Frank Delay (2be3) et Chris Keller (G-Squad) : «On a encore l’œil qui brille»

Franck Delay et Chris Keller entourent notre intervieweur David Barbet
David Barbet Animateur

Frank Delay (des 2be3) et Chris Keller (des G-Squad) vous proposent de revivre la génération boys bands dans un concert à Braine l’Alleud à l’Acte 3 le 20 décembre 2025. 

Rencontre avec les chanteurs. 

Vous n’étiez pas dans le même boys band. Comment sont nés vos groupes respectifs ? 

Frank Delay : Les 2be3, c’est une histoire de copains d’enfance. On avait la même passion pour le breakdance. On a fait une émission de télévision et on a signé un contrat. 

Chris Keller : Nous, on vient d’une maison de disques. On a été marketé. 

Comment avez-vous vécu l’après boys band ? 

Chris Keller : Cela ne dépend pas de l’événement mais de qui le vit. Certains l’ont mal vécu, d’autres l’ont bien vécu. Pour nous, on a encore l’œil qui brille. 

Frank Delay : J’étais papa quand on a fini les 2be3, on se remet en question. Ce n’est pas très grave de quitter un boys band, tu te remets en question et tu vas travailler. 

Pourquoi ne pas avoir tenté un retour avec votre propre boys band ? 

Frank Delay : Adel ne voulait pas chanter, Filip n’était plus là donc c’était compliqué. 

Chris Keller : Je voulais faire un truc solo car j’avais des prétentions. On était ensemble par la force des choses, on n’est pas devenu des copains. Je n’ai plus de contact avec les autres. 

Frank, vous avez participé à l’émission « Première compagnie » de TF1. Pourquoi avoir fait ça ? 

Frank : On m’avait proposé « La Ferme célébrités ». Celle-ci me correspondait bien. On m’a proposé aussi « Danse avec les stars » mais on ne s’est pas entendu sur le montant du cachet. 

Les 2be3 ont été marqués par le décès de Filip Nikolic. Comment l’avez-vous vécu ? 

Frank Delay : Filip était extrême dans ce qu’il faisait. Il ne prenait pas un cachet mais une boîte entière, et quand on mélange ça avec l’alcool…

Chris Keller : Il avait beaucoup de charisme. Il y avait une pression quand il était là. 

Retrouvez la suite de l’interview en vidéo ci-dessous :

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