RTL lance la 8e saison de «La Grande balade» qui aura pour thème : «La Wallonie insolite».
Le dimanche 10 février prochain, RTL-TVI lancera déjà la huitième saison de sa «Grande balade». Le magazine des bons plans touristiques en Belgique (ou ailleurs) et des petites recettes du terroir (ou pas) fera le tour de la Wallonie insolite. C’est aussi le thème choisi par le ministre René Collin pour la saison touristique 2018. Visite de lieux étonnants, attractions extraordinaires ou musées décalés sont au programme.
«Avec l’arrivée de la concurrence des chaînes françaises, il devient stratégique de produire des programmes locaux», explique Wiet Bruurs, de RTL. «Et c’est vrai que la Wallonie n’est pas très grande, et qu’on a vite fait le tour. Mais grâce à la créativité de Wallonie Belgique Tourisme, on peut trouver de nouvelles thématiques et de nouveaux sujets.»
En effet, l’émission (pour les épisodes en Wallonie) est financée en partie par l’Office wallon du Tourisme. À côté de cela, le placement de produit est un bon appoint pour boucler le budget. «L’insolite est partout», précise le Ministre Collin. «Nous voulons proposer cette année, une Wallonie curieuse, un peu de derrière les fagots, et que l’on ne soupçonne pas. Mais si on s’y aventure, on va être séduit !»
Après «Les Balades de Sandrine» et aujourd’hui, avec «La Grande balade», Sandrine Corman serait-elle la «Madame Patrimoine» de RTL ? «C’est vrai ! Je prends le titre avec plaisir… J’aimerais pouvoir aller un peu plus sur le terrain pour les séquences, mais j’ai une émission de radio en quotidienne, et il faut pouvoir me libérer.»
Après 8 ans, le bilan semble bon pour «La Grande balade . Sans avoir de chiffres précis, les attractions mises en avant voient la différence après la diffusion du programme. Et l’engouement des opérateurs à vouloir faire partie de l’émisson en est une preuve. Du côté de RTL, le discours est identique et les retours du secteur sont bons, d’autant que grâce à un accord passé avec les producteurs, les acteurs touristiques peuvent disposer des images et des reportages gratuitement. Un cas rare.
Pierre Bertinchamps
À la présentation, on retrouve Ludovic Daxhelet (le testeur) et Sandrine Corman. Aux fourneaux, on peut compter sur Julien Lapraille et, dorénavant, sur Mélanie Mayné (du «Meilleur pâtissier») pour mettre en valeur les pâtisseries de nos régions.
«C’est très sympa de présenter ce genre d’émission», confie Sandrine Corman. «Aujourd’hui, j’assiste Mélanie dans sa recette. Bref, je déguste», sourit-elle. L’animatrice regrette de ne pas avoir beaucoup l’occasion de revenir sur les sites, par la suite… «C’est par manque de temps… Mais il y a de chouettes trucs que j’ai envie de montrer à mes enfants. On dit toujours que « la Belgique, il fait froid, c’est moche, y a rien… » et en fait, pas du tout. Moi, ce qui m’interpelle, ce sont les lieux insolites où je peux dormir.»
Après «Les Balades de Sandrine» et aujourd’hui, avec «La Grande balade», Sandrine Corman serait-elle la «Madame Patrimoine» de RTL ? «C’est vrai ! Je prends le titre avec plaisir… J’aimerais pouvoir aller un peu plus sur le terrain pour les séquences, mais j’ai une émission de radio en quotidienne, et il faut pouvoir me libérer.»
Après 8 ans, le bilan semble bon pour «La Grande balade . Sans avoir de chiffres précis, les attractions mises en avant voient la différence après la diffusion du programme. Et l’engouement des opérateurs à vouloir faire partie de l’émisson en est une preuve. Du côté de RTL, le discours est identique et les retours du secteur sont bons, d’autant que grâce à un accord passé avec les producteurs, les acteurs touristiques peuvent disposer des images et des reportages gratuitement. Un cas rare.
Pierre Bertinchamps
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