Netflix nous avait habitués à des séries et films aux contenus riches et originaux. Il était donc peu probable qu’une série sentimentale «cucul la praline» comme «Virgin River» vienne à naître sur la plateforme de streaming. La série est comparable aux nombreux téléfilms de Noël diffusés sur TF1 ou RTL en milieu d’après-midi. Mais arrive tout de même à nous accrocher…
Melinda Monroe vient de Los Angeles. Après avoir répondu à une annonce pour un nouvel emploi d’infirmière, elle déménage dans la petite ville de Virgin River. La jeune femme souhaite prendre un nouveau départ mais rencontre de nombreuses difficultés. Tous les habitants lui tournent le dos. Une seule personne lui accorde le bénéfice du doute : Jack, le charmant barman du coin.
Peu originale mais addictive
Adaptée de la collection harlequin de Robyn Carr, la série «Virgin River» de Netflix remet au goût du jour le genre sentimental et à l’eau de rose. Le pitch est cliché mais la série semble avoir trouvé son public.
En effet, rien de tel en hiver que de s’installer bien au chaud dans son fauteuil devant «Virgin River». Bien que l’histoire soit peu originale, la série est totalement addictive. Les dix épisodes qui composent cette série vous feront passer un moment agréable, sans prise de tête.
Pour les plus pointilleux, les acteurs au casting vous feront sauter de joie. La distribution est composée de têtes bien connues du public. Alexandra Breckenridge qui interprète Melinda, «Mel» pour les intimes, est apparue dans de nombreuses séries comme «Dirt», «Walking Dead» ou encore «This is Us». Martin Henderson qui joue Jack a été pendant deux saisons le Dr Nathan Riggs dans «Grey’s Anatomy». Et les plus attentifs reconnaîtront la mère de Clark Kent de la série «Smallville», Annette O’Toole.
Pour celles et ceux qui sont déjà fans, sachez que Mel et Jack reviendront pour une seconde saison !
