Antonia de Rendinger et Vincent Taloche viennent nous présenter le gala «Cas cliniques» à voir le 16 octobre à 20h au Forum de Liège dans le cadre du Festival du rire.
Rencontre avec les humoristes.
Que va-t-on retrouver dans ce spectacle ?
Antonia de Rendinger : Il y aura beaucoup d’humoristes et de sketches. Il y aura beaucoup de personnages. On va transporter les spectateurs dans un univers. Je vais être avec Liane Foly, Giroud et Stotz, Manon Lepomme…
Vous nous présentez un spectacle intitulé « Cas cliniques ». Quelle serait votre plus belle mort si vous pouviez choisir ?
Antonia de Rendinger : Mourir sur scène. C’est un métier qui me plaît tellement.
Vincent Taloche : Henri Salvador a eu une mort incroyable. J’ai rencontré sa femme. Henri racontait une bêtise avant de s’endormir, il a eu un fou rire et il ne s’est jamais réveillé. Je rêverais d’avoir une mort comme celle-ci.
Vincent, est-ce que vous réfléchissez à faire une pause avec les frères Taloche ?
Vincent Taloche : On en parle parfois, on joue moins avec la concurrence actuelle. On réfléchit pour nos 35 ans de scène à ce qu’on peut faire.
Si je vous dis « On n’demande qu’à en rire », cela vous évoque quoi ?
Antonia de Rendinger : Cela remplit encore mes salles. C’est une comète. Je surfe encore dessus.
Vincent Taloche : Au début de l’émission, la production voulait qu’on vienne sur le plateau. Avec mon frère, on n’avait pas l’habitude de se faire noter, on ne le sentait pas. Maintenant, je pense qu’on aurait pu avoir un avis pour être dans le jury.
Vincent, pourquoi ne vous entend-t-on plus dans votre émission d’humour avec Fanny Jandrain sur Vivacité ?
Vincent Taloche : Je coûtais trop cher. La RTBF doit faire des économies. J’étais un peu triste mais cela m’a libéré du temps. Je n’ai aucune amertume.
Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :