Surprises spatiales

Image extraite du documentaire «Les Conquérants de l'espace», à voir ce samedi sur La Trois © RTBF/Roche Productions

Samedi à 20h35 avec le documentaire «Les Conquérants de l’espace», La Trois lève la tête vers les étoiles et retrace l’incroyable élan humain pour conquérir les cieux. Une histoire qui réserve aussi son lot d’infos insolites !

En 1957, le bip de Spoutnik révèle au monde entier le premier satellite soviétique mis en orbite. En 1961, Youri Gagarine est le premier homme à voler dans l’espace. Huit ans plus tard, les Américains posent le pied sur la Lune. Aujourd’hui, on attend toujours le décollage d’Artemis 1, prélude à un nouveau programme de retour vers le satellite de la Terre et, au-delà, d’une probable expédition vers Mars.

Le triste destin de la chauve-souris

La conquête spatiale a son lot d’invraisemblances et d’anecdotes plutôt insolites. On se souvient du président Nixon s’adressant aux astronautes de retour de la Lune à travers la vitre d’un bus pressurisé, car on craignait qu’ils aient ramené les germes d’une maladie mortelle.

Et que dire de cette malheureuse chauve-souris blessée et agrippée au réservoir de la navette Discovery et qui décolla avec elle en 2009 ? Et puis il y a ces fameuses plaques qui voyagent dans l’espace depuis cinquante ans. Représentant un couple humain et des signes géométriques, elles doivent signifier l’existence de la Terre au cas où elles tomberaient aux mains d’une autre civilisation intelligente. Elles devraient même survivre à l’extinction du Soleil…

Découvrez ces plaques :

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Larme à l’œil

Mieux vaut n’avoir pas la larme facile quand on est en apesanteur, car elle flotterait dans le compartiment spatial au lieu de coller à la joue. Un drame fut évité en 2011 lorsque l’astronaute américain Andrew Feustel, sorti de la Station spatiale internationale pour remplacer des câbles, a vu une boule de larmes de plus en plus grosse se former sous son œil.

Problème : avec le casque, impossible de s’essuyer… En se contorsionnant, il a finalement pu atteindre une sorte d’éponge fixée dans le casque et qui sert aux astronautes à se pincer le nez lorsqu’ils doivent réajuster la pression interne et avec laquelle il a pu régler le souci.

Beatles dans l’éternité

Le 4 février 2008, la chanson des Beatles «Across the Universe» fut radiodiffusée dans l’espace intersidéral vers l’Étoile polaire à une vitesse de 300.000 kilomètres par seconde pour fêter les 50 ans de la Nasa. Par contre, il faudrait aux potentiels extraterrestres un équipement de réception adéquat pour l’écouter : il n’y a aucun son dans l’espace, vu qu’il n’y a pas d’air pour transporter les ondes sonores.

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Parfum stellaire

L’espace a-t-il une odeur ? Il semble que oui, selon les visiteurs de l’ISS… Un mélange de steak trop cuit, de métal chaud, mais aussi de framboise et de rhum. La Nasa a d’ailleurs développé un parfum baptisé Eau de Space, destiné à familiariser les astronautes avec cette senteur spécifique, et un autre, Eau de Luna aux fragrances lunaires.

Notre satellite révèle des relents de brûlé, voire de poudre à canon, qui émanent de la poussière collée aux semelles des rares chanceux qui l’ont foulé. À ce propos, les empreintes qu’ils ont laissées à la surface pourraient survivre jusqu’à la disparition de l’astre, à moins d’être effacées par la chute d’une météorite.

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Golf lunaire

Si vous êtes golfeur et si vous voulez épater vos partenaires en leur contant vos exploits, amenez vos clubs sur la Lune. Comme Alan Shepard en 1971, lors de la mission Apollo 14, prenez votre «drive» et vous serez étonné de voir votre balle filer grâce à la faiblesse de la gravité. Nul doute que vos amis auront de la peine à vous croire devant la vantardise d’un tel exploit. 

Découvrez la vidéo : 

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Cet article est paru dans le Télépro du 13/10/2022

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