[What the buzz ?!] Manuel Valls en flagrant délit de «com’» chez Laurent Ruquier (vidéo)

[What the buzz ?!] Manuel Valls en flagrant délit de «com'» chez Laurent Ruquier (vidéo)
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

C’était la sensation de ce week-end télévisé. Manuel Valls, le Premier ministre socialiste français, était l’invité politique d’«On n’est pas couché» sur France 2.

C’est d’ailleurs la première fois qu’un Premier ministre en exercice était assis dans le siège de l’invité. L’émission a connu un pic d’audiences avec 2,11 millions de téléspectateurs en France, soit presque 30% des parts de marché.

Si vous vous attendiez à du clash et de la pugnacité, c’est raté. À en croire Twitter, on sent une certaine déception de ne pas avoir vu une Léa Salamé ou un Yann Moix s’alarmer de la proposition de loi sur la déchéance de nationalité. Dès lors, les twittos ont vu un bel exercice communication de la part de Matignon.

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Et pourtant, le débat sur la déchéance de nationalité était sans aucun doute à l’origine de la présence de Valls sur le plateau de France 2.

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Mais pour sauver la réputation d’ONPC et de Catherine Barma, c’est un autre habitué de chez Ruquier qui est venu à la rescousse. Jérémy Ferrari, l’humoriste, a exprimé son mal-être face à la politique du ministre. Certes, la manière est un peu maladroite, mais le comique a eu le don de bousculer un tantinet le socialiste.

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Un autre invité a bousculé l’invité politique : l’académicien Jean dOrmesson. L’immortel a estimé que cette histoire de déchéance n’a aucun intérêt. Il a ironisé sur «l’enfumage» de la gauche qui «voudrait se rapprocher de la droite». Non sans une touche d’humour, l’écrivain estime que le Parti socialiste s’est droitisé.

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Au cours de cette interview, la question des primaires socialistes pour les Présidentielles de 2017 a été évoquée. Valls a balayé l’idée de briguer l’Élysée, estimant que François Hollande était le candidat naturel de la gauche. Une posture qui permet à Valls de ne pas dévoiler son jeu trop vite.

D’autant plus que, d’après un sondage Odoxa, Emmanuel Macron aurait la faveur des militants de gauche, et ce, devant Valls et Hollande…

Michael Scholze

Découvrez ci-dessous l’intégralité de l’intervention de Manuel Valls dans «On n’est pas couché» :

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