L’iPad mini 3, la mauvaise farce d’Apple

L’iPad mini 3, la mauvaise farce d’Apple
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Quasi identique à son aïeul, le troisième iPad mini fait à peine plus pour beaucoup plus cher.

Brièvement présenté ce jeudi 16 octobre au cœur d’une soirée dominée par l’introduction en grande pompe de l’iPad Air 2, l’iPad mini 3 complète la famille des tablettes Apple dotées d’un écran tactile d’une diagonale de 7,9 pouces (20 centimètres).

Cette intronisation à la sauvette est tout sauf anodine

Sur papier, quasiment rien ne distingue l’iPad mini 2 de l’iPad mini 3.

À la comparaison des fiches techniques, on relève la présence du même écran, du même processeur, du même capteur photographique.

Seule différence notable : le lecteur d’empreinte digitale, facturé au prix fort, très fort.

Selon les modèles, de 100 à 150 € supplémentaires seront nécessaires pour acquérir le troisième iPad mini au détriment du deuxième. Ça fait cher le déverrouillage de l’appareil par empreinte digitale en lieu et place du code secret.

La pilule est plutôt amère à avaler

L’iPad mini 3 est le seul iPad mini disponible en doré, en supplément du gris et de l’argent, et dans des capacités de stockage de 64 et 128 gigas.

Georges Lekeu

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