Ce vendredi 24 octobre dès 20.50, La Une renoue avec le concept des caméras cachées. Pour trois rendez-mensuels déclinés en thèmes («La Guerre des sexes», «Âmes sensibles s’abstenir, «Les risques du métier»), «Ça n’arrive pas qu’aux autres» donne un coup de jeune aux séquences de «Monsieur Zygo».
En plateau, entourée d’un invité de marque (Michel Leeb, Arnaud Tsamère et Pascal Légitimus), de chroniqueurs (la comportementaliste Anne Malpas, le relookeur David Jeanmotte…) et de personnalités piégées (la Miss Noémie Happart, Marc Wilmots…), Maureen Louys joue au chef d’orchestre.
Quant à la saison 4 de «The Voice», elle démarre l’enregistrement des auditions à l’aveugle durant la semaine des vacances d’automne, toujours à Médiarives (Liège).
Avec «Ça n’arrive pas qu’aux autres», on est loin de la présentation de «The Voice» !
Cette émission a un format proche du talk-show, et s’adresse aux familles. Je suis ravie ! Rire et émotions, c’est la formule parfaite pour vaincre la dépression saisonnière.
Avec «The Voice», vous avez essuyé des critiques via Twitter. Avez-vous modifié quelque chose ?
J’avais été très surprise… Je n’y étais pas préparée, et cela ne m’a pas fait plaisir d’en prendre pour mon grade. J’aimais bien mes robes à froufrous, mais elles attiraient trop l’attention. Je me suis calmée sur la garde-robe, j’ai opté pour le noir et un peu plus de sobriété.
Avez-vous des chouchous à chaque saison ?
Bien sûr ! Mais je ne le dis jamais sur le moment, je ne veux chagriner personne. Pour les talents, «The Voice» est une aventure très difficile à vivre. Ils affrontent la médiatisation, les réactions pas toujours cool sur les réseaux sociaux… Par exemple, j’adorais Megan Giart, de la saison 1. Elle est belle et gentille comme un cœur. En général, j’aime les voix rauques et jazzy.
Vous connaissez déjà certains talents de cette 4e saison ?
Non, je les découvrirai à Médiarives, où je vais fêter d’ailleurs mes 36 ans lors des enregistrements. L’arrivée des nouveaux coaches va souffler aussi un vent de nouveauté. Marc Pinilla avait un caractère bien trempé, un tempérament latin. Ici, on accueille d’autres personnalités avec Chimène Badi, Jali et Stanislas.
Entretien : Caroline GESKENS
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici