«The Voice Belgique» saison 8 : alors on change !

«The Voice Belgique» saison 8 : alors on change !
Pierre Bertinchamps Journaliste

La RTBF annonce quelques modifications dans la mécanique de «The Voice», avec notamment la règle du coach bloqué.

C’est parti pour la 8e saison de «The Voice Belgique» ! Le coup d’envoi des enregistrements des «Blinds» a eu lieu le week-end dernier. En 10 sessions, 106 talents vont tenter leur chance pour intégrer l’aventure et faire chavirer le cœur (et les oreilles) d’un coach pour qu’il se retourne, séduit par une voix. À l’inscription, ils étaient 1.650 dans les starting-blocks.

Premier changement, et il est de taille, c’est l’absence de BJ Scott. La Mamma fait une «pause». Si le reste du banc des coaches (Vitaa, Slimane et Matthew Irons) rempile, Typh Barrow arrive. La jeune bruxelloise semble bien intégrée dans l’équipe et dans le jeu. «C’est assez spécial d’arriver comme seule nouvelle coach», confie la chanteuse. «Je débarque dans un groupe où il y a déjà une dynamique bien installée. On sent très vite passer les énergies et les private jokes».

Le reste de la compétition ne change pas. La 8e salve de «The Voice Belgique» se composera de 16 numéros (6 «Blinds», 4 «Duels», 5 «Lives» et la finale). Le lancement est prévu pour le mois de janvier 2019, sur La Une, et devrait tenir les téléspectateurs en haleine jusqu’aux portes de l’Eurovision, en mai… Tiens, et que devient Valentine Brognion, la lauréate de l’édition 2018 ?

Pierre Bertinchamps

Après 7 saisons, un petit lifting du décor s’imposait. La grande main argentée fait place à son double en lumières led. Pareil pour le décor en tant que tel où les noms des coaches qui se retournent apparaissent au sol (comme en France). On peut plus facilement jouer avec des codes couleurs pour donner des indications aux talents (rouge, vert,…)

Le reste de la compétition ne change pas. La 8e salve de «The Voice Belgique» se composera de 16 numéros (6 «Blinds», 4 «Duels», 5 «Lives» et la finale). Le lancement est prévu pour le mois de janvier 2019, sur La Une, et devrait tenir les téléspectateurs en haleine jusqu’aux portes de l’Eurovision, en mai… Tiens, et que devient Valentine Brognion, la lauréate de l’édition 2018 ?

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Chaque coach a droit à ce «joker» durant la phase des «Blinds». En cas d’extrême malchance, un coach peut se prendre les trois blocages de ses voisins. Cette mécanique apporte un peu de piment à l’aventure, et elle peut aussi avoir sa vengeance lors des «Duels». Par exemple, Slimane pourra tenter de récupérer le talent qui lui est passé sous le nez, grâce à la règle du talent volé… Mais honnêtement, le chanteur français n’y croit pas beaucoup : «quand vous avez une telle personne dans votre équipe, c’est pour la garder le plus longtemps possible. Je ne pense pas une seule seconde qu’on la lâchera aussi facilement !» On verra…

Du changement, il y en aura aussi pour Maureen Louys. La «Family Room», où les proches du talent suivent les opérations en coulisses, se trouve désormais en bord de scène. L’objectif est d’apporter plus de proximité entre les coaches et la famille sur place, histoire de mettre la pression surtout s’ils ne buzzent pas. Émotions garanties !

«C’est positif pour nous», décrit Vitaa. «Ça nous donne l’opportunité d’aller au contact de la famille. Lors d’un autre enregistrement, un talent était venu avec sa femme et son bébé. C’était mignon ! Et un vrai plus…» Vu du public, on est un peu moins enthousiaste mais il faudra juger sur le rendu à l’antenne.

Après 7 saisons, un petit lifting du décor s’imposait. La grande main argentée fait place à son double en lumières led. Pareil pour le décor en tant que tel où les noms des coaches qui se retournent apparaissent au sol (comme en France). On peut plus facilement jouer avec des codes couleurs pour donner des indications aux talents (rouge, vert,…)

Le reste de la compétition ne change pas. La 8e salve de «The Voice Belgique» se composera de 16 numéros (6 «Blinds», 4 «Duels», 5 «Lives» et la finale). Le lancement est prévu pour le mois de janvier 2019, sur La Une, et devrait tenir les téléspectateurs en haleine jusqu’aux portes de l’Eurovision, en mai… Tiens, et que devient Valentine Brognion, la lauréate de l’édition 2018 ?

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Après cinq sessions de «Blinds», Typh Barrow confesse être toujours en phase d’observation. À l’image de BJ Scott, elle n’a pas beaucoup buzzé, le jour de notre passage dans le public. «Ce n’était pas un bon jour», sourit la chanteuse. De son côté, Leslie Cable parle d’un équilibre identique sur le banc des coaches, malgré l’absence de la taulière. «Typh Barrow ne remplace pas BJ», insiste la productrice de l’émission pour la RTBF. «On l’a choisie par rapport aux trois autres personnalités. Que ce soit pour le genre musical ou l’âge. Pour nous, il était important que le banc des coaches soit riche.»

Télépro en parlait déjà hier, la Belgique prend la nouvelle règle du «coach bloqué», testée au printemps dernier aux États-Unis. Le principe est simple : si plusieurs fauteuils se retournent durant une prestation, l’un des coaches peut empêcher son collègue de prendre le talent dans son équipe. Lors de l’enregistrement, cette mésaventure est arrivée à Slimane qui en a beaucoup voulu à son camarade pour cette «trahison».

Chaque coach a droit à ce «joker» durant la phase des «Blinds». En cas d’extrême malchance, un coach peut se prendre les trois blocages de ses voisins. Cette mécanique apporte un peu de piment à l’aventure, et elle peut aussi avoir sa vengeance lors des «Duels». Par exemple, Slimane pourra tenter de récupérer le talent qui lui est passé sous le nez, grâce à la règle du talent volé… Mais honnêtement, le chanteur français n’y croit pas beaucoup : «quand vous avez une telle personne dans votre équipe, c’est pour la garder le plus longtemps possible. Je ne pense pas une seule seconde qu’on la lâchera aussi facilement !» On verra…

Du changement, il y en aura aussi pour Maureen Louys. La «Family Room», où les proches du talent suivent les opérations en coulisses, se trouve désormais en bord de scène. L’objectif est d’apporter plus de proximité entre les coaches et la famille sur place, histoire de mettre la pression surtout s’ils ne buzzent pas. Émotions garanties !

«C’est positif pour nous», décrit Vitaa. «Ça nous donne l’opportunité d’aller au contact de la famille. Lors d’un autre enregistrement, un talent était venu avec sa femme et son bébé. C’était mignon ! Et un vrai plus…» Vu du public, on est un peu moins enthousiaste mais il faudra juger sur le rendu à l’antenne.

Après 7 saisons, un petit lifting du décor s’imposait. La grande main argentée fait place à son double en lumières led. Pareil pour le décor en tant que tel où les noms des coaches qui se retournent apparaissent au sol (comme en France). On peut plus facilement jouer avec des codes couleurs pour donner des indications aux talents (rouge, vert,…)

Le reste de la compétition ne change pas. La 8e salve de «The Voice Belgique» se composera de 16 numéros (6 «Blinds», 4 «Duels», 5 «Lives» et la finale). Le lancement est prévu pour le mois de janvier 2019, sur La Une, et devrait tenir les téléspectateurs en haleine jusqu’aux portes de l’Eurovision, en mai… Tiens, et que devient Valentine Brognion, la lauréate de l’édition 2018 ?

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Comme l’an dernier, Slimane et Matthew se taquinent toujours beaucoup, surtout quand une plus belle voix est en jeu. Mais Vitaa ne se laisse pas conter fleurette par les deux tempéraments de joueurs, et sait mieux se défendre, cette année.

«Il faut trouver sa place, ce n’est pas évident», confie Typh. «En même temps, ils sont toujours bienveillants avec moi, et ils m’aiguillent très bien, en cas de questions ou de doutes.» Typh Barrow se prend rapidement au jeu des petites piques et des battles entre coaches. «De chouettes échanges où je m’amuse beaucoup», conclut-elle.

Après cinq sessions de «Blinds», Typh Barrow confesse être toujours en phase d’observation. À l’image de BJ Scott, elle n’a pas beaucoup buzzé, le jour de notre passage dans le public. «Ce n’était pas un bon jour», sourit la chanteuse. De son côté, Leslie Cable parle d’un équilibre identique sur le banc des coaches, malgré l’absence de la taulière. «Typh Barrow ne remplace pas BJ», insiste la productrice de l’émission pour la RTBF. «On l’a choisie par rapport aux trois autres personnalités. Que ce soit pour le genre musical ou l’âge. Pour nous, il était important que le banc des coaches soit riche.»

Télépro en parlait déjà hier, la Belgique prend la nouvelle règle du «coach bloqué», testée au printemps dernier aux États-Unis. Le principe est simple : si plusieurs fauteuils se retournent durant une prestation, l’un des coaches peut empêcher son collègue de prendre le talent dans son équipe. Lors de l’enregistrement, cette mésaventure est arrivée à Slimane qui en a beaucoup voulu à son camarade pour cette «trahison».

Chaque coach a droit à ce «joker» durant la phase des «Blinds». En cas d’extrême malchance, un coach peut se prendre les trois blocages de ses voisins. Cette mécanique apporte un peu de piment à l’aventure, et elle peut aussi avoir sa vengeance lors des «Duels». Par exemple, Slimane pourra tenter de récupérer le talent qui lui est passé sous le nez, grâce à la règle du talent volé… Mais honnêtement, le chanteur français n’y croit pas beaucoup : «quand vous avez une telle personne dans votre équipe, c’est pour la garder le plus longtemps possible. Je ne pense pas une seule seconde qu’on la lâchera aussi facilement !» On verra…

Du changement, il y en aura aussi pour Maureen Louys. La «Family Room», où les proches du talent suivent les opérations en coulisses, se trouve désormais en bord de scène. L’objectif est d’apporter plus de proximité entre les coaches et la famille sur place, histoire de mettre la pression surtout s’ils ne buzzent pas. Émotions garanties !

«C’est positif pour nous», décrit Vitaa. «Ça nous donne l’opportunité d’aller au contact de la famille. Lors d’un autre enregistrement, un talent était venu avec sa femme et son bébé. C’était mignon ! Et un vrai plus…» Vu du public, on est un peu moins enthousiaste mais il faudra juger sur le rendu à l’antenne.

Après 7 saisons, un petit lifting du décor s’imposait. La grande main argentée fait place à son double en lumières led. Pareil pour le décor en tant que tel où les noms des coaches qui se retournent apparaissent au sol (comme en France). On peut plus facilement jouer avec des codes couleurs pour donner des indications aux talents (rouge, vert,…)

Le reste de la compétition ne change pas. La 8e salve de «The Voice Belgique» se composera de 16 numéros (6 «Blinds», 4 «Duels», 5 «Lives» et la finale). Le lancement est prévu pour le mois de janvier 2019, sur La Une, et devrait tenir les téléspectateurs en haleine jusqu’aux portes de l’Eurovision, en mai… Tiens, et que devient Valentine Brognion, la lauréate de l’édition 2018 ?

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