Mis en ligne le 13 mars dernier sur Netflix, le long métrage turc fait depuis sensation sur les réseaux sociaux. Son secret ? Une histoire touchante entre un père et sa fille.
Mehmet, dit Memo, n’est pas un homme comme les autres. Père déficient mental et veuf, il mène une vie tranquille avec sa fille Ova et sa grand-mère. Témoin de la mort d’une fillette, il est accusé de son meurtre. Malgré son innocence, il est torturé, envoyé en prison et condamné à la peine de mort. Sa fille et ses codétenus de la cellule n°7 vont tenter de le blanchir.
«Miracle dans la cellule n°7»
En effet, ce film crée un véritable miracle ! Qui aurait pu prédire ce succès ? Personne…
Hissé au Top 10 des films les plus vus sur la plateforme, le drame turc est un film coup de poing comme on les aime. Tous les ingrédients y sont : intrigue, jeux d’acteurs, image, décors, musique, réalisation. Un film puissant en émotions qui en fera pleurer plus d’un(e)…
Si le long métrage tombe souvent dans le mélodrame, il offre toutefois un regard inédit sur le handicap. Mehmet, alias Memo, est interprété par Aras Bulut Iynemli. L’acteur joue un déficient mental dont sa seule préoccupation est de voir sa fille sourire. Le personnage endure un véritable calvaire. Torturé et battu, «le fou» est impuissant face à cette injustice. Son jeu d’acteur, troublant de réalisme, lui permettra sans aucun doute d’être remarqué à l’international.
Si vous n’avez pas encore vu «7. Koğuştaki Mucize», petit conseil : sortez les mouchoirs ! Le film est à regarder sur Netflix. La bande-annonce :
