Anne-Laure Macq : «La pauvreté ne doit plus être un tabou» (interview)

Anne-Laure Macq : «La pauvreté ne doit plus être un tabou» (interview)
Pierre Bertinchamps Journaliste

Même si Anne-Laure n’est pas enfermée pendant 6 jours dans le cube de «Viva for Life», l’émotion, à la présentation de la quotidienne sur La Une, est aussi très intense.

 

 

Comment ça se passe en coulisses ?

Les reportages sont décidés en amont. Trouver des gens qui s’expriment au sujet de leur situation, c’est compliqué. C’est un travail que l’on fait avec les associations qui les rencontrent, et qui leur demandent s’ils acceptent de témoigner. Ce n’est pas évident de parler de sa situation devant les caméras. C’est délicat, et ça ne s’improvise pas. De mon côté, durant la journée, la télé est tout le temps allumée, et on regarde ce qui se passe dans le cube, et on repère les moments propices pour la séquence des «24H dans le Cube». C’est le sujet qui est monté le plus tardivement de l’émission. Avec Adrien Devyver, on donne aussi notre avis sur la façon d’amener les choses. C’est l’occasion de réaliser toute l’étendue de la mobilisation quand on est sur la place. Dans le studio télé, c’est la partie plus intime de la cause. On alterne, si c’est moi qui suis dans le studio télé, Adrien sera dehors, et le lendemain, ce sera l’inverse.

 

Vous sentez une différence émotionnelle parce qu’il y a deux filles dans le Cube ?

Pas du tout. Cyril a une petite fille, donc sa sensibilité est à fleur de peau aussi… C’est un groupe qui s’entend très bien. Je ne dirais pas non plus que c’est plus calme, parce que Sara est très fêtarde et très déconne. C’est équilibré. Le côté fêtard de Sara et la sensibilité de Cyril font que ça prend très bien.

Pourrait-on vous retrouver un jour dans le cube, comme animatrice ?

Ça fait partie des choses que j’envisage… L’équipe sait que je suis partante. On verra bien… Je vais là où on a besoin de moi. Tant qu’on me demande de faire de la présentation quotidienne, je le fais, et si on me demande de rentrer dans le cube, ce sera avec autant de plaisir.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Viva For Life a changé votre façon d’envisager les fêtes de fin d’année ?

Oui. Je reste très attachée aux fêtes, mais je suis de moins en moins attachée aux cadeaux, à faire des grandes choses… Je vais passer les réveillons dans des comités très restreints, très familial et ça me va très bien. Chaque année, on sort de cette aventure extrêmement bouleversés parce que les témoignages nous imprègnent. L’émotion est très grande et les proches sont un réconfort.

 

À mi-parcours de l’aventure, comment se sentent Ophélie, Sara et Cyril ?

Ils sont en super forme. Je suis impressionnée. Sara a l’énergie qu’on lui connaît. À ce niveau-là, elle ne va pas contre sa réputation. C’est un rayon de soleil en permanence. Ophélie est plus concentrée sur la cause, mais elle est aussi bien dans l’ambiance. En amont, elle s’est beaucoup informée et on voit qu’elle est très concernée. Quant à Cyril, c’est une éponge à émotions. Il est extrêmement sensible et il vit tout ça très intensément.

 

Vous sentez une différence émotionnelle parce qu’il y a deux filles dans le Cube ?

Pas du tout. Cyril a une petite fille, donc sa sensibilité est à fleur de peau aussi… C’est un groupe qui s’entend très bien. Je ne dirais pas non plus que c’est plus calme, parce que Sara est très fêtarde et très déconne. C’est équilibré. Le côté fêtard de Sara et la sensibilité de Cyril font que ça prend très bien.

Pourrait-on vous retrouver un jour dans le cube, comme animatrice ?

Ça fait partie des choses que j’envisage… L’équipe sait que je suis partante. On verra bien… Je vais là où on a besoin de moi. Tant qu’on me demande de faire de la présentation quotidienne, je le fais, et si on me demande de rentrer dans le cube, ce sera avec autant de plaisir.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Votre journée semble aussi chargée que si vous étiez enfermée dans le Cube, non ?

Exactement ! Je suis un peu plus en contact avec les personnes qui font les défis. Les animateurs sont vraiment isolés et ils vivent dans des conditions différentes. La fatigue pour eux est plus importante que la mienne. Ils se relaient sur antenne tout le temps et ils dorment dans le bruit… Et ils sont tout le temps exposés au regard des autres. Et ça fait partie du défi. Je ne peux pas me comparer à eux. Ils vivent des choses plus compliquées que ce que je fais pendant l’opération.

 

Viva For Life a changé votre façon d’envisager les fêtes de fin d’année ?

Oui. Je reste très attachée aux fêtes, mais je suis de moins en moins attachée aux cadeaux, à faire des grandes choses… Je vais passer les réveillons dans des comités très restreints, très familial et ça me va très bien. Chaque année, on sort de cette aventure extrêmement bouleversés parce que les témoignages nous imprègnent. L’émotion est très grande et les proches sont un réconfort.

 

À mi-parcours de l’aventure, comment se sentent Ophélie, Sara et Cyril ?

Ils sont en super forme. Je suis impressionnée. Sara a l’énergie qu’on lui connaît. À ce niveau-là, elle ne va pas contre sa réputation. C’est un rayon de soleil en permanence. Ophélie est plus concentrée sur la cause, mais elle est aussi bien dans l’ambiance. En amont, elle s’est beaucoup informée et on voit qu’elle est très concernée. Quant à Cyril, c’est une éponge à émotions. Il est extrêmement sensible et il vit tout ça très intensément.

 

Vous sentez une différence émotionnelle parce qu’il y a deux filles dans le Cube ?

Pas du tout. Cyril a une petite fille, donc sa sensibilité est à fleur de peau aussi… C’est un groupe qui s’entend très bien. Je ne dirais pas non plus que c’est plus calme, parce que Sara est très fêtarde et très déconne. C’est équilibré. Le côté fêtard de Sara et la sensibilité de Cyril font que ça prend très bien.

Pourrait-on vous retrouver un jour dans le cube, comme animatrice ?

Ça fait partie des choses que j’envisage… L’équipe sait que je suis partante. On verra bien… Je vais là où on a besoin de moi. Tant qu’on me demande de faire de la présentation quotidienne, je le fais, et si on me demande de rentrer dans le cube, ce sera avec autant de plaisir.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Sur les réseaux sociaux, des voix s’élèvent contre un certain voyeurisme…

Je peux les comprendre. Ça peut passer pour du voyeurisme, alors que ça n’en est pas. Une dame d’une association m’a dit : «Vous savez, la pauvreté, c’est extrêmement tabou. On n’en parle pas. Elle est cachée. Les gens ont honte…» Et tant qu’ils se cachent, on ne peut pas les aider. Parce qu’on ne le sait pas. Oui, Viva For Life peut en choquer certains. Sauf que si on ne permet pas aux gens d’oser s’exprimer, et dès qu’une personne témoigne, il y a un effet boule de neige et d’autres aussi s’ouvrent, elles vont faire la démarche d’aller frapper à des portes. On sert au moins ça. Je conçois que des personnes soient choquées, mais il faut que la pauvreté ne soit plus un sujet tabou. Le fait que des témoignages passent à une heure de grande écoute sur La Une, ça permet à d’autres d’oser faire part de leurs problèmes. Et rien que pour ça, Viva For Life a une raison d’être.

 

Votre journée semble aussi chargée que si vous étiez enfermée dans le Cube, non ?

Exactement ! Je suis un peu plus en contact avec les personnes qui font les défis. Les animateurs sont vraiment isolés et ils vivent dans des conditions différentes. La fatigue pour eux est plus importante que la mienne. Ils se relaient sur antenne tout le temps et ils dorment dans le bruit… Et ils sont tout le temps exposés au regard des autres. Et ça fait partie du défi. Je ne peux pas me comparer à eux. Ils vivent des choses plus compliquées que ce que je fais pendant l’opération.

 

Viva For Life a changé votre façon d’envisager les fêtes de fin d’année ?

Oui. Je reste très attachée aux fêtes, mais je suis de moins en moins attachée aux cadeaux, à faire des grandes choses… Je vais passer les réveillons dans des comités très restreints, très familial et ça me va très bien. Chaque année, on sort de cette aventure extrêmement bouleversés parce que les témoignages nous imprègnent. L’émotion est très grande et les proches sont un réconfort.

 

À mi-parcours de l’aventure, comment se sentent Ophélie, Sara et Cyril ?

Ils sont en super forme. Je suis impressionnée. Sara a l’énergie qu’on lui connaît. À ce niveau-là, elle ne va pas contre sa réputation. C’est un rayon de soleil en permanence. Ophélie est plus concentrée sur la cause, mais elle est aussi bien dans l’ambiance. En amont, elle s’est beaucoup informée et on voit qu’elle est très concernée. Quant à Cyril, c’est une éponge à émotions. Il est extrêmement sensible et il vit tout ça très intensément.

 

Vous sentez une différence émotionnelle parce qu’il y a deux filles dans le Cube ?

Pas du tout. Cyril a une petite fille, donc sa sensibilité est à fleur de peau aussi… C’est un groupe qui s’entend très bien. Je ne dirais pas non plus que c’est plus calme, parce que Sara est très fêtarde et très déconne. C’est équilibré. Le côté fêtard de Sara et la sensibilité de Cyril font que ça prend très bien.

Pourrait-on vous retrouver un jour dans le cube, comme animatrice ?

Ça fait partie des choses que j’envisage… L’équipe sait que je suis partante. On verra bien… Je vais là où on a besoin de moi. Tant qu’on me demande de faire de la présentation quotidienne, je le fais, et si on me demande de rentrer dans le cube, ce sera avec autant de plaisir.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Vous sentez que les choses évoluent depuis le lancement de «Viva For Life» ?

Malheureusement, il n’y a pas moins d’enfants dans le besoin. Mais on en aide de plus en plus. La réalité est là. Elle reste dramatique. Elle reste insupportable mais on aide des associations qui soutiennent les familles. Les aides sont données sur base de projets. Elles doivent être précises dans les dossiers qu’elles nous rentrent. Ce qui fait chaud au cœur, c’est que quand on fait le bilan de l’opération, et qu’on demande aux associations d’expliquer ce qu’elles ont pu réaliser, on se rend compte que l’argent versé a réellement permis d’aider un bon nombre de familles en plus. L’idée est de penser à l’avenir des enfants et leur donner un maximum de chances. Quand elles présentent leur bilan, pour nous, c’est super motivant.

 

Sur les réseaux sociaux, des voix s’élèvent contre un certain voyeurisme…

Je peux les comprendre. Ça peut passer pour du voyeurisme, alors que ça n’en est pas. Une dame d’une association m’a dit : «Vous savez, la pauvreté, c’est extrêmement tabou. On n’en parle pas. Elle est cachée. Les gens ont honte…» Et tant qu’ils se cachent, on ne peut pas les aider. Parce qu’on ne le sait pas. Oui, Viva For Life peut en choquer certains. Sauf que si on ne permet pas aux gens d’oser s’exprimer, et dès qu’une personne témoigne, il y a un effet boule de neige et d’autres aussi s’ouvrent, elles vont faire la démarche d’aller frapper à des portes. On sert au moins ça. Je conçois que des personnes soient choquées, mais il faut que la pauvreté ne soit plus un sujet tabou. Le fait que des témoignages passent à une heure de grande écoute sur La Une, ça permet à d’autres d’oser faire part de leurs problèmes. Et rien que pour ça, Viva For Life a une raison d’être.

 

Votre journée semble aussi chargée que si vous étiez enfermée dans le Cube, non ?

Exactement ! Je suis un peu plus en contact avec les personnes qui font les défis. Les animateurs sont vraiment isolés et ils vivent dans des conditions différentes. La fatigue pour eux est plus importante que la mienne. Ils se relaient sur antenne tout le temps et ils dorment dans le bruit… Et ils sont tout le temps exposés au regard des autres. Et ça fait partie du défi. Je ne peux pas me comparer à eux. Ils vivent des choses plus compliquées que ce que je fais pendant l’opération.

 

Viva For Life a changé votre façon d’envisager les fêtes de fin d’année ?

Oui. Je reste très attachée aux fêtes, mais je suis de moins en moins attachée aux cadeaux, à faire des grandes choses… Je vais passer les réveillons dans des comités très restreints, très familial et ça me va très bien. Chaque année, on sort de cette aventure extrêmement bouleversés parce que les témoignages nous imprègnent. L’émotion est très grande et les proches sont un réconfort.

 

À mi-parcours de l’aventure, comment se sentent Ophélie, Sara et Cyril ?

Ils sont en super forme. Je suis impressionnée. Sara a l’énergie qu’on lui connaît. À ce niveau-là, elle ne va pas contre sa réputation. C’est un rayon de soleil en permanence. Ophélie est plus concentrée sur la cause, mais elle est aussi bien dans l’ambiance. En amont, elle s’est beaucoup informée et on voit qu’elle est très concernée. Quant à Cyril, c’est une éponge à émotions. Il est extrêmement sensible et il vit tout ça très intensément.

 

Vous sentez une différence émotionnelle parce qu’il y a deux filles dans le Cube ?

Pas du tout. Cyril a une petite fille, donc sa sensibilité est à fleur de peau aussi… C’est un groupe qui s’entend très bien. Je ne dirais pas non plus que c’est plus calme, parce que Sara est très fêtarde et très déconne. C’est équilibré. Le côté fêtard de Sara et la sensibilité de Cyril font que ça prend très bien.

Pourrait-on vous retrouver un jour dans le cube, comme animatrice ?

Ça fait partie des choses que j’envisage… L’équipe sait que je suis partante. On verra bien… Je vais là où on a besoin de moi. Tant qu’on me demande de faire de la présentation quotidienne, je le fais, et si on me demande de rentrer dans le cube, ce sera avec autant de plaisir.

Entretien : Pierre Bertinchamps

 

Vous avez repris l’émission en 2e saison, vous imaginiez que la détresse était à ce point ?

Je ne vais pas dire que je le découvre. J’ai eu l’occasion de donner des cours dans des écoles en discrimination positive, et j’ai travaillé pour un centre de jeunes (Le Clos du chemin vert où Anne-Laure est devenue la marraine, NDLR). Et ma maman était infirmière à domicile, et de temps en temps, elle m’emmenait faire ses tournées, et je voyais une réalité très différente de la mienne. Elle a aussi travaillé pour un établissement d’enfants placés à Momignies (L’Heureux abri), régulièrement, des enfants venaient passer un après-midi pour jouer chez nous. Je ne peux pas dire que je découvre tout ça. Je crois que mes parents ont voulu, très jeune, m’y sensibiliser pour que je comprenne que tous les enfants n’ont pas ma chance…

 

Vous sentez que les choses évoluent depuis le lancement de «Viva For Life» ?

Malheureusement, il n’y a pas moins d’enfants dans le besoin. Mais on en aide de plus en plus. La réalité est là. Elle reste dramatique. Elle reste insupportable mais on aide des associations qui soutiennent les familles. Les aides sont données sur base de projets. Elles doivent être précises dans les dossiers qu’elles nous rentrent. Ce qui fait chaud au cœur, c’est que quand on fait le bilan de l’opération, et qu’on demande aux associations d’expliquer ce qu’elles ont pu réaliser, on se rend compte que l’argent versé a réellement permis d’aider un bon nombre de familles en plus. L’idée est de penser à l’avenir des enfants et leur donner un maximum de chances. Quand elles présentent leur bilan, pour nous, c’est super motivant.

 

Sur les réseaux sociaux, des voix s’élèvent contre un certain voyeurisme…

Je peux les comprendre. Ça peut passer pour du voyeurisme, alors que ça n’en est pas. Une dame d’une association m’a dit : «Vous savez, la pauvreté, c’est extrêmement tabou. On n’en parle pas. Elle est cachée. Les gens ont honte…» Et tant qu’ils se cachent, on ne peut pas les aider. Parce qu’on ne le sait pas. Oui, Viva For Life peut en choquer certains. Sauf que si on ne permet pas aux gens d’oser s’exprimer, et dès qu’une personne témoigne, il y a un effet boule de neige et d’autres aussi s’ouvrent, elles vont faire la démarche d’aller frapper à des portes. On sert au moins ça. Je conçois que des personnes soient choquées, mais il faut que la pauvreté ne soit plus un sujet tabou. Le fait que des témoignages passent à une heure de grande écoute sur La Une, ça permet à d’autres d’oser faire part de leurs problèmes. Et rien que pour ça, Viva For Life a une raison d’être.

 

Votre journée semble aussi chargée que si vous étiez enfermée dans le Cube, non ?

Exactement ! Je suis un peu plus en contact avec les personnes qui font les défis. Les animateurs sont vraiment isolés et ils vivent dans des conditions différentes. La fatigue pour eux est plus importante que la mienne. Ils se relaient sur antenne tout le temps et ils dorment dans le bruit… Et ils sont tout le temps exposés au regard des autres. Et ça fait partie du défi. Je ne peux pas me comparer à eux. Ils vivent des choses plus compliquées que ce que je fais pendant l’opération.

 

Viva For Life a changé votre façon d’envisager les fêtes de fin d’année ?

Oui. Je reste très attachée aux fêtes, mais je suis de moins en moins attachée aux cadeaux, à faire des grandes choses… Je vais passer les réveillons dans des comités très restreints, très familial et ça me va très bien. Chaque année, on sort de cette aventure extrêmement bouleversés parce que les témoignages nous imprègnent. L’émotion est très grande et les proches sont un réconfort.

 

À mi-parcours de l’aventure, comment se sentent Ophélie, Sara et Cyril ?

Ils sont en super forme. Je suis impressionnée. Sara a l’énergie qu’on lui connaît. À ce niveau-là, elle ne va pas contre sa réputation. C’est un rayon de soleil en permanence. Ophélie est plus concentrée sur la cause, mais elle est aussi bien dans l’ambiance. En amont, elle s’est beaucoup informée et on voit qu’elle est très concernée. Quant à Cyril, c’est une éponge à émotions. Il est extrêmement sensible et il vit tout ça très intensément.

 

Vous sentez une différence émotionnelle parce qu’il y a deux filles dans le Cube ?

Pas du tout. Cyril a une petite fille, donc sa sensibilité est à fleur de peau aussi… C’est un groupe qui s’entend très bien. Je ne dirais pas non plus que c’est plus calme, parce que Sara est très fêtarde et très déconne. C’est équilibré. Le côté fêtard de Sara et la sensibilité de Cyril font que ça prend très bien.

Pourrait-on vous retrouver un jour dans le cube, comme animatrice ?

Ça fait partie des choses que j’envisage… L’équipe sait que je suis partante. On verra bien… Je vais là où on a besoin de moi. Tant qu’on me demande de faire de la présentation quotidienne, je le fais, et si on me demande de rentrer dans le cube, ce sera avec autant de plaisir.

Entretien : Pierre Bertinchamps

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