Amir : «Ça me fait plaisir de redémarrer par la Belgique !» (interview)

Amir : «Ça me fait plaisir de redémarrer par la Belgique !» (interview)
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Cela fait trois ans que l’on a découvert Amir grâce à «The Voice : la plus belle voix» (TF1). Depuis, il ne cesse de nous faire danser avec ses nombreux tubes.

 «J’ai cherché», «On dirait» ou encore «Les Rues de ma peine»… À chaque titre sa part de voyage et de bonne humeur que le chanteur défend avec son éternel sourire. Des valeurs que l’interprète n’a pas oublié d’emporter avec lui lors de sa venue chez nous, en Belgique.

Nous l’avons rencontré ce mercredi à Liège lors d’une séance de dédicaces avant son concert au Forum.

Qu’est-ce que cela vous fait de revoir votre public belge ?

Déjà, de revoir mon public de manière générale, c’est toujours agréable. Étant donné qu’on a fait un break et qu’il n’y a pas eu de tournée pendant cinq mois, ça m’a beaucoup manqué. On a démarré la tournée en Belgique, ce 1er mai à Mons. Tout le monde sait que le public belge est généreux, donc ça me fait plaisir de commencer avec cette énergie.

Votre prochain rendez-vous chez nous sera lors des Francofolies de Spa. D’ici là réservez-vous à votre public de nouvelles surprises (comme des featurings ou une réédition d’album) ?

Alors avant les Francos, je ne pense pas, parce que c’est bientôt. Mais il y aura peut-être une nouvelle chanson qui sortira. J’ai été très surpris et ému d’apprendre que le titre «Les Rues de ma peine» était la chanson française la plus diffusée en Wallonie. J’aime bien me dire que ça traverse les frontières et que ça a une belle vie à l’extérieur de la France. Le public belge m’a montré, à toutes les étapes, une fidélité magnifique. Cela dépend de beaucoup de facteurs, je ne sais pas si on sortira quelque chose de nouveau. Mais quoi qu’il en soit, je continuerai de faire vivre l’album «Addictions» sur scène. Les Francofolies seront notre 30e scène de la tournée, donc on sera encore plus rodés, et on prendra davantage de plaisir pour représenter notre album dans ce prestigieux festival.

Olivier Desmet

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Justement, est-ce que vous comptez épauler votre cousin (ndlr : Anto, candidat dans «The Voice : la plus belle voix» saison 7) dans le milieu de la musique ?

Voilà, maintenant je peux dire que j’ai un copain qui a fait «The Voice». (rires) Il est comme mon meilleur pote. Il est actuellement en train d’écrire ses propres chansons, de développer son projet. Il va dans un chemin qui est logique, je pense. Une fois qu’il a eu cette belle exposition télévisuelle, il voudrait transformer l’essai et devenir un artiste reconnu. Et je lui souhaite toute la chance du monde. Je suis là, à chaque étape, et il le sait. Pour chaque conseil dont il aura besoin.

Votre prochain rendez-vous chez nous sera lors des Francofolies de Spa. D’ici là réservez-vous à votre public de nouvelles surprises (comme des featurings ou une réédition d’album) ?

Alors avant les Francos, je ne pense pas, parce que c’est bientôt. Mais il y aura peut-être une nouvelle chanson qui sortira. J’ai été très surpris et ému d’apprendre que le titre «Les Rues de ma peine» était la chanson française la plus diffusée en Wallonie. J’aime bien me dire que ça traverse les frontières et que ça a une belle vie à l’extérieur de la France. Le public belge m’a montré, à toutes les étapes, une fidélité magnifique. Cela dépend de beaucoup de facteurs, je ne sais pas si on sortira quelque chose de nouveau. Mais quoi qu’il en soit, je continuerai de faire vivre l’album «Addictions» sur scène. Les Francofolies seront notre 30e scène de la tournée, donc on sera encore plus rodés, et on prendra davantage de plaisir pour représenter notre album dans ce prestigieux festival.

