Linh vient de sortir son premier album intitulé «Boîte à musique». Elle sera aussi en concert le 5 février à Bruxelles, le 12 février à Liège et le 17 mars à Mons.
Rencontre avec l’artiste française.
Si on ouvre votre boîte à musique, on peut y découvrir quoi ?
Ce sont des chansons qui évoquent l’amour avec une ambiance cinématographique. J’ai écrit avec une très grande sincérité.
Pourquoi l’amour au centre des chansons ?
C’est le moteur de ma vie, c’est naturel pour moi. Les chansons sont liées à mon histoire.
Quel est votre lien avec la Belgique ?
Mon grand-père avait des origines belges. Je travaille aussi avec des Belges concernant l’artistique de mes chansons. J’ai eu un coup de cœur pour les gens et la nourriture. C’est chaleureux.
Pourquoi avoir choisi Linh comme nom de scène ?
C’est moi. Je suis Pauline mais aussi Linh, ce n’est pas qu’un personnage. C’est aussi les ressentis et les peurs de Pauline. Je voulais absolument prendre un nom d’artiste, je voulais un truc plus stylé que Pauline. J’ai cherché pendant plusieurs années. En discutant avec un ami, on a évoqué un roman et il y a un personnage qui s’appelle Linh.
Est-ce que la jalousie a une part importante dans votre parcours ?
Quand j’étais petite, je faisais partie des chœurs d’enfants de l’Opéra de Nice. Certains enfants ont été méchants avec moi : ils se sont mis à plusieurs et m’ont frappée. C’était de la jalousie. On se moquait de moi.
Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :