Ian Somerhalder montre les crocs avec «V Wars» sur Netflix

Ian Somerhalder joue les héros dans «V Wars» © Capture d'écran YouTube / Netflix

Il n’était plus apparu sur petit écran depuis deux ans… Ian Somerhalder, qui a incarné Damon Salvatore dans la série «The Vampire Diaries», réalise un come-back remarqué sur Netflix. Producteur et acteur de «V Wars», l’américain reste dans le registre vampirique. Bonne ou mauvaise idée ?  À vous de juger…

Les répercussions du changement climatique sont nombreuses : extinctions de diverses espèces animales, fonte des calottes glaciaires et… un virus lâché en pleine nature qui transforme l’ADN.

Après avoir réalisé des recherches en zone froide, le docteur Luther Swann et son meilleur ami, Michael Fayne, sont atteints de plusieurs symptômes. Si la «maladie» ne touche pas Swann, pour Fayne c’est l’horreur. En quelques jours, l’homme se transforme en monstre suceur de sang incontrôlable.

Une guerre est lancée. L’infection se propage rapidement et divise la société en deux : les gens immunisés et les vampires. Swann cherche à tout prix le moyen de trouver un antidote et sauver la population.

Stop ? Ou encore ?

Cette décennie, les séries vampiriques ont cartonné. De «True Blood» à «Buffy» en passant par «The Strain», les fans de fantastique ont été servis.

Si nous pensions tous que le registre s’était essoufflé, Netflix n’a pas dit son dernier mot. Avec l’adaptation des comics «V Wars» d’Alan Robinson, la plateforme de streaming compte frapper fort. Et c’est déjà réussi ! Remettre Ian Somerhalder sur le petit écran et dans une série de suceurs de sang, il fallait le faire…

Contrairement à Paul Wesley et Nina Dobrev (ses deux collègues de l’époque), Ian Somerhalder ne compte pas abandonner ses récits vampiriques. Loin du rôle de «méchant» qu’il incarnait dans «The Vampire Diaries», l’acteur interprète le docteur Luther Swann, marié et père, immunisé contre ce virus qui transforme la population en monstre.

Pour l’originalité, on repassera… Cependant, et il faut bien l’avouer, l’effort est présent. Bien loin d’Edward Cullen de «Twilight» et des vampires sexy habituels, les prédateurs de «V Wars» sont de vrais monstres assoiffés de sang. Et la ressemblance physique avec le personnage de «Venom» (Marvel) est très intéressante.

De plus, l’approche est inédite. Les transformations sont cette fois-ci dues à la conséquence d’un virus libéré à cause du changement climatique. Un sujet bien actuel…

Selon Ian Somerhalder, une saison 2 est déjà envisageable. En effet, de nombreuses questions restent en suspens après ces dix épisodes.

L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici