
J’ai goûté aux joies du télétravail, mais l’assaisonnement est à revoir.
Télétravail, jour 1 : Veille de l’annonce du confinement... Je décide de prendre ma demi-heure de temps de midi pour profiter d’une promo au supermarché du coin (la pasta en 1 + 1, c’est un exercice culturel chez moi). Résultat : 45 minutes (et 45 soupirs) à la caisse. Je ne devais pas être le seul télétravailleur à avoir lorgné sur cette promo alléchante... Mauvais calcul. Pas grave, je rattraperai le temps perdu et décalerai le souper (pouce levé).
Télétravail, jour 2 : Il est 11h30 quand, d’un coup, tout se coupe et des alarmes, au loin, retentissent. Panne générale d’électricité. Les confinés de ma ville, sur une page Facebook, s’inquiètent de ne plus avoir accès à leur télévision. Moi de ne plus pouvoir travailler sur le Télépro de la semaine suivante... Temps d’attente avant rétablissement de l’électricité : une heure ! Pas grave, je rattraperai le temps perdu et décalerai le souper (double pouces levés).
Télétravail, jour 3 : Tout est lent ! Vive la connexion à distance ! Paraît qu’on vit au ralenti. Après tout, je dois être dans le bon... Pas grave, je rattraperai le temps perdu et... je commanderai une pizza !
Fabio Greco
Employé de rédaction