«Les 12 coups de midi», «Septante et un», «Tout le monde veut prendre sa place», «Le Juste Prix», «La Roue de la Fortune»,… Ils les a (presque) tous fait. Thomas, amoureux des jeux télévisés, nous raconte les coulisses de vos jeux favoris ainsi que ses meilleurs (et moins bons) souvenirs.
Au départ simple spectateur de jeux télé sans en être spécialement fan, Thomas Rocquerelle, jeune professeur de 29 ans originaire de Mouscron, se lance un jour le défi d’y participer lui-même.
Il attend alors de souffler ses 18 bougies et concourt à un petit jeu de l’époque sur RTL-TVI, «Le Mot gagnant». Fort de cette expérience, il s’inscrit au casting de «La Roue de la fortune» sur TF1. C’est là qu’il contracte le virus. «C’était une nouvelle expérience pour moi», explique-t-il, «Le fait d’être choisi parmi une centaine de candidats durant le casting, puis de me produire devant un public, avec des personnalités de la télé (NDLR Christophe Dechavanne et Victoria Silvstedt), ça m’a vraiment grisé. Je n’avais qu’une envie, continuer !».
Le meilleur, c’est sans aucun doute «La Roue de la fortune», parce que c’était le premier et que le déroulement de l’émission a été à mon avantage. Je suis arrivé en finale, j’ai gagné une coquette somme d’argent, et pour ne rien gâcher, l’émission a fait un carton d’audience. Tout était parfait !
Mon moins bon souvenir est clairement Jean-Michel Zecca ! Je l’ai rencontré deux fois, la première dans «Septante et un» où j’étais candidat central. Hors caméra, je l’ai trouvé assez froid. Que ça soit avec les candidats ou ses collègues de plateau d’ailleurs. La deuxième fois, c’est quand j’ai participé à «Belgium’s Got Talent». Il est arrivé sur le plateau avec Julie Taton qui co-présentait avec lui. Alors que cette dernière faisait la bise à tout le monde, il est passé en coup de vent en ne saluant personne. Il n’est pas vraiment la personne joviale et rieuse qu’on peut voir à l’écran.
Mon projet, ou plutôt mon rêve en rapport avec tout cela, c’est de travailler un jour dans l’animation TV ou radio. Quand on y a gouté, on peut difficilement s’en passer.
Entretien : Jordan Wilvertz
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.