Maria Del Rio renvoie Javier Rodriguez… en 1984 !

Javier Rodriguez entouré de sa femme et ses filles © RTL-TVI

Dans le second volet de «Souvenirs, souvenirs», ce dimanche à 20h45 sur RTL-TVI, Javier Rodriguez relève le défi de Maria Del Rio et fait un bond de 36 ans dans le passé ! Télépro a recueilli les impressions de l’ex-aventurier de Koh-Lanta.

Qu’est-ce qui vous a motivé à accepter de remonter le temps jusqu’en 1984 ?

Qui n’a pas rêvé, une fois dans sa vie, d’avoir l’occasion de revivre son adolescence ? Ensuite, être accompagné de ma femme et de mes enfants, deux filles de 15 et 18 ans, c’était fabuleux. Rien que le fait de savoir qu’elles allaient vivre une expérience de trois jours sans leur téléphone me paraissait dingue. J’avais envie de les écarter de leur smartphone et de leur montrer qu’on peut aussi vivre sans cet objet et la technologie qui l’accompagne.

Y a-t-il eu de la moquerie de la part de vos enfants, une fois installés dans cette maison au look eigthies ?

Bien entendu. Tous les objets qu’elles voyaient, il fallait, limite, en expliquer le fonctionnement. En plus du poste de télévision, il y avait un walk-man, un tourne-disque. Et puis, il a fallu se changer et prendre le look 1984 ! Même si ma fille de 15 ans est fan de «Stranger Things», elle s’est surtout moquée de nos coiffures et des couleurs vestimentaires assez vives ! Quand vous découvrirez mes chaussures trouées et mes chaussettes blanches, vous comprendrez les moqueries. (Rires)

La télé n’avait pas encore de télécommande !

Effectivement, il fallait se lever pour changer de chaîne. Il y avait aussi la mire ! Rappelez-vous, à partir de minuit, les programmes se terminaient et il fallait éteindre son poste alors qu’aujourd’hui, c’est du non-stop !

En 1984, «Koh-Lanta» n’existait pas. Étiez-vous déjà fan des émissions d’aventure ?

Oui. C’était «La Chasse aux trésors» avec le regretté Philippe de Dieuleveult. J’étais aux aguets dès que je le voyais à bord de son hélicoptère. Ce programme, c’était une sorte de «Pékin Express» car il n’arrêtait pas de quitter son engin volant pour courir dans les villes et demander des informations aux gens.

Extraits d’une interview parue dans Télépro du 1er octobre 2020

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