Tant le vendeur que l’acheteur d’un bien immobilier peuvent profiter de cette solution pour faire de bonnes affaires.
Pour tous ceux qui cherchent à vendre leur maison ou leur appartement, la solution de la vente publique se pose en alternative crédible à la vente classique, dite de gré à gré.
Afin de convaincre un maximum de gens du bien-fondé de cette opération, la Fédération royale du notariat belge a récemment édité une brochure à ce sujet.
Souvent volontaires
C’est l’occasion d’apprendre des tas de choses utiles sur ces fameuses ventes publiques, souvent associées, à tort, aux saisies et aux ventes «forcées».
La grosse majorité d’entre elles – 80 % – sont en effet volontaires ! Et cela na rien de surprenant, étant donné que cette procédure peut se révéler fort intéressante.
Sûre et rapide
Parmi les arguments qui plaident en sa faveur, relevons notamment une bonne visibilité de la vente, celle-ci pouvant ensuite déboucher sur un meilleur prix, la transparence (un «cahier des charges» peut être consulté en l’étude du notaire), la sécurité (le notaire est garant de la sécurité juridique de l’opération) et la rapidité.
Pour le vendeur et l’acheteur
La vente publique mérite en effet que l’on s’y attarde, comme le fait Télépro dans ses deux prochaines éditions. Car le vendeur d’un bien immobilier (édition du 26 mars) n’est pas le seul à pouvoir y trouver son compte. L’acheteur peut, lui aussi, bénéficier de ces ventes publiques (édition du 2 avril).
Et, pourquoi pas, y dénicher la perle rare…
Laurent Smitz
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici