Ophélie Fontana : «On se bouge et on essaie d’inciter les gens à faire des dons !»

Ophélie Fontana : «On se bouge et on essaie d’inciter les gens à faire des dons !»
Pierre Bertinchamps Journaliste

C’est la deuxième édition dans le Cube de Viva For Life pour Ophélie Fontana. Et la journaliste n’a pas été difficile à convaincre…

Samedi après-midi, à 24 heures du lancement du 5e Viva For Life, les trois animateurs, Sara De Paduwa, Ophélie Fontana et Cyril Detaeye, faisaient le tour du propriétaire de leur lieu de villégiature pour 6 jours, à Nivelles. En fait, ils ne pouvaient pas rentrer dedans, la production voulait que la surprise (sur la nouvelle implantation) soit gardée le plus longtemps possible.

«Ce n’est pas comme ça que je vois les choses»

L’occasion de rencontrer Ophélie Fontana et de parler de son envie de refaire partie de l’aventure. «J’ai moins d’appréhension que l’année passée, avec beaucoup d’impatience de pouvoir retrouver Sara et Cyril dans le Cube et faire encore en mieux que ce qu’on a réalisés en 2016», confie-t-elle.

«Redonner le sourire»

Malgré le fait que la journaliste connaisse l’aventure, elle ne néglige pas la préparation. «Pour se préparer, j’ai un petit peu moins mangé cette semaine pour rapetisser mon estomac et qu’il réclame moins de nourriture» sourit-elle. «Pour le sommeil, j’ai essayé de dormir un maximum, mais ce n’est pas facile parce que j’ai travaillé assez tard avant l’opération. Et puis, il y a aussi la famille à s’occuper… J’ai mis un maximum de chances de mon côté, mais je crois qu’on n’est jamais vraiment prêts. On verra quand on sera dedans, finalement.»

Six jours de direct, 144 heures enfermés, pas de nourriture solides et des défis pour pimenter les journées ; Ophélie Fontana ne faiblira pas ! «Redonner le sourire à des enfants, c’est ça le grand défi qui je vais relever», conclut-elle.

Pierre Bertinchamps  

«Mais ce qui me motive, ce sont les chiffres et la demande des associations», enchérit Ophélie. «La pauvreté n’est pas du tout en recul. Il y a de plus en plus de projets pour aider les enfants en difficultés. Que voulez-vous que l’on fasse à part agir ? Je préfère faire, même un petit peu, que rien du tout, ou devoir me retrancher derrière les politiques qui doivent agir. Non, ce n’est pas comme ça que je vois les choses. On se bouge et on essaie d’inciter les gens à faire des dons.»

De l’année dernière, Ophélie garde quelques souvenirs marquants. «Ce sont des moments incroyables qui sont gravés dans la mémoire», raconte la journaliste. «Viva For Life a créé un lien très fort entre nous, parce qu’on a croisé des gens qui se sont mis à nu pour nous. Ils nous ont parlé de leur situation, leur vie privée… Il y a des petites phrases entendues qui trottent depuis dans ma tête. J’ai appris aussi plein de choses au niveau professionnel, comme la radio qui ne m’était pas familière.»

«Redonner le sourire»

Malgré le fait que la journaliste connaisse l’aventure, elle ne néglige pas la préparation. «Pour se préparer, j’ai un petit peu moins mangé cette semaine pour rapetisser mon estomac et qu’il réclame moins de nourriture» sourit-elle. «Pour le sommeil, j’ai essayé de dormir un maximum, mais ce n’est pas facile parce que j’ai travaillé assez tard avant l’opération. Et puis, il y a aussi la famille à s’occuper… J’ai mis un maximum de chances de mon côté, mais je crois qu’on n’est jamais vraiment prêts. On verra quand on sera dedans, finalement.»

Six jours de direct, 144 heures enfermés, pas de nourriture solides et des défis pour pimenter les journées ; Ophélie Fontana ne faiblira pas ! «Redonner le sourire à des enfants, c’est ça le grand défi qui je vais relever», conclut-elle.

Pierre Bertinchamps  

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