«Mask Singer», c’est parti !

Jarry, Alessandra Sublet, Kev Adams et Anggun ne sont pas logés à la même enseigne... © TF1

Après plusieurs semaines d’autopromotion,TF1 lance le premier prime de «Mask Singer» ce vendredi. Le nouveau divertissement aux allures de mastodonte a déjà fait ses preuves à l’étranger et a requis des moyens colossaux à la première chaîne européenne. Inutile de préciser qu’elle fonde en ce programme beaucoup d’espoirs.  

Vous voulez en savoir plus sur le concept singulier de l’émission et les coulisses du tournage ? Lisez ceci…

L’animateur Camille Combal ignore tout de l’identité des douze participants de «Mask Singer», diffusé vendredi sur TF1. «Nous sommes moins de dix à être dans la confidence», affirme Julien Degroote, directeur du développement des programmes, au journal Le Parisien. «Et nous avons choisi des gens connus de tous au premier regard», promet-il.

Dissimulés derrière des costumes d’animaux loufoques, scintillants et onéreux (de 25.000 à 45.000  € le déguisement confectionné sur mesure), ils sont chanteurs, sportifs, acteurs, humoristes, hommes et femmes politiques… Ils poussent la chansonnette face à un public et un jury d’enquêteurs.

Kev Adams, Anggun, Jarry et Alessandra Sublet sont chargés d’évaluer leurs performances et de deviner leurs identités grâce à quelques indices. Si leurs voix ne sont pas modifiées quand ils chantent, elles le sont quand ils parlent.

Adapté d’un concept coréen, mi-jeu, mi-divertissement, «Mask Singer» a fait ses preuves dans plusieurs autres pays (Chine, Thaïlande, Vietnam…) et cartonne aux États-Unis…

Extrait d’un article paru dans Télépro du 31/10/2019

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