Nos cinq plus belles découvertes au Brussels Summer Festival

Nos cinq plus belles découvertes au Brussels Summer Festival

Quoi de mieux qu’un festival pour découvrir de nouvelles personnalités plus talentueuses les unes que les autres ?

Permettre les découvertes, c’est notamment l’un des objectifs du Brussels Summer Festival qui nous proposait, en fin de semaine passée, un large panel d’artistes belges, français, internationaux et même en développement. Voici nos cinq coups de cœur. 

Glauque, pourtant pas si glauque

C’était la deuxième fois que l’on croisait le groupe belge en festival et même Typh Barrow nous en avait parlé lors de notre interview à Ronquières, il y a quelques jours. Glauque est définitivement le groupe qui marquera notre été. Avec un univers très sombre, le band expose ses pulsions et questionnements à travers des textes métaphoriquement écrits. Sur scène, le son monte au cours des chansons, les jeux de lumières et les stroboscopes fusent. L’ensemble nous laisse penser que la relève de Fauve est assurée !

 

Olivier Desmet
 

 

L’harmonie fantasque de The Pirouettes

Si vous n’étiez pas présents ce dimanche en début de soirée au Brussels Summer Festival, imaginez un couple, avec un univers céleste et des allures des Rita Mitsouko modernisés pour avoir un aperçu du concert de The Pirouettes. Les textes et le rythme des titres forment un tout entrainant et déroutant. Les deux voix des chanteurs s’entremêlent dans les sonorités électroniques des instruments placés au milieu de la scène. Inutile de rappeler qu’en tant qu’artiste, il est important d’oser et d’être original, dans tous les cas le défi est relevé pour ce duo français hors du commun.

 

Olivier Desmet
 

 

Peace and love, sur la planète Kikesa

On a parlé de folie sur scène ? Comme si MØ et Kikesa s’étaient concertés pour offrir deux shows tous deux aussi fous et énergiques. Kikesa est probablement un des artistes les plus décalés de sa génération. Avec un univers minutieusement construit et une personnalité pourtant si spontanée, l’artiste originaire de Nancy propose un show désinvolte, presque psychédélique par l’énergie, au travers une interprétation impressionnante de compositions singulières.

 

L’harmonie fantasque de The Pirouettes

Si vous n’étiez pas présents ce dimanche en début de soirée au Brussels Summer Festival, imaginez un couple, avec un univers céleste et des allures des Rita Mitsouko modernisés pour avoir un aperçu du concert de The Pirouettes. Les textes et le rythme des titres forment un tout entrainant et déroutant. Les deux voix des chanteurs s’entremêlent dans les sonorités électroniques des instruments placés au milieu de la scène. Inutile de rappeler qu’en tant qu’artiste, il est important d’oser et d’être original, dans tous les cas le défi est relevé pour ce duo français hors du commun.

 

Olivier Desmet
 

 

MØ ou faire différemment que les autres

Ce qui est certain c’est que MØ sait comment se démarquer de ses confrères dans le paysage musical. En débutant son show dans le frontstage, entre la scène, le public et les photographes, l’interprète de « Lean on » a salué ses fans de la première heure sous le soleil de Bruxelles. Mais au bout de leurs bras, la chanteuse danoise a aussi eu l’occasion de leur dire au revoir sur son tube « Final song ». Pendant plus d’une heure, rien n’a arrêté le talent d’une MØ puissante et infatigable.

 

Peace and love, sur la planète Kikesa

On a parlé de folie sur scène ? Comme si MØ et Kikesa s’étaient concertés pour offrir deux shows tous deux aussi fous et énergiques. Kikesa est probablement un des artistes les plus décalés de sa génération. Avec un univers minutieusement construit et une personnalité pourtant si spontanée, l’artiste originaire de Nancy propose un show désinvolte, presque psychédélique par l’énergie, au travers une interprétation impressionnante de compositions singulières.

 

L’harmonie fantasque de The Pirouettes

Si vous n’étiez pas présents ce dimanche en début de soirée au Brussels Summer Festival, imaginez un couple, avec un univers céleste et des allures des Rita Mitsouko modernisés pour avoir un aperçu du concert de The Pirouettes. Les textes et le rythme des titres forment un tout entrainant et déroutant. Les deux voix des chanteurs s’entremêlent dans les sonorités électroniques des instruments placés au milieu de la scène. Inutile de rappeler qu’en tant qu’artiste, il est important d’oser et d’être original, dans tous les cas le défi est relevé pour ce duo français hors du commun.

 

Olivier Desmet
 

 

Lonepsi, tout en sobriété 

Pas besoin de beaucoup d’artifices pour faire briller ce rappeur français sur scène. Voyageant entre l’électro et ses quelques notes au piano, le jeune homme s’accompagne sur scène que d’un seul musicien pour mettre en lumière ses textes poétiques et mélancoliques. Son regard ténébreux séduit le public qui fredonne les paroles du chanteur. Nous vous conseillons vivement les titres « Ma dernière chanson triste » et « Le loup des steppes ».

 

MØ ou faire différemment que les autres

Ce qui est certain c’est que MØ sait comment se démarquer de ses confrères dans le paysage musical. En débutant son show dans le frontstage, entre la scène, le public et les photographes, l’interprète de « Lean on » a salué ses fans de la première heure sous le soleil de Bruxelles. Mais au bout de leurs bras, la chanteuse danoise a aussi eu l’occasion de leur dire au revoir sur son tube « Final song ». Pendant plus d’une heure, rien n’a arrêté le talent d’une MØ puissante et infatigable.

 

Peace and love, sur la planète Kikesa

On a parlé de folie sur scène ? Comme si MØ et Kikesa s’étaient concertés pour offrir deux shows tous deux aussi fous et énergiques. Kikesa est probablement un des artistes les plus décalés de sa génération. Avec un univers minutieusement construit et une personnalité pourtant si spontanée, l’artiste originaire de Nancy propose un show désinvolte, presque psychédélique par l’énergie, au travers une interprétation impressionnante de compositions singulières.

 

L’harmonie fantasque de The Pirouettes

Si vous n’étiez pas présents ce dimanche en début de soirée au Brussels Summer Festival, imaginez un couple, avec un univers céleste et des allures des Rita Mitsouko modernisés pour avoir un aperçu du concert de The Pirouettes. Les textes et le rythme des titres forment un tout entrainant et déroutant. Les deux voix des chanteurs s’entremêlent dans les sonorités électroniques des instruments placés au milieu de la scène. Inutile de rappeler qu’en tant qu’artiste, il est important d’oser et d’être original, dans tous les cas le défi est relevé pour ce duo français hors du commun.

 

Olivier Desmet
 

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