7 idées reçues sur les parfums

7 idées reçues sur les parfums

Combien de temps se conserve un parfum ? Si vous ne le sentez plus, une fois porté, est-ce un signe qu’il est fait pour vous ? Entre croyances et rumeurs populaires, difficile de savoir à quels effluves se vouer. Voici, à vue de nez, les clichés les plus célèbres qui entourent vos fragrances préférées. L’occasion pour vous de vous mettre au parfum !

Les idées reçues se propagent plus vite qu’une traînée de poudre. Les prendre pour argent comptant pourrait nuire à vos choix en matière de parfum. Pour ne plus tomber dans le piège, voici 7 fausses vérités à avoir à l’esprit lorsque vous choisirez la senteur de votre vie.

1. Les grains de café ont le pouvoir de vous «rincer» le nez

Dans la plupart des parfumeries, vous pouvez trouver des grains de café à respirer entre deux parfums. Vos naseaux délicats ne peuvent que se sentir flattés par tant d’attention soudaine. Or cette complaisance futile est vaine ! Le café n’a pour but que de faire diversion et non de «désaturer» vos capteurs olfactifs peu habitués à renifler autant d’odeurs. En cas de surmenage olfactif, le mieux est encore d’aller faire un tour dehors durant quelques minutes. Puis de revenir avec des narines fraîches.

 

7. Un parfum ne se garde pas plus de 3 ans

Tout dépend de votre méthode de conservation. Si vous exposez le flacon à la lumière, la chaleur et l’humidité, c’est le combo gagnant pour qu’il se dégrade rapidement. Par contre, s’il est bien protégé dans sa boîte, que vous le refermez après chaque utilisation et qu’il n’est pas soumis aux variations de températures, alors il pourra se conserver longtemps. L’indication de 36 mois est avant tout une couverture juridico-légale pour l’industrie. Il n’est nul meilleur juge que votre nez pour savoir si vous pouvez continuer à vous asperger sans crainte, une fois la date fatidique passée. Une précaution toutefois s’impose : si le flacon n’a pas été utilisé depuis longtemps, veillez à actionner la pompe plusieurs fois à vide pour purger le parfum contenu dans le tube. Et n’en récolter que le nectar intact.

Giuseppa Cosentino

 

6. Les premières secondes sont les plus importantes

Vous auriez tort de croire au coup de foudre olfactif ! Un parfum qui provoque immédiatement en vous un artifice de bonheur peut s’avérer, à la longue, nauséabond. Avant de vous précipiter à la caisse, prenez le temps d’analyser l’évolution de votre essence convoitée. Retournez, si possible, plusieurs fois au magasin. Si l’exhalaison vous plaît toujours autant, vous saurez qu’elle vous colle réellement à la peau.

 

7. Un parfum ne se garde pas plus de 3 ans

Tout dépend de votre méthode de conservation. Si vous exposez le flacon à la lumière, la chaleur et l’humidité, c’est le combo gagnant pour qu’il se dégrade rapidement. Par contre, s’il est bien protégé dans sa boîte, que vous le refermez après chaque utilisation et qu’il n’est pas soumis aux variations de températures, alors il pourra se conserver longtemps. L’indication de 36 mois est avant tout une couverture juridico-légale pour l’industrie. Il n’est nul meilleur juge que votre nez pour savoir si vous pouvez continuer à vous asperger sans crainte, une fois la date fatidique passée. Une précaution toutefois s’impose : si le flacon n’a pas été utilisé depuis longtemps, veillez à actionner la pompe plusieurs fois à vide pour purger le parfum contenu dans le tube. Et n’en récolter que le nectar intact.

Giuseppa Cosentino

 

4. Mon parfum ne sent rien

Il peut arriver que certaines senteurs soient un peu timides ou s’évaporent assez rapidement. Question de goût. Mais quid de l’essence intense que vous aviez choisie avec soin et qui, à présent, vous paraît insipide ? Il est coutume d’affirmer que si on ne sent plus son propre parfum, c’est que l’on a trouvé «le bon». C’est en partie vrai. Nous développons une sorte d’accoutumance olfactive à notre propre odeur et, par conséquent, à notre parfum. Si nous ne le sentons plus, c’est parce que nos récepteurs olfactifs s’y habituent et en deviennent saturés. Signe que le parfum convient parfaitement. Car vous pourriez tout aussi bien éprouver une forme d’aversion au fil du temps. Même pour un parfum avec lequel tout avait si bien commencé… Dès lors, si votre fragrance devient à votre museau insignifiante, n’en profitez pas pour mettre la double dose. Pensez à vos collègues !

5. Si un parfum se vend bien, c’est forcément une valeur sûre 

Il est fréquent de débarquer dans une parfumerie les narines en peine. Et de se ruer sur les senteurs célèbres astucieusement mises en avant dans les vitrines. Il serait tentant de penser alors : «Ces parfums qui plaisent tant sont certainement des must have pour toutes fashionistas qui se respectent.» Grave erreur. Les parfums mis sur un piédestal sont avant tout calibrés pour se vendre et bénéficient d’un matraquage publicitaire ahurissant. Sans penser que les senteurs les mieux notées sont souvent les plus sucrées, les plus gourmandes et, surtout, les plus familières… À l’inverse, des parfums très réussis sont rarement des succès commerciaux. Évidemment, cela ne signifie pas qu’un parfum peu vendu soit un chef-d’œuvre. Nous ne sommes hélas pas à l’abri de nombreuses aberrations pour le nez… Conclusion : ne vous fiez pas aux stratégies marketing et n’ayez pas peur de tester les parfums de fond de vitrine.

 

6. Les premières secondes sont les plus importantes

Vous auriez tort de croire au coup de foudre olfactif ! Un parfum qui provoque immédiatement en vous un artifice de bonheur peut s’avérer, à la longue, nauséabond. Avant de vous précipiter à la caisse, prenez le temps d’analyser l’évolution de votre essence convoitée. Retournez, si possible, plusieurs fois au magasin. Si l’exhalaison vous plaît toujours autant, vous saurez qu’elle vous colle réellement à la peau.

 

7. Un parfum ne se garde pas plus de 3 ans

Tout dépend de votre méthode de conservation. Si vous exposez le flacon à la lumière, la chaleur et l’humidité, c’est le combo gagnant pour qu’il se dégrade rapidement. Par contre, s’il est bien protégé dans sa boîte, que vous le refermez après chaque utilisation et qu’il n’est pas soumis aux variations de températures, alors il pourra se conserver longtemps. L’indication de 36 mois est avant tout une couverture juridico-légale pour l’industrie. Il n’est nul meilleur juge que votre nez pour savoir si vous pouvez continuer à vous asperger sans crainte, une fois la date fatidique passée. Une précaution toutefois s’impose : si le flacon n’a pas été utilisé depuis longtemps, veillez à actionner la pompe plusieurs fois à vide pour purger le parfum contenu dans le tube. Et n’en récolter que le nectar intact.

Giuseppa Cosentino

 

2. Un parfum varie en fonction du type de peau

Qui n’a jamais dit ou entendu cette phrase : «J’adoooore ce parfum, mais sur mon amie, pas sur moi.» Comme si de mystérieuses substances à la surface de notre peau se jetaient à l’assaut d’un parfum pour l’anéantir convenablement. Il est vrai que l’épiderme comporte une flore bactérienne qui en fait l’unicité. De même que notre transpiration, notre sébum, nos habitudes alimentaires, notre hygiène… influencent la tenue d’un parfum. Mais de là à transformer une merveilleuse senteur en une puanteur maléfique, le propos est quelque peu exagéré.

3. Les parfums de grandes marques sont les meilleurs

L’on pense bien souvent, à tort, qu’il faut nécessairement investir dans un Dior, un Chanel ou encore un Guerlain, pour avoir un gage de qualité. Or il n’en est rien. La différence de prix ne se justifie pas par la qualité du parfum mais elle est plutôt liée aux frais de marketing qui entourent le précieux fluide. Lorsque vous choisissez un parfum, tâchez de faire abstraction de la réputation du produit et laissez-vous guider par votre flair.

 

4. Mon parfum ne sent rien

Il peut arriver que certaines senteurs soient un peu timides ou s’évaporent assez rapidement. Question de goût. Mais quid de l’essence intense que vous aviez choisie avec soin et qui, à présent, vous paraît insipide ? Il est coutume d’affirmer que si on ne sent plus son propre parfum, c’est que l’on a trouvé «le bon». C’est en partie vrai. Nous développons une sorte d’accoutumance olfactive à notre propre odeur et, par conséquent, à notre parfum. Si nous ne le sentons plus, c’est parce que nos récepteurs olfactifs s’y habituent et en deviennent saturés. Signe que le parfum convient parfaitement. Car vous pourriez tout aussi bien éprouver une forme d’aversion au fil du temps. Même pour un parfum avec lequel tout avait si bien commencé… Dès lors, si votre fragrance devient à votre museau insignifiante, n’en profitez pas pour mettre la double dose. Pensez à vos collègues !

5. Si un parfum se vend bien, c’est forcément une valeur sûre 

Il est fréquent de débarquer dans une parfumerie les narines en peine. Et de se ruer sur les senteurs célèbres astucieusement mises en avant dans les vitrines. Il serait tentant de penser alors : «Ces parfums qui plaisent tant sont certainement des must have pour toutes fashionistas qui se respectent.» Grave erreur. Les parfums mis sur un piédestal sont avant tout calibrés pour se vendre et bénéficient d’un matraquage publicitaire ahurissant. Sans penser que les senteurs les mieux notées sont souvent les plus sucrées, les plus gourmandes et, surtout, les plus familières… À l’inverse, des parfums très réussis sont rarement des succès commerciaux. Évidemment, cela ne signifie pas qu’un parfum peu vendu soit un chef-d’œuvre. Nous ne sommes hélas pas à l’abri de nombreuses aberrations pour le nez… Conclusion : ne vous fiez pas aux stratégies marketing et n’ayez pas peur de tester les parfums de fond de vitrine.

 

6. Les premières secondes sont les plus importantes

Vous auriez tort de croire au coup de foudre olfactif ! Un parfum qui provoque immédiatement en vous un artifice de bonheur peut s’avérer, à la longue, nauséabond. Avant de vous précipiter à la caisse, prenez le temps d’analyser l’évolution de votre essence convoitée. Retournez, si possible, plusieurs fois au magasin. Si l’exhalaison vous plaît toujours autant, vous saurez qu’elle vous colle réellement à la peau.

 

7. Un parfum ne se garde pas plus de 3 ans

Tout dépend de votre méthode de conservation. Si vous exposez le flacon à la lumière, la chaleur et l’humidité, c’est le combo gagnant pour qu’il se dégrade rapidement. Par contre, s’il est bien protégé dans sa boîte, que vous le refermez après chaque utilisation et qu’il n’est pas soumis aux variations de températures, alors il pourra se conserver longtemps. L’indication de 36 mois est avant tout une couverture juridico-légale pour l’industrie. Il n’est nul meilleur juge que votre nez pour savoir si vous pouvez continuer à vous asperger sans crainte, une fois la date fatidique passée. Une précaution toutefois s’impose : si le flacon n’a pas été utilisé depuis longtemps, veillez à actionner la pompe plusieurs fois à vide pour purger le parfum contenu dans le tube. Et n’en récolter que le nectar intact.

Giuseppa Cosentino

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