Jean-Pascal Lacoste en larmes lorsqu’il évoque sa traversée du désert

Jean-Pascal Lacoste sur le plateau de TPMP © C8

Sur le plateau de «Touche pas à mon poste» (C8), Jean-Pascal Lacoste est revenu sur la longue traversée du désert qui a suivi son passage à la Star Academy. Très ému en évoquant ses années de galères financières, le chroniqueur a fondu en larmes sur le plateau.

Depuis peu, Jean-Pascal Lacoste, que l’on connaît pour son passage dans la première « Star Academy », est de retour sur le petit écran. Désormais chroniqueur dans l’émission de Cyril Hanouna, il est revenu sur les années compliquées qu’il a traversées.

Après la Star Ac’, deux albums et une fiction sur TF1, Jean-Pascal s’est retrouvé totalement dans le vide. « Au décès de mon père je devais 185.000 € aux impôts », s’est-il souvenu sur le plateau de TPMP. Heureusement, il avait suivi les conseils de son père et avait fait l’acquisition d’un terrain auparavant. Ce qui lui a permis de « redémarrer de zéro ».

« Et puis, j’ai fait un bad, il y a huit ans. Je n’avais rien », a-t-il poursuivi, très ému. « Je suis passé par des moments hyper durs. J’ai galéré pour payer mon loyer. » Jean-Pascal a ensuite évoqué les petits boulots qu’il a enchaînés pour sortir la tête hors de l’eau. Il est notamment revenu sur son expérience en tant que serveur : « les gens me reconnaissaient au restaurant et me disaient ‘ah, ça vous mène là la télé' ».

Une remarque qu’aujourd’hui encore, il ne digère pas : « les gens sont des connards, ils vous démontent », a-t-il lâché. « Ce n’est pas parce qu’on fait de la télé qu’on ne peut pas être boulanger ou autre ! Quand il faut bouffer, il faut bouffer. Que ce soit serveur, boulanger ou électricien, il n’y a pas de sot métier, il faut s’adapter. Ne pas avoir peur de redémarrer. Ces gens-là, je ne les plains pas. Il faut avoir les couilles de faire autre chose ».

À travers son discours, le chroniqueur tenait surtout à rappeler qu’avoir fait de la télévision ne protège pas des problèmes financiers. Et à porter un message : « quand on veut y arriver, on peut. C’est dur, mais si on se bat, on peut y arriver. »

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