«Évidemment» a été présenté, dimanche soir, chez Laurent Delahousse, sur France 2.
Après la déroute de l’an dernier, avec un groupe breton qui chantait en breton, la France devait se reprendre à l’Eurovision. Être directement versé en finale, c’est un avantage, mais c’est aussi un inconvénient… Les titres du Big 5 passent en dernier lors des répétitions su place, et le téléspectateur ne découvre la performance que le samedi soir, une seule fois, en direct. Il faut donc attaquer d’emblée pour convaincre.
C’est le cas d’«Évidemment», le titre de la chanteuse canadienne La Zarra. Une envolée pop à la fois moderne et qui rappelle le style d’Edith Piaf. Une entourloupe à la française que France 2 a utilisé, avec succès, en 2021, à Rotterdam, lorsque «Voilà» de Barbara Pravi s’est hissé à la 2e place du classement…
Le titre se veut être «un hymne français sur l’amour universel, l’amour de soi, l’amour d’un bonheur absolu dans un monde si complexe, la bataille d’une vie pour arriver à l’amour sincère». Pour la chanteuse, c’est «une chanson qualitative qui représente la France avec un beau message».
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Selon les premiers échos, sur les réseaux sociaux dimanche soir, l’accueil de la communauté de l’Eurovision est plutôt bon. Mais ce n’est que le début du processus. La performance, sur la scène de Liverpool, aura également toute son importance, le 13 mai prochain, lors du 67e Concours Eurovision de la chanson. Évidemment.
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