Olivier Desmet

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Vous avez terminé à la troisième place de «The Voice», juste derrière Kendji et Maximilien. Avez-vous toujours des contacts avec ces derniers ou d’autres candidats ?

À part Kendji, je n’ai pas de contacts avec les gens du programme. Et Kendji, c’est parce qu’on s’appréciait beaucoup pendant l’émission et que par la suite, on s’est retrouvé sur énormément de terrains communs. Notamment avec les Enfoirés depuis deux ans. Il y a là une retrouvaille qui est très touchante, parce qu’on chante pour une belle cause, dans une grande émission de télé. Cela nous rappelle notre point de départ en même temps, dans la même saison, en faisant des castings à l’aveugle. On est parti avec les mêmes chances, les mêmes «peu de chances» de notre côté, et on a tous les deux eu l’opportunité, que l’on a saisie, de développer une carrière. Chacun dans son style, chacun avec son public, mais avec beaucoup de points communs. La générosité de Kendji est quelque chose que j’ai toujours salué, et ce qui lui arrive est mérité par rapport à cela. On se retrouve sur beaucoup de points. Humainement. Peut-être y a-t-il un élément commun initial, qui est celui de vouloir donner beaucoup d’amour et de positivité au public.

Est-ce que l’on s’entraide entre anciens talent de «The Voice» ?

Bien sûr. J’ai déjà eu l’occasion d’avoir des demandes de partager des nouveaux clips de certains candidats qui avaient participé. J’ai toujours fait ça avec plaisir. Ce sont des gens que j’aimerais voir réussir. Ils le méritent. Maintenant, au-delà de ça, il n’y a pas eu de réel lien qui ait duré de façon quotidienne. D’une manière générale, je suis plus attaché aux personnes que j’ai connues avant de faire ce métier. Et mes amis de tous les jours, ce sont mes potes d’avant, mes cousins… Je m’entends extrêmement bien avec les chanteurs avec qui j’ai fait «The Voice», mais je n’ai pas réussi à maintenir un contact quotidien. Je pense que chacun d’entre nous se préoccupe de ses projets personnels, et qu’il est difficile pour des gens qui se déplacent beaucoup de garder une vraie amitié.

Justement, est-ce que vous comptez épauler votre cousin (ndlr : Anto, candidat dans «The Voice : la plus belle voix» saison 7) dans le milieu de la musique ?

Voilà, maintenant je peux dire que j’ai un copain qui a fait «The Voice». (rires) Il est comme mon meilleur pote. Il est actuellement en train d’écrire ses propres chansons, de développer son projet. Il va dans un chemin qui est logique, je pense. Une fois qu’il a eu cette belle exposition télévisuelle, il voudrait transformer l’essai et devenir un artiste reconnu. Et je lui souhaite toute la chance du monde. Je suis là, à chaque étape, et il le sait. Pour chaque conseil dont il aura besoin.

Votre prochain rendez-vous chez nous sera lors des Francofolies de Spa. D’ici là réservez-vous à votre public de nouvelles surprises (comme des featurings ou une réédition d’album) ?

Alors avant les Francos, je ne pense pas, parce que c’est bientôt. Mais il y aura peut-être une nouvelle chanson qui sortira. J’ai été très surpris et ému d’apprendre que le titre «Les Rues de ma peine» était la chanson française la plus diffusée en Wallonie. J’aime bien me dire que ça traverse les frontières et que ça a une belle vie à l’extérieur de la France. Le public belge m’a montré, à toutes les étapes, une fidélité magnifique. Cela dépend de beaucoup de facteurs, je ne sais pas si on sortira quelque chose de nouveau. Mais quoi qu’il en soit, je continuerai de faire vivre l’album «Addictions» sur scène. Les Francofolies seront notre 30e scène de la tournée, donc on sera encore plus rodés, et on prendra davantage de plaisir pour représenter notre album dans ce prestigieux festival.

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Votre public israélien suit-il votre parcours ici, en Europe, puisque vous avez participé à l’équivalent de «Nouvelle Star» dans votre pays d’origine ?

Pour être sincère, c’était il y a très très longtemps, et je n’ai pas beaucoup de public de cette époque, car j’ai décroché médiatiquement pour faire mes études de dentiste. Cela surprend du monde, mais il faut que je le dise : je n’ai pas de public en Israël. Je n’ai pas développé ma carrière là-bas. J’aime me dire qu’il y a un endroit où je peux retrouver ma famille, mes copains et vivre une vie qui ressemble à celle du passé. C’est quelque chose de génial de pouvoir prendre l’avion, et de devenir subitement anonyme.

Vous avez terminé à la troisième place de «The Voice», juste derrière Kendji et Maximilien. Avez-vous toujours des contacts avec ces derniers ou d’autres candidats ?

À part Kendji, je n’ai pas de contacts avec les gens du programme. Et Kendji, c’est parce qu’on s’appréciait beaucoup pendant l’émission et que par la suite, on s’est retrouvé sur énormément de terrains communs. Notamment avec les Enfoirés depuis deux ans. Il y a là une retrouvaille qui est très touchante, parce qu’on chante pour une belle cause, dans une grande émission de télé. Cela nous rappelle notre point de départ en même temps, dans la même saison, en faisant des castings à l’aveugle. On est parti avec les mêmes chances, les mêmes «peu de chances» de notre côté, et on a tous les deux eu l’opportunité, que l’on a saisie, de développer une carrière. Chacun dans son style, chacun avec son public, mais avec beaucoup de points communs. La générosité de Kendji est quelque chose que j’ai toujours salué, et ce qui lui arrive est mérité par rapport à cela. On se retrouve sur beaucoup de points. Humainement. Peut-être y a-t-il un élément commun initial, qui est celui de vouloir donner beaucoup d’amour et de positivité au public.

Est-ce que l’on s’entraide entre anciens talent de «The Voice» ?

Bien sûr. J’ai déjà eu l’occasion d’avoir des demandes de partager des nouveaux clips de certains candidats qui avaient participé. J’ai toujours fait ça avec plaisir. Ce sont des gens que j’aimerais voir réussir. Ils le méritent. Maintenant, au-delà de ça, il n’y a pas eu de réel lien qui ait duré de façon quotidienne. D’une manière générale, je suis plus attaché aux personnes que j’ai connues avant de faire ce métier. Et mes amis de tous les jours, ce sont mes potes d’avant, mes cousins… Je m’entends extrêmement bien avec les chanteurs avec qui j’ai fait «The Voice», mais je n’ai pas réussi à maintenir un contact quotidien. Je pense que chacun d’entre nous se préoccupe de ses projets personnels, et qu’il est difficile pour des gens qui se déplacent beaucoup de garder une vraie amitié.

Justement, est-ce que vous comptez épauler votre cousin (ndlr : Anto, candidat dans «The Voice : la plus belle voix» saison 7) dans le milieu de la musique ?

Voilà, maintenant je peux dire que j’ai un copain qui a fait «The Voice». (rires) Il est comme mon meilleur pote. Il est actuellement en train d’écrire ses propres chansons, de développer son projet. Il va dans un chemin qui est logique, je pense. Une fois qu’il a eu cette belle exposition télévisuelle, il voudrait transformer l’essai et devenir un artiste reconnu. Et je lui souhaite toute la chance du monde. Je suis là, à chaque étape, et il le sait. Pour chaque conseil dont il aura besoin.

Votre prochain rendez-vous chez nous sera lors des Francofolies de Spa. D’ici là réservez-vous à votre public de nouvelles surprises (comme des featurings ou une réédition d’album) ?

