Aux États-Unis, ce sont plus de 17 millions de téléspectateurs qui se sont pressés pour découvrir les premières aventures indépendantes de l’équipe d’agents du NCIS à La Nouvelle-Orléans.
Mardi 23 septembre, CBS donnait le coup d’envoi d’une nouvelle déclinaison de sa franchise à succès, «NCIS».
Un vaste terrain de jeu
La chaîne américaine poursuit ainsi sa conquête du territoire et du public américain en explorant de nouvelles zones géographiques. Cette politique, souvenez-vous, était déjà à l’œuvre dans «Les Experts».
Emmenée par Dwayne Pride alias «Le King», l’équipe se compose de l’agent spécial Christopher LaSalle et de la charismatique Meredith Brody. Pour les seconder, le Dr Loretta Wade, aussi excentrique qu’intelligente, intervient en tant que médecin légiste.
Leur nouveau bureau couvre une large zone située entre Pensacola, l’État du Mississippi, la Louisiane et la frontière du Texas. Sans oublier le bayou, bien entendu.
Une dynamique déjà bien rôdée
Rien de très original pour le moment… Après avoir découvert le premier épisode, ce nouveau spin-off ne nous offre rien de très original pour le moment. Si les premières enquêtes dans la Big Easy (une ville locale réputée pour son univers décadent) pèchent par leur manque d’originalité, on est par contre convaincu par la dynamique qui a fait le succès de «NCIS» : un chef bourru au bon fond, une tête brûlée et une légère touche de féminité.
Pour l’heure, les fans les plus attentifs déduiront si oui ou non les scénaristes ont su exploiter au mieux toute la culture de cette région riche et ambivalente pour donner un souffle neuf à «NCIS».
Sébastien Varveris
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