Véronique Gallo s’est confiée à notre journaliste David Barbet et à la juge Anne Gruwez dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez» à écouter sur Auvio.
Rencontre avec la comédienne.
Il y a quelques semaines, vous avez posté votre nouvelle histoire d’amour sur les réseaux sociaux. Doit-on tout dire quand on devient célébre ?
Non, je ne pense pas. J’avais envie d’expliquer qu’on pouvait croire en l’amour. Après des années de célibat compliquées, l’amour m’est tombé dessus avec une femme.
Avez-vous été surprise par les réactions ?
Oui, l’amour a engendré l’amour. Je n’ai pas reçu de haine. Certains ont retrouvé goût à l’amour grâce à mon post. C’était touchant. Les gens étaient contents de voir de l’amour.
Vous avez écrit un livre sur votre grand-mère. La fin de vie est un sujet essentiel pour vous ?
Elle est partie dans des circonstances difficiles, elle a fini sa vie comme un animal. Elle était en soins palliatifs. J’aurais voulu l’aider à partir plus vite. Elle ne pesait que 37 kilos avec un cancer des os. Elle n’avait rien signé. Je lui ai dit qu’elle pouvait lâcher, qu’elle avait le droit. Elle aurait dû mourir plus tôt. Elle voulait s’accrocher à la vie. Il n’y a pas eu une messe d’enterrement. On ne fait rien chez les Gallo.
Vous avez également perdu votre papa. Quand on pense que tout va bien, est-ce le moment le plus dangereux ?
Mon père est décédé d’alcoolisme à l’âge de 54 ans. Il n’a pas été malade, il a fait une rupture œsophagienne. On l’a retrouvé dans son sang quelques jours après. Il a été alcoolique une bonne partie de sa vie, je pensais qu’il allait mieux depuis que j’étais maman.
Découvrez deux extraits vidéo de l’interview :