Ce jeudi 16 mars dès 19h45, RTL-TVI propose une soirée totalement dédiée à François Damiens, avec un portrait inédit de l’acteur, raconté par une connaissance de longue date : Jean-Michel Zecca.
C’est sur un voilier que Jean-Michel Zecca a rencontré son «vieil» ami, François Damiens. Les deux Belges se connaissent bien puisqu’ils se sont rencontrés dans l’émission d’humour «Si c’était vous !» de RTL-TVI. Un portrait très intime qui vaut vraiment le coup d’œil.
D’où vient l’idée d’une interview au grand air, sur un bateau ?
C’est une idée qui a germé dans l’esprit de François Damiens et de moi. Ça remonte à quelques années, quand je présentais «Ma semaine avec…» (sur RTL Paris, NDLR). J’enregistrais pendant 2 ou 3 heures chez des personnalités. Avec François, j’avais passé toute une soirée sur sa terrasse, et on s’est dit que c’était frustrant que ce ne soit que de la radio, parce qu’on avait envie de remontrer des images comme les caméras cachées. On voulait prolonger le plaisir avec un portrait à la télé. Il a sorti : «Ce serait cool de se barrer deux jours sur un bateau…» C’est le point de départ. Et on s’en est reparlé l’été dernier…
Après Stromae, Hazard et Wilmots, il y aura d’autres portraits de prévus ?
Attention, celui de François Damiens n’a rien avoir avec les trois autres. C’est une réalisation tout à fait différente avec une boîte de production (Switch On) différente que la collection «Qui es-tu… ?». Il y aura bien un prochain portrait, ce sera avec le Prince Laurent.
Entretien : Pierre Bertinchamps
Retrouvez l’interview de François Damiens, dans le Télépro n°3288 du 9 mars 2017
Découvrez la bande-annonce de l’émission spéciale François Damiens :
Le succès de «La Famille Bélier» est inattendu ?
Il en parle un peu dans l’émission. Quand un acteur accepte un scénario, c’est parce qu’il est convaincu par l’idée. Je ne crois pas qu’un comédien, et surtout dans le cas de François, calcule le succès pour accepter des propositions. C’est plutôt ce que raconte l’histoire, la manière dont ça lui parle et dont il pourrait s’approprier le personnage.
Votre première rencontre s’est passée comment ?
Je ne me souviens pas de la première, mais avant qu’on ne soit potes, François était assistant de production dans «Si c’était vous !», l’émission de caméras cachées que je présentais. À l’époque, je tournais un gag et j’étais dans une galère… François était dans mon oreillette, et il n’arrêtait pas de me lancer des propositions de gags et d’idées que lui trouvait drôles. Et ça a mal tourné finalement… Je suis arrivé dans le car régie, et je lui ai sorti : «si tu sais mieux que tout le monde ce qui fait rire, vas-y tente-le ! Fais nous rire.» Evidemment, il a sauté sur l’occasion, et avec ce talent, sa folie et sa singularité, il y est allé. Après 10 minutes, on s’est tous regardés dans la régie, parce qu’il l’a fait, et en plus, c’était bon. On ne savait pas encore ce qu’il se passerait autour du personnage, mais c’était déjà un «barjot». Il a osé de ces trucs…
En septembre, on disait que vous aviez passé deux jours sur le bateau…
En fait, c’est un week-end en Bretagne. On n’a pas navigué deux jours, mais tourné plusieurs heures. Les images sont magnifiques.
Après Stromae, Hazard et Wilmots, il y aura d’autres portraits de prévus ?
Attention, celui de François Damiens n’a rien avoir avec les trois autres. C’est une réalisation tout à fait différente avec une boîte de production (Switch On) différente que la collection «Qui es-tu… ?». Il y aura bien un prochain portrait, ce sera avec le Prince Laurent.
Entretien : Pierre Bertinchamps
Retrouvez l’interview de François Damiens, dans le Télépro n°3288 du 9 mars 2017
Découvrez la bande-annonce de l’émission spéciale François Damiens :
Damiens se confie très peu. Sans vous, il n’y aurait pas eu de portrait ?
En tout cas, il ne l’avait jamais fait, et de cette manière-là. Ce serait prétentieux de dire «si ça n’avait pas été moi…» Je n’en sais rien. Il l’a accepté par ce qu’on se connaît et qu’il avait confiance.
François Damiens n’apparaît pas souvent en télé. Il aurait pris le «grosse tête» ?
Ce n’est pas parce qu’on apparaît peu en télé, qu’on a pris la «grosse tête» ! C’est justement l’inverse. François est quelqu’un de suffisamment intelligent et avec du recul sur lui-même pour être à l’abri de prendre quoi que ce soit comme grosse tête. C’est l’antithèse de cela.
Quel rôle préférez-vous de lui ?
C’est difficile. Et je n’aime pas le jeu qui veut qu’on isole un rôle ou plutôt qu’un autre. Ce qui est intéressant, c’est de constater que ce soit du début dans «Dikkeneke», en passant par «Taxi 4», «La Famille Bélier» ou «La Délicatesse», François peut tout jouer. Et il est allé aussi prendre des risques dans des longs métrages plus confidentiels. Il ne choisit pas ses rôles en fonction du nombre d’entrées potentielles. Il va parfois choisir un réalisateur, mais encore… pas toujours. Pour moi, c’est ça l’intelligence d’un acteur : quelqu’un qui se met en danger.
Le succès de «La Famille Bélier» est inattendu ?
Il en parle un peu dans l’émission. Quand un acteur accepte un scénario, c’est parce qu’il est convaincu par l’idée. Je ne crois pas qu’un comédien, et surtout dans le cas de François, calcule le succès pour accepter des propositions. C’est plutôt ce que raconte l’histoire, la manière dont ça lui parle et dont il pourrait s’approprier le personnage.
Votre première rencontre s’est passée comment ?
Je ne me souviens pas de la première, mais avant qu’on ne soit potes, François était assistant de production dans «Si c’était vous !», l’émission de caméras cachées que je présentais. À l’époque, je tournais un gag et j’étais dans une galère… François était dans mon oreillette, et il n’arrêtait pas de me lancer des propositions de gags et d’idées que lui trouvait drôles. Et ça a mal tourné finalement… Je suis arrivé dans le car régie, et je lui ai sorti : «si tu sais mieux que tout le monde ce qui fait rire, vas-y tente-le ! Fais nous rire.» Evidemment, il a sauté sur l’occasion, et avec ce talent, sa folie et sa singularité, il y est allé. Après 10 minutes, on s’est tous regardés dans la régie, parce qu’il l’a fait, et en plus, c’était bon. On ne savait pas encore ce qu’il se passerait autour du personnage, mais c’était déjà un «barjot». Il a osé de ces trucs…
En septembre, on disait que vous aviez passé deux jours sur le bateau…
En fait, c’est un week-end en Bretagne. On n’a pas navigué deux jours, mais tourné plusieurs heures. Les images sont magnifiques.
Après Stromae, Hazard et Wilmots, il y aura d’autres portraits de prévus ?
Attention, celui de François Damiens n’a rien avoir avec les trois autres. C’est une réalisation tout à fait différente avec une boîte de production (Switch On) différente que la collection «Qui es-tu… ?». Il y aura bien un prochain portrait, ce sera avec le Prince Laurent.
Entretien : Pierre Bertinchamps
Retrouvez l’interview de François Damiens, dans le Télépro n°3288 du 9 mars 2017
Découvrez la bande-annonce de l’émission spéciale François Damiens :
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