Victorien : «J’ai beaucoup de mal à communiquer»

Victorien © Simon Morcel
David Barbet Animateur

Révélé dans l’édition 2023 de la «Star Academy» sur TF1, Victorien vient de sortir un album intitulé «Il faudra le faire». Il sera en concert le vendredi 6 février 2026 à 20:00 au W:HALLL.

Rencontre avec l’artiste. 

Que faut-il faire en écoutant votre album ? 

Il faut déjà l’écouter, c’est déjà pas mal. Il faut se mettre dans une bulle pour revivre des souvenirs. Je me raconte beaucoup, ça vous faire revivre des souvenirs. 

Il y a une chanson autour du pardon. Avez-vous du mal à pardonner ? 

Les embrouilles me font peur, cela me fait flipper les conflits. Je peux dire oui à beaucoup de choses. Je n’ai pas de mal à pardonner car je n’arrive jamais à ce moment-là. 

Vous dites que votre « père est la personne que j’ai le plus aimé mais aussi détesté ». Expliquez-nous cette phrase. 

On a toujours eu une relation fusionnelle avec mon père. C’est un pilier dans ma vie. Il y a eu des comportements de sa part qui ont fait que c’était compliqué. J’étais très mal, j’ai été déscolarisé à cause d’une phobie scolaire pendant deux ans. Je faisais des malaises car je n’avais plus d’oxygène dans le sang. Cela a créé des tensions entre nous. Aujourd’hui, on communique mieux. 

Est-ce que tous les enseignements de la «Star Academy» sont vraiment bons à prendre ? 

Oui, je suis resté peu de temps dans l’émission. C’était du bon à garder. Au premier prime, time on apprend à tenir un micro, on part de zéro. 

Si je vous dis la vie amoureuse, ça vous évoque quoi ? 

Complexe. Je tombe très vite amoureux mais cela ne dure pas longtemps. Je suis un amoureux express. Je suis tout seul, cela me va très bien. J’ai beaucoup de mal à communiquer, cela me porte préjudice. Généralement, je coupe la relation. 

Après votre participation à la «Star Academy», vous avez pu goûter à la vie parisienne. Est-ce une bonne chose ? 

Je n’ai pas fait les bons choix à ce moment-là. Je suis beaucoup sorti, à faire la fête. Il y a un jour, j’ai eu mal au crâne en lendemain de soirée, c’était un déclic pour revenir à la musique. Je ne sors plus tous les soirs, c’est bien mieux comme ça. 

Retrouvez la suite et l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :

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