qu’en cas de nouvelle victoire, les deux télévisions mettront leurs forces en commun…

La Belgique part avec des bonnes ondes pour Lisbonne. À deux mois du concours, il est un peu tôt pour faire des plans sur la comète, mais on espère que Sennek a une bonne étoile qui veille sur elle !

Pierre Bertinchamps

Re-découvrez sa chanson, «A Matter of Time» :

Évidemment le défi est important. «J’ai réfléchi quelques jours avant de dire oui. C’est une grande décision, et il faut aussi penser à l’«après», en cas de déroute.» Et Sennek confie que «j’avais déjà cette chanson en tête quand j’ai accepté d’aller à l’Eurovision.»

Être authentique pour séduire l’Europe

La mélancolie et le côté mystérieux seront-ils des handicaps pour un concours où il faut convaincre en trois minutes ? «Je veux proposer quelque chose de différent des autres. J’aime le côté mystique et le noir. C’est intéressant comme style, après, il faudra voir si le grand public y adhère aussi. C’est important pour moi de proposer quelque chose que j’aime bien et qui vient de mes tripes. Quand on est authentique, on touche plus facilement les gens. »

Bruxelles en 2019 ?

En cas de victoire, les deux chaînes publiques devraient collaborer pour l’organisation de l’édition 2019. Où ? «C’est trop tôt pour l’évoquer», détaille Paul Lembrechts, directeur général de la VRT. «Si on revient avec le trophée, on se mettra autour de la table dès le lendemain pour se pencher sur l’organisation. Je pense que c’est ce que font tous les pays qui remportent l’Eurovision.» La RTBF aussi précise qu’en cas de nouvelle victoire, les deux télévisions mettront leurs forces en commun…

La Belgique part avec des bonnes ondes pour Lisbonne. À deux mois du concours, il est un peu tôt pour faire des plans sur la comète, mais on espère que Sennek a une bonne étoile qui veille sur elle !

Pierre Bertinchamps

Re-découvrez sa chanson, «A Matter of Time» :

À voir certaines sélections nationales, on ne devrait pas être déçus. Pour la Belgique, le côté mystérieux voir mystique de Sennek devrait être la thématique sur la scène du Meo Arena.

Un honneur de représenter la Belgique

Pour Sennek, l’Eurovision n’était pas une fin en soi. «Je regardais le Concours quand j’étais plus jeune avec ma famille, mais je ne me suis jamais dit que j’allais y participer», confie-t-elle. «C’est la VRT qui m’a contactée pour représenter la Belgique. Pour moi, c’était un honneur…»

Évidemment le défi est important. «J’ai réfléchi quelques jours avant de dire oui. C’est une grande décision, et il faut aussi penser à l’«après», en cas de déroute.» Et Sennek confie que «j’avais déjà cette chanson en tête quand j’ai accepté d’aller à l’Eurovision.»

Être authentique pour séduire l’Europe

La mélancolie et le côté mystérieux seront-ils des handicaps pour un concours où il faut convaincre en trois minutes ? «Je veux proposer quelque chose de différent des autres. J’aime le côté mystique et le noir. C’est intéressant comme style, après, il faudra voir si le grand public y adhère aussi. C’est important pour moi de proposer quelque chose que j’aime bien et qui vient de mes tripes. Quand on est authentique, on touche plus facilement les gens. »

Bruxelles en 2019 ?

En cas de victoire, les deux chaînes publiques devraient collaborer pour l’organisation de l’édition 2019. Où ? «C’est trop tôt pour l’évoquer», détaille Paul Lembrechts, directeur général de la VRT. «Si on revient avec le trophée, on se mettra autour de la table dès le lendemain pour se pencher sur l’organisation. Je pense que c’est ce que font tous les pays qui remportent l’Eurovision.» La RTBF aussi précise qu’en cas de nouvelle victoire, les deux télévisions mettront leurs forces en commun…

La Belgique part avec des bonnes ondes pour Lisbonne. À deux mois du concours, il est un peu tôt pour faire des plans sur la comète, mais on espère que Sennek a une bonne étoile qui veille sur elle !

Pierre Bertinchamps

Re-découvrez sa chanson, «A Matter of Time» :

Depuis 2015, la Belgique fait un sans-faute à ce niveau-là dans la compétition. Après, «ce n’est que du bonus», clame-t-on des deux côtés de la Cité Reyers. «On devrait se retrouver en finale, et dans la colonne de gauche (les 13 premiers, NDLR)», assure Peter van de Veire, commentateur de l’Eurovision pour la VRT. «Le titre sonne à la fois Hooverphonic et James Bond, et Laura a une voix extraordinaire. En plus, elle n’a pas de stress sur scène. L’Eurovision devrait être une formalité pour elle.»

Du mystère pour Lisbonne

Sur scène justement, à ce stade, on n’a pas encore trop d’idées sur la prestation. À l’inverse des dernières années, il n’y aura pas d’écran géant en led, en guise de décor, à Lisbonne. On revient à quelque chose de plus minimaliste. Aux délégations de déborder d’idées pour rendre le show aussi impressionnant que les autres années.

À voir certaines sélections nationales, on ne devrait pas être déçus. Pour la Belgique, le côté mystérieux voir mystique de Sennek devrait être la thématique sur la scène du Meo Arena.

Un honneur de représenter la Belgique

Pour Sennek, l’Eurovision n’était pas une fin en soi. «Je regardais le Concours quand j’étais plus jeune avec ma famille, mais je ne me suis jamais dit que j’allais y participer», confie-t-elle. «C’est la VRT qui m’a contactée pour représenter la Belgique. Pour moi, c’était un honneur…»

Évidemment le défi est important. «J’ai réfléchi quelques jours avant de dire oui. C’est une grande décision, et il faut aussi penser à l’«après», en cas de déroute.» Et Sennek confie que «j’avais déjà cette chanson en tête quand j’ai accepté d’aller à l’Eurovision.»

Être authentique pour séduire l’Europe

La mélancolie et le côté mystérieux seront-ils des handicaps pour un concours où il faut convaincre en trois minutes ? «Je veux proposer quelque chose de différent des autres. J’aime le côté mystique et le noir. C’est intéressant comme style, après, il faudra voir si le grand public y adhère aussi. C’est important pour moi de proposer quelque chose que j’aime bien et qui vient de mes tripes. Quand on est authentique, on touche plus facilement les gens. »

Bruxelles en 2019 ?

En cas de victoire, les deux chaînes publiques devraient collaborer pour l’organisation de l’édition 2019. Où ? «C’est trop tôt pour l’évoquer», détaille Paul Lembrechts, directeur général de la VRT. «Si on revient avec le trophée, on se mettra autour de la table dès le lendemain pour se pencher sur l’organisation. Je pense que c’est ce que font tous les pays qui remportent l’Eurovision.» La RTBF aussi précise qu’en cas de nouvelle victoire, les deux télévisions mettront leurs forces en commun…

La Belgique part avec des bonnes ondes pour Lisbonne. À deux mois du concours, il est un peu tôt pour faire des plans sur la comète, mais on espère que Sennek a une bonne étoile qui veille sur elle !

Pierre Bertinchamps

Re-découvrez sa chanson, «A Matter of Time» :

«J’aime bien les chanson mélancoliques», raconte Sennek. «Et pour moi, Alex est le meilleur compositeur du pays. Et comme on a déjà travaillé ensemble, c’était une évidence que l’on face ce titre à deux.»

Des rêves de James Bond Girl ?

Il n’échappe pas aux oreilles les plus expérimentées que «A Matter of Time» a des accents très «Bondiens». Et la chanteuse ne cache pas son amour pour ce type de musique de film où la présence des cordes est prépondérante, mais également le chant qui va crescendo (comme dans son titre).

De là à dire que Sennek rêve d’être une James Bond Girl ? «Pas vraiment !», sourit-elle.

Assurément en finale !

Que ce soit de la part des hautes instances de la VRT ou chez les fans (souvent très optimistes quand on parle de «leur» chanson pour l’Eurovision), le passage en finale est – une nouvelle fois – assuré.

Depuis 2015, la Belgique fait un sans-faute à ce niveau-là dans la compétition. Après, «ce n’est que du bonus», clame-t-on des deux côtés de la Cité Reyers. «On devrait se retrouver en finale, et dans la colonne de gauche (les 13 premiers, NDLR)», assure Peter van de Veire, commentateur de l’Eurovision pour la VRT. «Le titre sonne à la fois Hooverphonic et James Bond, et Laura a une voix extraordinaire. En plus, elle n’a pas de stress sur scène. L’Eurovision devrait être une formalité pour elle.»

Du mystère pour Lisbonne

Sur scène justement, à ce stade, on n’a pas encore trop d’idées sur la prestation. À l’inverse des dernières années, il n’y aura pas d’écran géant en led, en guise de décor, à Lisbonne. On revient à quelque chose de plus minimaliste. Aux délégations de déborder d’idées pour rendre le show aussi impressionnant que les autres années.

À voir certaines sélections nationales, on ne devrait pas être déçus. Pour la Belgique, le côté mystérieux voir mystique de Sennek devrait être la thématique sur la scène du Meo Arena.

Un honneur de représenter la Belgique

Pour Sennek, l’Eurovision n’était pas une fin en soi. «Je regardais le Concours quand j’étais plus jeune avec ma famille, mais je ne me suis jamais dit que j’allais y participer», confie-t-elle. «C’est la VRT qui m’a contactée pour représenter la Belgique. Pour moi, c’était un honneur…»

Évidemment le défi est important. «J’ai réfléchi quelques jours avant de dire oui. C’est une grande décision, et il faut aussi penser à l’«après», en cas de déroute.» Et Sennek confie que «j’avais déjà cette chanson en tête quand j’ai accepté d’aller à l’Eurovision.»

Être authentique pour séduire l’Europe

La mélancolie et le côté mystérieux seront-ils des handicaps pour un concours où il faut convaincre en trois minutes ? «Je veux proposer quelque chose de différent des autres. J’aime le côté mystique et le noir. C’est intéressant comme style, après, il faudra voir si le grand public y adhère aussi. C’est important pour moi de proposer quelque chose que j’aime bien et qui vient de mes tripes. Quand on est authentique, on touche plus facilement les gens. »

Bruxelles en 2019 ?

En cas de victoire, les deux chaînes publiques devraient collaborer pour l’organisation de l’édition 2019. Où ? «C’est trop tôt pour l’évoquer», détaille Paul Lembrechts, directeur général de la VRT. «Si on revient avec le trophée, on se mettra autour de la table dès le lendemain pour se pencher sur l’organisation. Je pense que c’est ce que font tous les pays qui remportent l’Eurovision.» La RTBF aussi précise qu’en cas de nouvelle victoire, les deux télévisions mettront leurs forces en commun…

La Belgique part avec des bonnes ondes pour Lisbonne. À deux mois du concours, il est un peu tôt pour faire des plans sur la comète, mais on espère que Sennek a une bonne étoile qui veille sur elle !

Pierre Bertinchamps

Re-découvrez sa chanson, «A Matter of Time» :

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