Olivier Minne présente une nouvelle saison de «Fort Boyard Belgique» à voir sur Tipik. Grâce à Télépro, l’animateur a eu la surprise d’être interviewé par Déborah, une passionnée de l’émission.
Rencontre avec l’animateur.
Vous avez été très ému lors de votre dernière émission diffusée en France fin août. Avez-vous été touché par l’affection des gens via les réseaux sociaux et qu’est-ce que cela vous a fait intérieurement ?
J’ai été très surpris. On ne peut pas prendre la pleine mesure du lien entre les téléspectateurs et les animateurs. J’ai reçu environ 4.000 messages. Les témoignages m’ont bouleversé. Cela me laisse penser que certains ont trouvé une aide dans des épisodes de vie à travers mon parcours dans «Fort Boyard».
Qu’avez-vous fait de la tête de tigre offerte par Félindra ?
C’est historique. Je n’avais même pas percuté lors du tournage. Elle est partie aux États-Unis, chez moi à Los Angeles. J’ai une part du Fort dans ma campagne.
Quelle émission avez-vous préféré animer ?
J’ai trouvé des choses intéressantes dans chaque projet que j’ai accepté. Je trouvais moins de choses intéressantes quand j’ai accepté sous la contrainte. J’étais un bon soldat sur France 2. J’ai parfois été dans des souliers qui n’étaient pas à ma taille.
Qu’auriez-vous fait de votre vie si le destin n’avait pas choisi animateur télé ?
Quand j’étais petit, je voulais faire pompier, vétérinaire. Je trouvais aussi intéressant d’être naturaliste. Quand je suis arrivé à Paris, j’avais commencé une formation de théâtre. J’ai échoué sur France Télévisions comme homme à tout faire. Mon arrivée à l’antenne est un accident.
Quel conseil donneriez-vous au Olivier Minne d’il y a 20 ans ?
Ne rentre pas à la télévision. Il y a 36 ans, je ne savais pas qu’Internet allait arriver. Le monde d’aujourd’hui est compliqué mais encore plus quand on est connu. Si on avait pu me dire de ne pas mettre les doigts dans cet engrenage car il y a des surprises entre l’IA, le rapport avec la vérité et la réalité…
L’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :