Sara De Paduwa présente «Les Associés» sur La Une : «C’est un rêve qui se réalise pour moi»

Sara De Paduwa présente «Les Associés» sur La Une : «C’est un rêve qui se réalise pour moi»
Pierre Bertinchamps Journaliste

Nouveau défi pour Sara De Paduwa : dès ce lundi 24 septembre à 17h30, la RTBF lui confie l’animation de son jeu quotidien, «Les Associés». À J-3, l’animatrice se livre à quelques confidences pour Télépro.

 

En quoi consiste «Les Associés» ?

Ce sera tous les jours sur La Une, avant «On n’est pas des pigeons !», pour bien démarrer la soirée. C’est un jeu qui existe déjà puisque c’est l’adaptation du format (de la RAI, NDLR) «L’Eredità» et qui a été développé partout dans le monde. Il a tellement été développé qu’il y a des dizaines de manches qui existent, et on peut prendre les manches qui nous intéressent ou pas dans le format. Notre sauce belge, ce sera de plus jouer que dans «Les 12 coups de midi», par exemple.

C’est-à-dire ?

Il y aura cinq manches en tout. On commencera avec un jeu de rapidité assez rigolo où c’est plus l’intuition que les connaissances qui sera à l’épreuve tellement ça va aller vite. Le but pour les candidats est d’aller jusqu’au bout et d’être un «champion».

C’est du contact vrai et direct avec le public. Tant que j’aurai l’énergie pour le faire, je répondrai présente. Je suis persuadée que j’ai encore des choses à apporter.

Un petit mot pour le petit nouveau, Adrien Devyver ?

Je crois qu’il ne sait pas dans quoi il se lance, mais bravo ! (rires) Du sang neuf, ça fait toujours du bien quel que soit le projet. On sera là, avec Ophélie pour l’encadrer. On va tout faire pour le mettre à l’aise et être derrière lui dans les bons moments comme les plus durs. Honnêtement, je le vois bien dans l’exercice.

Entretien : Pierre Bertinchamps

C’est tellement facile d’acheter un programme tout fait. Et c’est ce qu’on avait avant sur La Une, avec «Affaire conclue». Il faut avoir de sacrés c… pour oser un changement de cap.

Quel est votre jeu télé préféré ?

Quand j’étais petite, je jouais beaucoup au Trivial Pursuit et je voulais toujours lire les questions des autres. C’est un peu un rêve qui se réalise pour moi, aujourd’hui. Je regarde beaucoup Reichmann, j’aime sa façon d’être avec les candidats, mais mon jeu télé préféré, c’était «Pyramide». Il y a eu aussi «Qui est qui ?». J’adore les devinettes en général.

Vous étiez demandeuse d’un jeu ?

En fait, oui ! C’était un désir qui était resté dans un coin de ma tête au départ… J’en avais un peu parlé çà et là, mais sans vraiment y croire et insister. Et puis, on m’a demandé si j’étais partante de relancer un jeu sur la RTBF. J’ai dit «oui» tout de suite.

Malgré cet agenda chargé, vous repartez pour «Viva For Life» en décembre. Vous êtes devenue la «Reine» dans le Cube. Chaque année vous revenez…

Vous en avez marre ou quoi ? (Rires collégial) L’énergie est là. Le cœur aussi…Oui, j’ai plus de boulot chaque année, mais c’est le seul moment de la saison où je peux vraiment donner et vivre quelque chose de dingue.

C’est du contact vrai et direct avec le public. Tant que j’aurai l’énergie pour le faire, je répondrai présente. Je suis persuadée que j’ai encore des choses à apporter.

Un petit mot pour le petit nouveau, Adrien Devyver ?

Je crois qu’il ne sait pas dans quoi il se lance, mais bravo ! (rires) Du sang neuf, ça fait toujours du bien quel que soit le projet. On sera là, avec Ophélie pour l’encadrer. On va tout faire pour le mettre à l’aise et être derrière lui dans les bons moments comme les plus durs. Honnêtement, je le vois bien dans l’exercice.

Entretien : Pierre Bertinchamps

La concurrence va être rude…

Ce ne sera pas facile, soyons francs ! Mais pourquoi pas un peu de belgitude, de nos accents et de notre humour. Des choses qui nous rattachent à nous et notre histoire. On le verra beaucoup dans les questions. J’y crois vraiment.

Il y a un objectif d’audience ?

Moi, on ne m’en a pas parlé. Je pense que la direction est très consciente de la case. Plus on sera, mieux c’est évidemment ! (rires) Ce ne sera pas évident, et c’est un gros défi.

C’est tellement facile d’acheter un programme tout fait. Et c’est ce qu’on avait avant sur La Une, avec «Affaire conclue». Il faut avoir de sacrés c… pour oser un changement de cap.

Quel est votre jeu télé préféré ?

Quand j’étais petite, je jouais beaucoup au Trivial Pursuit et je voulais toujours lire les questions des autres. C’est un peu un rêve qui se réalise pour moi, aujourd’hui. Je regarde beaucoup Reichmann, j’aime sa façon d’être avec les candidats, mais mon jeu télé préféré, c’était «Pyramide». Il y a eu aussi «Qui est qui ?». J’adore les devinettes en général.

Vous étiez demandeuse d’un jeu ?

En fait, oui ! C’était un désir qui était resté dans un coin de ma tête au départ… J’en avais un peu parlé çà et là, mais sans vraiment y croire et insister. Et puis, on m’a demandé si j’étais partante de relancer un jeu sur la RTBF. J’ai dit «oui» tout de suite.

Malgré cet agenda chargé, vous repartez pour «Viva For Life» en décembre. Vous êtes devenue la «Reine» dans le Cube. Chaque année vous revenez…

Vous en avez marre ou quoi ? (Rires collégial) L’énergie est là. Le cœur aussi…Oui, j’ai plus de boulot chaque année, mais c’est le seul moment de la saison où je peux vraiment donner et vivre quelque chose de dingue.

C’est du contact vrai et direct avec le public. Tant que j’aurai l’énergie pour le faire, je répondrai présente. Je suis persuadée que j’ai encore des choses à apporter.

Un petit mot pour le petit nouveau, Adrien Devyver ?

Je crois qu’il ne sait pas dans quoi il se lance, mais bravo ! (rires) Du sang neuf, ça fait toujours du bien quel que soit le projet. On sera là, avec Ophélie pour l’encadrer. On va tout faire pour le mettre à l’aise et être derrière lui dans les bons moments comme les plus durs. Honnêtement, je le vois bien dans l’exercice.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Comme dans tout ce qu’on démarre, il faudra un peu de temps et d’antenne pour que je m’installe et que je trouve mes marques.

Un jeu, c’est très fermé…

Je ne vais pas pouvoir autant délirer que dans «Le 6/8», c’est clair. Mais j’ai tout de même prévenu la production que j’allais rester moi-même. Il y a des codes, bien sûr, mais je ne vais pas me lisser.

Vous allez pouvoir jongler entre enregistrements et direct très matinal ?

Dans un premier temps, on va mettre en boîte par salves (en septembre et en novembre, NDLR) parce qu’on lance le jeu et qu’il a fallu tout créer. Pour l’instant, quand je tourne à Liège, je ne fais pas le «6/8», mais le but, en 2019, est de faire les deux. Sans qu’on ne me remplace. On se laisse 3 mois pour bien lancer «Les Associés».

Vous avez des craintes ?

Non, on a le temps de s’installer. Je ne vois pas trop pourquoi ça ne prendrait pas ! On a eu de bons jeux sur la RTBF, et qui ont très bien fonctionné. L’enjeu est grand, mais on a un atout, c’est de toucher toute la famille au moment où tout le monde rentre à la maison. Et puis, on va apprendre plein de choses, tout en étant très détendu.

La concurrence va être rude…

Ce ne sera pas facile, soyons francs ! Mais pourquoi pas un peu de belgitude, de nos accents et de notre humour. Des choses qui nous rattachent à nous et notre histoire. On le verra beaucoup dans les questions. J’y crois vraiment.

Il y a un objectif d’audience ?

Moi, on ne m’en a pas parlé. Je pense que la direction est très consciente de la case. Plus on sera, mieux c’est évidemment ! (rires) Ce ne sera pas évident, et c’est un gros défi.

C’est tellement facile d’acheter un programme tout fait. Et c’est ce qu’on avait avant sur La Une, avec «Affaire conclue». Il faut avoir de sacrés c… pour oser un changement de cap.

Quel est votre jeu télé préféré ?

Quand j’étais petite, je jouais beaucoup au Trivial Pursuit et je voulais toujours lire les questions des autres. C’est un peu un rêve qui se réalise pour moi, aujourd’hui. Je regarde beaucoup Reichmann, j’aime sa façon d’être avec les candidats, mais mon jeu télé préféré, c’était «Pyramide». Il y a eu aussi «Qui est qui ?». J’adore les devinettes en général.

Vous étiez demandeuse d’un jeu ?

En fait, oui ! C’était un désir qui était resté dans un coin de ma tête au départ… J’en avais un peu parlé çà et là, mais sans vraiment y croire et insister. Et puis, on m’a demandé si j’étais partante de relancer un jeu sur la RTBF. J’ai dit «oui» tout de suite.

Malgré cet agenda chargé, vous repartez pour «Viva For Life» en décembre. Vous êtes devenue la «Reine» dans le Cube. Chaque année vous revenez…

Vous en avez marre ou quoi ? (Rires collégial) L’énergie est là. Le cœur aussi…Oui, j’ai plus de boulot chaque année, mais c’est le seul moment de la saison où je peux vraiment donner et vivre quelque chose de dingue.

C’est du contact vrai et direct avec le public. Tant que j’aurai l’énergie pour le faire, je répondrai présente. Je suis persuadée que j’ai encore des choses à apporter.

Un petit mot pour le petit nouveau, Adrien Devyver ?

Je crois qu’il ne sait pas dans quoi il se lance, mais bravo ! (rires) Du sang neuf, ça fait toujours du bien quel que soit le projet. On sera là, avec Ophélie pour l’encadrer. On va tout faire pour le mettre à l’aise et être derrière lui dans les bons moments comme les plus durs. Honnêtement, je le vois bien dans l’exercice.

Entretien : Pierre Bertinchamps

En fin de partie, si le candidat trouve le bon mot, il revient le lendemain, et il augmentera sa cagnotte. C’est ça l’intérêt. C’est un format plus long qu’un jeu traditionnel (52 minutes, NDLR) parce qu’il y aura plusieurs jeux dans un seul jeu ! On va toujours jouer avec les mots, mais ce seront cinq parties vraiment différentes.

Les gains seront élevés ?

On reste en Belgique… On ne va pas se voiler la face, on n’a pas les moyens de TF1. Les sommes seront moindres et pas du tout négligeables. Et si le champion perdure, il va pouvoir cumuler pour avoir une belle petite cagnotte.

Animer un jeu, c’est nouveau pour vous…

C’est presque un autre métier que de présenter «Le 6/8». C’est une autre technique et un autre rythme. Il faut beaucoup jouer avec l’image. J’ai l’habitude de faire le passe-plat dans les talks. Là, je vais expliquer les règles, poser des questions,… Mais ceux qui feront l’émission, ce seront les quatre candidats. Mon rôle sera très différent : un peu plus maîtresse de cérémonie.

Vous vous êtes inspirée de Jean-Luc Reichmann ou de Nagui ?

J’admire les deux ! Et dans le genre, il y a Jean-Michel Zecca qui est très bon dans ce rôle-là aussi. Tous les trois ont un point commun : ils parlent peu, mais bien. Je préfère ne pas trop m’inspirer, en même temps, ils sont tellement doués parce qu’ils sont dans l’exercice depuis tellement d’années.

