Antoine Donneaux s’est confié à notre journaliste David Barbet et à la juge Anne Gruwez dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez» à écouter sur Auvio.
Rencontre avec l’humoriste.
Avant de vous lancer dans l’humour, vous avez pratiqué le football. Auriez-vous pu faire carrière dans le sport ?
Pas forcément, c’était du plaisir. J’aurais bien voulu être à un niveau plus haut. J’ai eu du mal à sortir de mon club car mon père était l’entraîneur. Ça faisait de la peine à papa si je partais.
Est-ce qu’on vous a proposé de faire des chroniques dans les médias ?
J’ai remplacé Jérôme de Warzée pendant une semaine sur Vivacité. C’est un vrai travail. J’aime le travail quand c’est rentable ou si ça a du sens. Je n’aime pas voir le travail sans un intérêt personnel.
Vous vous définissez comme un humotateur. Cela veut dire quoi ?
Je suis humoriste et imitateur. C’est un mot que j’ai inventé. Je ne suis pas un spécialiste des mots. Je n’aime pas les jeux de mots.
Vous imitez énormément de personnalités françaises. Votre spectacle est-il encore accessible aux Belges ?
Oui, le spectacle n’est pas français. Je ne fais pas qu’Emmanuel Macron. Je peux faire François Damiens ou encore Jacques Brel. Il y a du belge et français.
Découvrez deux extraits de l’interview en vidéo :