Les séries de serial killer cartonnent sur Netflix !

«Parole de tueur» revient sur le cas de Henry Lee Lucas, un serial killer américain © Capture d'écran YouTube / Netflix
Aurélie Bronckaers
Aurélie Bronckaers Journaliste

Les enquêtes criminelles et les tueurs en série fascinent le monde entier. Et on se demanderait bien pourquoi… Netflix en est bien conscient et propose régulièrement des séries documentaires sur le sujet. Basées sur des faits réels, ces séries sont bingewatchées dès leur sortie. 

Télépro vous dévoile ses trois coups de cœur.  

1. «Parole de tueur»

Diffusée à partir du 6 décembre 2019, la docu-série «Parole de tueur» revient sur l’une des histoires les plus sordides d’Amérique. Celle de Henry Lee Lucas, décédé en 2001, reconnu coupable d’une dizaine d’assassinats. Dont celui de sa mère. Le serial killer dit être à l’origine de 600 meurtres. Ces chiffres restent encore à prouver. L’homme n’utilisait aucune arme, exceptée ses mains. N’ayant aucune motivation, à part aimer tuer, le personnage de Henry Lee Lucas reste un véritable mystère.

Dirigé par Robert Kenner, «Parole de tueur» réalise un portrait sombre d’un homme tout aussi lugubre. Sur base de témoignages et images d’archives, la série décrypte le vrai du faux d’une enquête établie sur plusieurs dizaines d’années.

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2. «Don’t F**ck with Cats : un tueur trop viral»

Luka Magnotta, surnommé le dépeceur de Montréal, est le monstre le plus recherché sur le Web. En 2010, il publie plusieurs vidéos de lui torturant des chatons. La toile s’enflamme, les internautes sont furieux et une enquête est menée. Les faits se répètent et empirent. En 2012, l’homme fait le buzz en diffusant l’assassinat d’un étudiant. Il est accusé par la suite de plusieurs méfaits comme de la nécrophilie. Traqué par le monde entier, le meurtrier est retrouvé à Berlin et enfermé à perpétuité.

«Don’t Fuck with Cats : un tueur trop viral» est réalisée sur base de trois épisodes d’une heure chacun. La série documentaire dresse le portrait d’un monstre sans pitié et imbu de lui-même. Elle démontre par la même occasion le dark web dans tout sa splendeur…

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3. «Making a Murderer»

L’affaire Avery ne vous dit peut-être rien. Pourtant, elle a passionné de nombreux Américains. Tout commence à l’été 1985 quand Penny Beerntsen est violée. La jeune femme réussit à s’échapper et à décrire l’homme qui l’a agressée. Steven Avery est rapidement soupçonné. Condamné, il reste enfermé 18 ans jusqu’à être innocenté. Deux ans plus tard, il est à nouveau dans le viseur de la justice, pour le meurtre de Teresa Halbach.

«Making a Murderer» s’est imposée comme LA série documentaire de l’année 2015. Elle a connu un succès fulgurant et a lancé la voie aux nombreuses productions d’enquêtes criminelles. En 2018, le cas de Steven Avery revient sur le devant de la scène avec une seconde saison tout aussi passionnante. Une troisième pointe le bout de son nez. La justice américaine n’est clairement pas infaillible…

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