Comme dans tout ce qu’on démarre, il faudra un peu de temps et d’antenne pour que je m’installe et que je trouve mes marques.

Un jeu, c’est très fermé…

Je ne vais pas pouvoir autant délirer que dans «Le 6/8», c’est clair. Mais j’ai tout de même prévenu la production que j’allais rester moi-même. Il y a des codes, bien sûr, mais je ne vais pas me lisser.

Vous allez pouvoir jongler entre enregistrements et direct très matinal ?

Dans un premier temps, on va mettre en boîte par salves (en septembre et en novembre, NDLR) parce qu’on lance le jeu et qu’il a fallu tout créer. Pour l’instant, quand je tourne à Liège, je ne fais pas le «6/8», mais le but, en 2019, est de faire les deux. Sans qu’on ne me remplace. On se laisse 3 mois pour bien lancer «Les Associés».

Vous avez des craintes ?

Non, on a le temps de s’installer. Je ne vois pas trop pourquoi ça ne prendrait pas ! On a eu de bons jeux sur la RTBF, et qui ont très bien fonctionné. L’enjeu est grand, mais on a un atout, c’est de toucher toute la famille au moment où tout le monde rentre à la maison. Et puis, on va apprendre plein de choses, tout en étant très détendu.

La concurrence va être rude…

Ce ne sera pas facile, soyons francs ! Mais pourquoi pas un peu de belgitude, de nos accents et de notre humour. Des choses qui nous rattachent à nous et notre histoire. On le verra beaucoup dans les questions. J’y crois vraiment.

Il y a un objectif d’audience ?

Moi, on ne m’en a pas parlé. Je pense que la direction est très consciente de la case. Plus on sera, mieux c’est évidemment ! (rires) Ce ne sera pas évident, et c’est un gros défi.

C’est tellement facile d’acheter un programme tout fait. Et c’est ce qu’on avait avant sur La Une, avec «Affaire conclue». Il faut avoir de sacrés c… pour oser un changement de cap.

Quel est votre jeu télé préféré ?

Quand j’étais petite, je jouais beaucoup au Trivial Pursuit et je voulais toujours lire les questions des autres. C’est un peu un rêve qui se réalise pour moi, aujourd’hui. Je regarde beaucoup Reichmann, j’aime sa façon d’être avec les candidats, mais mon jeu télé préféré, c’était «Pyramide». Il y a eu aussi «Qui est qui ?». J’adore les devinettes en général.

Vous étiez demandeuse d’un jeu ?

En fait, oui ! C’était un désir qui était resté dans un coin de ma tête au départ… J’en avais un peu parlé çà et là, mais sans vraiment y croire et insister. Et puis, on m’a demandé si j’étais partante de relancer un jeu sur la RTBF. J’ai dit «oui» tout de suite.

Malgré cet agenda chargé, vous repartez pour «Viva For Life» en décembre. Vous êtes devenue la «Reine» dans le Cube. Chaque année vous revenez…

Vous en avez marre ou quoi ? (Rires collégial) L’énergie est là. Le cœur aussi…Oui, j’ai plus de boulot chaque année, mais c’est le seul moment de la saison où je peux vraiment donner et vivre quelque chose de dingue.

C’est du contact vrai et direct avec le public. Tant que j’aurai l’énergie pour le faire, je répondrai présente. Je suis persuadée que j’ai encore des choses à apporter.

Un petit mot pour le petit nouveau, Adrien Devyver ?

Je crois qu’il ne sait pas dans quoi il se lance, mais bravo ! (rires) Du sang neuf, ça fait toujours du bien quel que soit le projet. On sera là, avec Ophélie pour l’encadrer. On va tout faire pour le mettre à l’aise et être derrière lui dans les bons moments comme les plus durs. Honnêtement, je le vois bien dans l’exercice.

Entretien : Pierre Bertinchamps

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