
Dire que nous vivons une période compliquée est un euphémisme. Et il est certain que de nombreuses familles en garderont un souvenir douloureux. Malgré tout, et si au lieu de se focaliser sur les rues vides, nous nous concentrions pour voir le verre à moitié plein ?
Depuis le début du confinement, j’appelle régulièrement mes grands-parents pour prendre de leurs nouvelles, je discute en vidéo avec ma famille à l’étranger ou mes amies disséminées aux quatre coins de la Belgique, je découvre des rues de mon quartier que j’habite pourtant depuis toujours, je dévore des romans le week-end et j’ai même l’impression de parler davantage à mes collègues, pourtant tous en télétravail, que lorsque nous sommes tous dans le même bureau.
Et si, aussi incroyable que cela puisse paraître, il y avait du bon à retirer de ces moments ?
Juliette Rousseau
Journaliste