[Viva For Life 2015] Benjamin Maréchal dans de beaux draps à La Louvière !

[Viva For Life 2015] Benjamin Maréchal dans de beaux draps à La Louvière !
Pierre Bertinchamps Journaliste

Une bataille de polochon géante, c’était le défi du Viva For Life Tour, samedi. Une mission accomplie de main de maître par Benjamin Maréchal. Reportage.

C’était dans la Cité des Loups que l’équipe de Viva For Life faisait escale samedi. Pour son deuxième défi, Benjamin Maréchal devait organiser une pyjama party géante avec pas moins de 500 enfants. La barre était déjà très haute.

Les choses sérieuses démarrent vers 9 heures du matin. L’appel à la population est lancé en direct, sur VivaCité. Mais petit hic, la communication est mal passée la veille, dans la Quotidienne. Benjamin a précisé, dans la boutade, «soirée parents non-admis». Du coup les Louviérois n’osent pas envoyer leurs enfants seuls, et le GSM ne crépite pas vraiment. Zoé Vos (la médiatrice de «C’est vous qui le dites !») rassure les quelques appelants : les adultes peuvent bien sûr venir pour la fête.

Sans rien débourser

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

Vers 18h55, C’est le moment, c’est l’instant, Adrien Devyver lance Benjamin Maréchal. Tout se passe à la perfection, la bataille de polochon a lieu devant des centaines de milliers de téléspectateurs de La Une. À Charleroi, c’est le fou rire dans le Cube. Le pari est réussi, le défi est presque relevé ! Les enfants ont adoré la pyjama party géante.

Pendant que les musiciens se préparent pour le showcase offert par la Ville de La Louvière, Benjamin Maréchal fait quelques selfies et Zoé Vos signe des dédicaces sur des oreillers… La popularité de l’émission matinale de radio n’est pas démentie. Il est 19h30, que la fête commence !

«Plus c’est grand et plus c’est dingue, plus ça nous amuse aussi»

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

À une heure du direct, le public commence (enfin) à arriver. La séquence prend forme au soulagement de l’équipe. L’objectif des 500 enfants ne sera pas atteint, mais «ce qui compte, c’est d’avoir pu réunir du monde et donner un chouette spectacle à la télé», précise Maréchal. Les enfants pas encore en pyjama se changent et se placent. Quelques jeunes tamboureurs se joignent à la fête. Les répétitions peuvent démarrer. Les enfants respectent les consignes à la lettre. On refait la scène trois fois avant le duplex. 

Une belle réussite !

Vers 18h55, C’est le moment, c’est l’instant, Adrien Devyver lance Benjamin Maréchal. Tout se passe à la perfection, la bataille de polochon a lieu devant des centaines de milliers de téléspectateurs de La Une. À Charleroi, c’est le fou rire dans le Cube. Le pari est réussi, le défi est presque relevé ! Les enfants ont adoré la pyjama party géante.

Pendant que les musiciens se préparent pour le showcase offert par la Ville de La Louvière, Benjamin Maréchal fait quelques selfies et Zoé Vos signe des dédicaces sur des oreillers… La popularité de l’émission matinale de radio n’est pas démentie. Il est 19h30, que la fête commence !

«Plus c’est grand et plus c’est dingue, plus ça nous amuse aussi»

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

À 16h30, les Louviérois ne se pressent toujours pas au portillon. Les questions sur la présence des adultes sont sur toutes les lèvres. Les passants qui reviennent du marché de Noël (sur la Place Maugrétout, 50 mètres plus haut) promettent de revenir pour le direct. Benjamin va poser sa voix sur le sujet.

Gros débat sur les feux d’artifice offerts par les commerçants et qui devaient être le clou du spectacle. Les pompiers sont appelés pour consultation. Il fallait faire une demande écrite en bonne et due forme… un mois avant. C’est ballot ! Les feux seront remplacés par des bombes à confettis.

À une heure du direct, le public commence (enfin) à arriver. La séquence prend forme au soulagement de l’équipe. L’objectif des 500 enfants ne sera pas atteint, mais «ce qui compte, c’est d’avoir pu réunir du monde et donner un chouette spectacle à la télé», précise Maréchal. Les enfants pas encore en pyjama se changent et se placent. Quelques jeunes tamboureurs se joignent à la fête. Les répétitions peuvent démarrer. Les enfants respectent les consignes à la lettre. On refait la scène trois fois avant le duplex. 

Une belle réussite !

Vers 18h55, C’est le moment, c’est l’instant, Adrien Devyver lance Benjamin Maréchal. Tout se passe à la perfection, la bataille de polochon a lieu devant des centaines de milliers de téléspectateurs de La Une. À Charleroi, c’est le fou rire dans le Cube. Le pari est réussi, le défi est presque relevé ! Les enfants ont adoré la pyjama party géante.

Pendant que les musiciens se préparent pour le showcase offert par la Ville de La Louvière, Benjamin Maréchal fait quelques selfies et Zoé Vos signe des dédicaces sur des oreillers… La popularité de l’émission matinale de radio n’est pas démentie. Il est 19h30, que la fête commence !

«Plus c’est grand et plus c’est dingue, plus ça nous amuse aussi»

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

À 16h heures les choses prennent forme. Le réalisateur et le monteur dérushent les images pour le récap’ de la journée, dans la camionnette de retransmission. Jean-Luc Fonck apparaît (vêtu de son plus beau T-Shirt avec la tête de «Bla-bla». «C’est pour les enfants !», sourit-il. «Pas sûr que les petits d’aujourd’hui s’en souviennent», lâche un technicien. Le chanteur (qui avait fait quatre albums avec la célèbre marionnette de la RTBF) répète son récital. La chambre est fin prête. Benjamin Maréchal revoit la déco. C’est quand même lui le patron !

Dernières mises au point

À 16h30, les Louviérois ne se pressent toujours pas au portillon. Les questions sur la présence des adultes sont sur toutes les lèvres. Les passants qui reviennent du marché de Noël (sur la Place Maugrétout, 50 mètres plus haut) promettent de revenir pour le direct. Benjamin va poser sa voix sur le sujet.

Gros débat sur les feux d’artifice offerts par les commerçants et qui devaient être le clou du spectacle. Les pompiers sont appelés pour consultation. Il fallait faire une demande écrite en bonne et due forme… un mois avant. C’est ballot ! Les feux seront remplacés par des bombes à confettis.

À une heure du direct, le public commence (enfin) à arriver. La séquence prend forme au soulagement de l’équipe. L’objectif des 500 enfants ne sera pas atteint, mais «ce qui compte, c’est d’avoir pu réunir du monde et donner un chouette spectacle à la télé», précise Maréchal. Les enfants pas encore en pyjama se changent et se placent. Quelques jeunes tamboureurs se joignent à la fête. Les répétitions peuvent démarrer. Les enfants respectent les consignes à la lettre. On refait la scène trois fois avant le duplex. 

Une belle réussite !

Vers 18h55, C’est le moment, c’est l’instant, Adrien Devyver lance Benjamin Maréchal. Tout se passe à la perfection, la bataille de polochon a lieu devant des centaines de milliers de téléspectateurs de La Une. À Charleroi, c’est le fou rire dans le Cube. Le pari est réussi, le défi est presque relevé ! Les enfants ont adoré la pyjama party géante.

Pendant que les musiciens se préparent pour le showcase offert par la Ville de La Louvière, Benjamin Maréchal fait quelques selfies et Zoé Vos signe des dédicaces sur des oreillers… La popularité de l’émission matinale de radio n’est pas démentie. Il est 19h30, que la fête commence !

«Plus c’est grand et plus c’est dingue, plus ça nous amuse aussi»

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

Benjamin Maréchal va prendre des cours de «combat de polochon» dans une école de judo. Ensuite, c’est la chasse aux plumes dans une ferme de Bracquenies. Paré, l’animateur revient dans le centre de La Louvière pour préparer le défi. Il est 15 heures.

Pendant que Benjamin imagine son duplex avec le réalisateur, Zoé s’affaire à construire une chambre d’enfant (avec l’aide efficace des agents communaux de la Ville). Sous le petit chapiteau, l’odeur du vin chaud en préparation se fait sentir. Les parents pourront patienter pendant que les enfants passent à la télé. 

À 16h heures les choses prennent forme. Le réalisateur et le monteur dérushent les images pour le récap’ de la journée, dans la camionnette de retransmission. Jean-Luc Fonck apparaît (vêtu de son plus beau T-Shirt avec la tête de «Bla-bla». «C’est pour les enfants !», sourit-il. «Pas sûr que les petits d’aujourd’hui s’en souviennent», lâche un technicien. Le chanteur (qui avait fait quatre albums avec la célèbre marionnette de la RTBF) répète son récital. La chambre est fin prête. Benjamin Maréchal revoit la déco. C’est quand même lui le patron !

Dernières mises au point

À 16h30, les Louviérois ne se pressent toujours pas au portillon. Les questions sur la présence des adultes sont sur toutes les lèvres. Les passants qui reviennent du marché de Noël (sur la Place Maugrétout, 50 mètres plus haut) promettent de revenir pour le direct. Benjamin va poser sa voix sur le sujet.

Gros débat sur les feux d’artifice offerts par les commerçants et qui devaient être le clou du spectacle. Les pompiers sont appelés pour consultation. Il fallait faire une demande écrite en bonne et due forme… un mois avant. C’est ballot ! Les feux seront remplacés par des bombes à confettis.

À une heure du direct, le public commence (enfin) à arriver. La séquence prend forme au soulagement de l’équipe. L’objectif des 500 enfants ne sera pas atteint, mais «ce qui compte, c’est d’avoir pu réunir du monde et donner un chouette spectacle à la télé», précise Maréchal. Les enfants pas encore en pyjama se changent et se placent. Quelques jeunes tamboureurs se joignent à la fête. Les répétitions peuvent démarrer. Les enfants respectent les consignes à la lettre. On refait la scène trois fois avant le duplex. 

Une belle réussite !

Vers 18h55, C’est le moment, c’est l’instant, Adrien Devyver lance Benjamin Maréchal. Tout se passe à la perfection, la bataille de polochon a lieu devant des centaines de milliers de téléspectateurs de La Une. À Charleroi, c’est le fou rire dans le Cube. Le pari est réussi, le défi est presque relevé ! Les enfants ont adoré la pyjama party géante.

Pendant que les musiciens se préparent pour le showcase offert par la Ville de La Louvière, Benjamin Maréchal fait quelques selfies et Zoé Vos signe des dédicaces sur des oreillers… La popularité de l’émission matinale de radio n’est pas démentie. Il est 19h30, que la fête commence !

«Plus c’est grand et plus c’est dingue, plus ça nous amuse aussi»

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

Petit rappel du principe : Benjamin Maréchal part de rien et avec rien. Il sait que sur la Place Communale de La Louvière, un concert sera organisé (avec notamment Jean-Luc Fonck) et qu’il aura une petite scène pour construire une chambre à coucher. Pas de temps à perdre, il faut rameuter les Loups et trouver du matériel.

Avec son – désormais inséparable – porte-voix, Benjamin réveille les derniers Louviérois encore au lit, en ce premier jour des vacances, en faisant des appels à la population. Direction le Shopping Cora pour avoir de quoi décorer la chambre à coucher. Le manager de l’hypermarché offre des pyjamas pour Benjamin et son équipe de choc, de la déco et des feux d’artifice pour que la fête soit au top. Un magasin de meubles prête un lit enfant, un bureau et un pouf. Quelques habitants ont entendu les appels à la radio et apportent des draps, et des tapis. La chambre commence à prendre forme.

Une course contre la montre

Benjamin Maréchal va prendre des cours de «combat de polochon» dans une école de judo. Ensuite, c’est la chasse aux plumes dans une ferme de Bracquenies. Paré, l’animateur revient dans le centre de La Louvière pour préparer le défi. Il est 15 heures.

Pendant que Benjamin imagine son duplex avec le réalisateur, Zoé s’affaire à construire une chambre d’enfant (avec l’aide efficace des agents communaux de la Ville). Sous le petit chapiteau, l’odeur du vin chaud en préparation se fait sentir. Les parents pourront patienter pendant que les enfants passent à la télé. 

À 16h heures les choses prennent forme. Le réalisateur et le monteur dérushent les images pour le récap’ de la journée, dans la camionnette de retransmission. Jean-Luc Fonck apparaît (vêtu de son plus beau T-Shirt avec la tête de «Bla-bla». «C’est pour les enfants !», sourit-il. «Pas sûr que les petits d’aujourd’hui s’en souviennent», lâche un technicien. Le chanteur (qui avait fait quatre albums avec la célèbre marionnette de la RTBF) répète son récital. La chambre est fin prête. Benjamin Maréchal revoit la déco. C’est quand même lui le patron !

Dernières mises au point

À 16h30, les Louviérois ne se pressent toujours pas au portillon. Les questions sur la présence des adultes sont sur toutes les lèvres. Les passants qui reviennent du marché de Noël (sur la Place Maugrétout, 50 mètres plus haut) promettent de revenir pour le direct. Benjamin va poser sa voix sur le sujet.

Gros débat sur les feux d’artifice offerts par les commerçants et qui devaient être le clou du spectacle. Les pompiers sont appelés pour consultation. Il fallait faire une demande écrite en bonne et due forme… un mois avant. C’est ballot ! Les feux seront remplacés par des bombes à confettis.

À une heure du direct, le public commence (enfin) à arriver. La séquence prend forme au soulagement de l’équipe. L’objectif des 500 enfants ne sera pas atteint, mais «ce qui compte, c’est d’avoir pu réunir du monde et donner un chouette spectacle à la télé», précise Maréchal. Les enfants pas encore en pyjama se changent et se placent. Quelques jeunes tamboureurs se joignent à la fête. Les répétitions peuvent démarrer. Les enfants respectent les consignes à la lettre. On refait la scène trois fois avant le duplex. 

Une belle réussite !

Vers 18h55, C’est le moment, c’est l’instant, Adrien Devyver lance Benjamin Maréchal. Tout se passe à la perfection, la bataille de polochon a lieu devant des centaines de milliers de téléspectateurs de La Une. À Charleroi, c’est le fou rire dans le Cube. Le pari est réussi, le défi est presque relevé ! Les enfants ont adoré la pyjama party géante.

Pendant que les musiciens se préparent pour le showcase offert par la Ville de La Louvière, Benjamin Maréchal fait quelques selfies et Zoé Vos signe des dédicaces sur des oreillers… La popularité de l’émission matinale de radio n’est pas démentie. Il est 19h30, que la fête commence !

«Plus c’est grand et plus c’est dingue, plus ça nous amuse aussi»

«Nous avons eu super la trouille parce qu’à 16h30, notre fausse chambre était montée, il n’y avait encore personne en pyjama sur la place», explique Benjamin Maréchal qui dresse un bilan de son escapade louviéroise. «Nous avons passé la journée à chercher des oreillers sans grande réussite. C’est difficile de sonner aux portes et demander des oreillers… Et au final, on a eu une superbe performance. Les enfants n’ont pas bataillé longtemps, mais ils l’ont fait tellement fort que le caméraman a eu la trouille pour son matériel.»

La question de la difficulté des défis proposés fait surface. «C’est clair que le challenge est là. On demande à six gars dans une camionnette d’organiser un truc de fou. Viva For Life, c’est ça : à la fois l’amusement des équipes dans le Cube, et pour nous six, plus c’est grand, plus c’est dingue et plus ça nous amuse aussi. Le but, c’est que les gens viennent et mettent quelques pièces dans la tirelire. Peu importe la mission», conclut Benjamin.

L’étape à La Louvière aura rapporté plus de 3.400 €. Le pari a été rondement relevé…

Pierre Bertinchamps

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici