Liane Foly (62 ans) revient en Belgique avec son spectacle «La Folle repart en thèse», à voir le 18 décembre 2025 à Auderghem, le 1er février 2026 à La Louvière, le 20 février à Namur et le 21 février à Bastogne.
Rencontre avec la comédienne et chanteuse.
Que va-t-on retrouver dans votre spectacle ?
C’est le chemin, le bilan. Je raconte ma vie depuis toute petite, c’est un regard assez tendre sur un choix de vie.
Est-ce que c’est un hommage à vos parents ?
Oui, c’est un hommage. On était une famille très joyeuse, ils nous ont bâti des plannings de ministre pour qu’on fasse de l’artistique. J’ai commencé à chanter à l’âge de 12 ans dans l’orchestre de mon père. Ma famille m’a poussée avec respect.
Est-ce qu’on vous a proposé de tourner dans une fiction à la télévision ?
Ça me plairait beaucoup, mais il faut intéresser les chaînes. Je ne suis pas contre. J’ai envie de venir jouer en Belgique. En France, personne ne m’a appelée pour jouer. J’ai tenté d’avoir des rendez-vous mais ça n’a pas abouti. J’aimerais avoir un rôle d’ancien agent secret avec de la comédie.
Si je vous dis l’amour, ça vous évoque quoi ?
L’amour est universel. Je le vois dans plusieurs domaines. Il faut être reconnaissant d’être en vie. Le couple ne veut pas dire grand chose me concernant. Si vous voulez savoir si je connais le grand Amour, il est en chemin, il arrive. Si je suis célibataire ? Non, je suis réservée.
Pourquoi avoir pris un pseudo ?
Je l’aime beaucoup, il est efficace. Je l’ai choisi avec André Manoukian dans un café. C’est une sœur siamoise.
Allez-vous revenir à la chanson ?
Bien sûr. Je ne vais pas faire « La Folle part à l’ehpad ». J’ai un livre à venir sur ma vie également. Je prépare aussi la suite avec des chansons.
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