Alors avant les Francos, je ne pense pas, parce que c’est bientôt. Mais il y aura peut-être une nouvelle chanson qui sortira. J’ai été très surpris et ému d’apprendre que le titre «Les Rues de ma peine» était la chanson française la plus diffusée en Wallonie. J’aime bien me dire que ça traverse les frontières et que ça a une belle vie à l’extérieur de la France. Le public belge m’a montré, à toutes les étapes, une fidélité magnifique. Cela dépend de beaucoup de facteurs, je ne sais pas si on sortira quelque chose de nouveau. Mais quoi qu’il en soit, je continuerai de faire vivre l’album «Addictions» sur scène. Les Francofolies seront notre 30e scène de la tournée, donc on sera encore plus rodés, et on prendra davantage de plaisir pour représenter notre album dans ce prestigieux festival.

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Nous vous avons découvert dans «The Voice» sur TF1, vous avez tout de suite enchaîné en participant à l’Eurovision sur France 2 et puis régulièrement, nous vous voyons dans TPMP sur C8 (Plug RTL)… Est-ce une sorte de stratégie de vouloir vous faire apprécier de toutes les chaînes ?

Ah, c’est une très bonne question ! Je n’aurais pas imaginé une telle chute pour cette question. (rires) Il n’y a pas de réelle stratégie, puisque je vais faire des émissions que mon attaché de presse me propose, parce que ce sont elles qui ont demandé ma présence. Je n’ai jamais montré une préférence particulière pour un média. Chacun à son état d’esprit, son public, et étant donné que j’arrive à me sentir à l’aise avec tout le monde, je n’ai pas d’a priori et je ne fais pas de favoritisme. Je suis très fier du visage de mon public qui est transgénérationnel, ainsi que du visage des médias qui me promotionnent. Même au niveau des radios, il y en a des jeunes, des adultes, des pop, des électro… Je me suis toujours revendiqué comme quelqu’un d’extrêmement familial. Et j’ai envie de savoir qu’autour de moi, il y a des gens de tous les âges. Ça me rappelle une grande famille et c’est pour ça que je baigne dans une atmosphère qui me plait beaucoup. 

Vous êtes très présent en télévision, cela ne vous donne pas envie de passer le cap et d’animer une émission ?

Je ne suis pas sûr qu’animer une émission, ce soit mon objectif. J’aime quand je viens à la télévision pour ma musique. C’est une plateforme extraordinaire, mais je n’ai pas envie de dénaturer le pourquoi j’y participe. La raison, c’est que j’ai des chansons à montrer et à défendre. C’est vrai que dans le domaine artistique, j’ai aussi d’autres rêves et d’autres terrains que j’aimerais conquérir avec le temps. Comme par exemple le cinéma. Ou la comédie de manière générale, un monde qui m’a toujours fasciné, mais auquel je n’ai pas eu suffisamment l’occasion de me consacrer pour l’instant. C’est une chose à laquelle je pense de plus en plus. Je libérerais du temps plus tard pour concrétiser des projets dans ce sens.

Votre public israélien suit-il votre parcours ici, en Europe, puisque vous avez participé à l’équivalent de «Nouvelle Star» dans votre pays d’origine ?

Pour être sincère, c’était il y a très très longtemps, et je n’ai pas beaucoup de public de cette époque, car j’ai décroché médiatiquement pour faire mes études de dentiste. Cela surprend du monde, mais il faut que je le dise : je n’ai pas de public en Israël. Je n’ai pas développé ma carrière là-bas. J’aime me dire qu’il y a un endroit où je peux retrouver ma famille, mes copains et vivre une vie qui ressemble à celle du passé. C’est quelque chose de génial de pouvoir prendre l’avion, et de devenir subitement anonyme.

Vous avez terminé à la troisième place de «The Voice», juste derrière Kendji et Maximilien. Avez-vous toujours des contacts avec ces derniers ou d’autres candidats ?

