Télépro a rencontré Arnold Schwarzenegger à l’occasion de la sortie du film «Terminator Genisys».
À 67 ans, l’acteur, culturiste et homme politique d’origine autrichienne, n’en a pas encore fini avec Hollywood !
En quoi ce film est-il différent du premier «Terminator», sorti il y a trente ans ?
C’est un film totalement différent, il n’y a rien de comparable. Sur le plan technique, nous étions incapables, dans les années 80, de faire ce que nous faisons aujourd’hui. Les cascades au-dessus d’un hélicoptère, la présence de deux Terminators en même temps… tout cela était impossible à l’époque du premier film.
Ce nouveau volet de la saga est donc une prouesse au niveau des effets spéciaux…
Oui, mais pas seulement. Il faut utiliser les nouvelles technologies avec précaution. Le public apprécie la haute définition, mais il veut aussi voir de vraies bagarres. La technologie doit nous servir, pas nous aveugler.
À 67 ans, vous tournez toujours dans des films d’action. Il n’y a plus d’âge pour jouer les héros à Hollywood ?
Je crois que tout dépend du scénario. Si l’histoire est bien écrite, et surtout crédible, l’âge n’est pas vraiment un problème. C’est le cas pour les films de la série «Expendables», par exemple. Et c’est aussi pour cette raison que j’ai accepté de reprendre le rôle de Conan, dans «La Légende de Conan» (sortie prévue en 2016, ndlr).
De notre correspondant à Hollywood : Hervé Tropéa
Découvrez la suite de cette interview dans l’édition de Télépro du 2 juillet 2015
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