À part Kendji, je n’ai pas de contacts avec les gens du programme. Et Kendji, c’est parce qu’on s’appréciait beaucoup pendant l’émission et que par la suite, on s’est retrouvé sur énormément de terrains communs. Notamment avec les Enfoirés depuis deux ans. Il y a là une retrouvaille qui est très touchante, parce qu’on chante pour une belle cause, dans une grande émission de télé. Cela nous rappelle notre point de départ en même temps, dans la même saison, en faisant des castings à l’aveugle. On est parti avec les mêmes chances, les mêmes «peu de chances» de notre côté, et on a tous les deux eu l’opportunité, que l’on a saisie, de développer une carrière. Chacun dans son style, chacun avec son public, mais avec beaucoup de points communs. La générosité de Kendji est quelque chose que j’ai toujours salué, et ce qui lui arrive est mérité par rapport à cela. On se retrouve sur beaucoup de points. Humainement. Peut-être y a-t-il un élément commun initial, qui est celui de vouloir donner beaucoup d’amour et de positivité au public.

Est-ce que l’on s’entraide entre anciens talent de «The Voice» ?

Bien sûr. J’ai déjà eu l’occasion d’avoir des demandes de partager des nouveaux clips de certains candidats qui avaient participé. J’ai toujours fait ça avec plaisir. Ce sont des gens que j’aimerais voir réussir. Ils le méritent. Maintenant, au-delà de ça, il n’y a pas eu de réel lien qui ait duré de façon quotidienne. D’une manière générale, je suis plus attaché aux personnes que j’ai connues avant de faire ce métier. Et mes amis de tous les jours, ce sont mes potes d’avant, mes cousins… Je m’entends extrêmement bien avec les chanteurs avec qui j’ai fait «The Voice», mais je n’ai pas réussi à maintenir un contact quotidien. Je pense que chacun d’entre nous se préoccupe de ses projets personnels, et qu’il est difficile pour des gens qui se déplacent beaucoup de garder une vraie amitié.

Justement, est-ce que vous comptez épauler votre cousin (ndlr : Anto, candidat dans «The Voice : la plus belle voix» saison 7) dans le milieu de la musique ?

Voilà, maintenant je peux dire que j’ai un copain qui a fait «The Voice». (rires) Il est comme mon meilleur pote. Il est actuellement en train d’écrire ses propres chansons, de développer son projet. Il va dans un chemin qui est logique, je pense. Une fois qu’il a eu cette belle exposition télévisuelle, il voudrait transformer l’essai et devenir un artiste reconnu. Et je lui souhaite toute la chance du monde. Je suis là, à chaque étape, et il le sait. Pour chaque conseil dont il aura besoin.

Votre prochain rendez-vous chez nous sera lors des Francofolies de Spa. D’ici là réservez-vous à votre public de nouvelles surprises (comme des featurings ou une réédition d’album) ?

Alors avant les Francos, je ne pense pas, parce que c’est bientôt. Mais il y aura peut-être une nouvelle chanson qui sortira. J’ai été très surpris et ému d’apprendre que le titre «Les Rues de ma peine» était la chanson française la plus diffusée en Wallonie. J’aime bien me dire que ça traverse les frontières et que ça a une belle vie à l’extérieur de la France. Le public belge m’a montré, à toutes les étapes, une fidélité magnifique. Cela dépend de beaucoup de facteurs, je ne sais pas si on sortira quelque chose de nouveau. Mais quoi qu’il en soit, je continuerai de faire vivre l’album «Addictions» sur scène. Les Francofolies seront notre 30e scène de la tournée, donc on sera encore plus rodés, et on prendra davantage de plaisir pour représenter notre album dans ce prestigieux festival.

Olivier Desmet

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Votre deuxième album, «Addictions», est sorti il y a quelques mois. Un opus qui mélange pop et électro. Des sonorités peuvent même se croiser avec des chansons d’autres artistes américains. «Tout passe» nous rappelle certains sons du dernier album de Justin Bieber, «Purpose». «Laisse la vie faire», avec ce son de basse, nous fait penser à Charlie Puth avec son titre «Attention». Est-ce une volonté d’incorporer à votre chanson française la musique pop américaine ?

J’ai toujours été très inspiré par la pop anglo-saxonne. C’est la première musique que j’ai réellement écoutée. Sur le premier album «Au cœur de moi», j’ai affirmé m’être beaucoup inspiré de One Republic, d’Imagine Dragons et de The Script. Ici, pour «Addictions», j’ai élargi mes influences. J’ai toujours aimé marier tout ce qui me compose humainement. Que ce soit les musiques françaises de toutes les époques, la pop américaine que j’ai pu entendre depuis ma naissance, tout ce que j’ai pu écouter en trente ans… De par mes origines, les influences orientales et méditerranéennes aussi. Cette combinaison-là donne un mélange qui me représente, qui me ressemble beaucoup, et que je suis toujours très content de défendre.

Nous vous avons découvert dans «The Voice» sur TF1, vous avez tout de suite enchaîné en participant à l’Eurovision sur France 2 et puis régulièrement, nous vous voyons dans TPMP sur C8 (Plug RTL)… Est-ce une sorte de stratégie de vouloir vous faire apprécier de toutes les chaînes ?

Ah, c’est une très bonne question ! Je n’aurais pas imaginé une telle chute pour cette question. (rires) Il n’y a pas de réelle stratégie, puisque je vais faire des émissions que mon attaché de presse me propose, parce que ce sont elles qui ont demandé ma présence. Je n’ai jamais montré une préférence particulière pour un média. Chacun à son état d’esprit, son public, et étant donné que j’arrive à me sentir à l’aise avec tout le monde, je n’ai pas d’a priori et je ne fais pas de favoritisme. Je suis très fier du visage de mon public qui est transgénérationnel, ainsi que du visage des médias qui me promotionnent. Même au niveau des radios, il y en a des jeunes, des adultes, des pop, des électro… Je me suis toujours revendiqué comme quelqu’un d’extrêmement familial. Et j’ai envie de savoir qu’autour de moi, il y a des gens de tous les âges. Ça me rappelle une grande famille et c’est pour ça que je baigne dans une atmosphère qui me plait beaucoup. 

Vous êtes très présent en télévision, cela ne vous donne pas envie de passer le cap et d’animer une émission ?

Je ne suis pas sûr qu’animer une émission, ce soit mon objectif. J’aime quand je viens à la télévision pour ma musique. C’est une plateforme extraordinaire, mais je n’ai pas envie de dénaturer le pourquoi j’y participe. La raison, c’est que j’ai des chansons à montrer et à défendre. C’est vrai que dans le domaine artistique, j’ai aussi d’autres rêves et d’autres terrains que j’aimerais conquérir avec le temps. Comme par exemple le cinéma. Ou la comédie de manière générale, un monde qui m’a toujours fasciné, mais auquel je n’ai pas eu suffisamment l’occasion de me consacrer pour l’instant. C’est une chose à laquelle je pense de plus en plus. Je libérerais du temps plus tard pour concrétiser des projets dans ce sens.

Votre public israélien suit-il votre parcours ici, en Europe, puisque vous avez participé à l’équivalent de «Nouvelle Star» dans votre pays d’origine ?

Pour être sincère, c’était il y a très très longtemps, et je n’ai pas beaucoup de public de cette époque, car j’ai décroché médiatiquement pour faire mes études de dentiste. Cela surprend du monde, mais il faut que je le dise : je n’ai pas de public en Israël. Je n’ai pas développé ma carrière là-bas. J’aime me dire qu’il y a un endroit où je peux retrouver ma famille, mes copains et vivre une vie qui ressemble à celle du passé. C’est quelque chose de génial de pouvoir prendre l’avion, et de devenir subitement anonyme.

Vous avez terminé à la troisième place de «The Voice», juste derrière Kendji et Maximilien. Avez-vous toujours des contacts avec ces derniers ou d’autres candidats ?

À part Kendji, je n’ai pas de contacts avec les gens du programme. Et Kendji, c’est parce qu’on s’appréciait beaucoup pendant l’émission et que par la suite, on s’est retrouvé sur énormément de terrains communs. Notamment avec les Enfoirés depuis deux ans. Il y a là une retrouvaille qui est très touchante, parce qu’on chante pour une belle cause, dans une grande émission de télé. Cela nous rappelle notre point de départ en même temps, dans la même saison, en faisant des castings à l’aveugle. On est parti avec les mêmes chances, les mêmes «peu de chances» de notre côté, et on a tous les deux eu l’opportunité, que l’on a saisie, de développer une carrière. Chacun dans son style, chacun avec son public, mais avec beaucoup de points communs. La générosité de Kendji est quelque chose que j’ai toujours salué, et ce qui lui arrive est mérité par rapport à cela. On se retrouve sur beaucoup de points. Humainement. Peut-être y a-t-il un élément commun initial, qui est celui de vouloir donner beaucoup d’amour et de positivité au public.

Est-ce que l’on s’entraide entre anciens talent de «The Voice» ?

Bien sûr. J’ai déjà eu l’occasion d’avoir des demandes de partager des nouveaux clips de certains candidats qui avaient participé. J’ai toujours fait ça avec plaisir. Ce sont des gens que j’aimerais voir réussir. Ils le méritent. Maintenant, au-delà de ça, il n’y a pas eu de réel lien qui ait duré de façon quotidienne. D’une manière générale, je suis plus attaché aux personnes que j’ai connues avant de faire ce métier. Et mes amis de tous les jours, ce sont mes potes d’avant, mes cousins… Je m’entends extrêmement bien avec les chanteurs avec qui j’ai fait «The Voice», mais je n’ai pas réussi à maintenir un contact quotidien. Je pense que chacun d’entre nous se préoccupe de ses projets personnels, et qu’il est difficile pour des gens qui se déplacent beaucoup de garder une vraie amitié.

Justement, est-ce que vous comptez épauler votre cousin (ndlr : Anto, candidat dans «The Voice : la plus belle voix» saison 7) dans le milieu de la musique ?

Voilà, maintenant je peux dire que j’ai un copain qui a fait «The Voice». (rires) Il est comme mon meilleur pote. Il est actuellement en train d’écrire ses propres chansons, de développer son projet. Il va dans un chemin qui est logique, je pense. Une fois qu’il a eu cette belle exposition télévisuelle, il voudrait transformer l’essai et devenir un artiste reconnu. Et je lui souhaite toute la chance du monde. Je suis là, à chaque étape, et il le sait. Pour chaque conseil dont il aura besoin.

Votre prochain rendez-vous chez nous sera lors des Francofolies de Spa. D’ici là réservez-vous à votre public de nouvelles surprises (comme des featurings ou une réédition d’album) ?

Alors avant les Francos, je ne pense pas, parce que c’est bientôt. Mais il y aura peut-être une nouvelle chanson qui sortira. J’ai été très surpris et ému d’apprendre que le titre «Les Rues de ma peine» était la chanson française la plus diffusée en Wallonie. J’aime bien me dire que ça traverse les frontières et que ça a une belle vie à l’extérieur de la France. Le public belge m’a montré, à toutes les étapes, une fidélité magnifique. Cela dépend de beaucoup de facteurs, je ne sais pas si on sortira quelque chose de nouveau. Mais quoi qu’il en soit, je continuerai de faire vivre l’album «Addictions» sur scène. Les Francofolies seront notre 30e scène de la tournée, donc on sera encore plus rodés, et on prendra davantage de plaisir pour représenter notre album dans ce prestigieux festival.

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