Philippe Geluck : «Je ne voulais pas mettre en danger l’histoire d’une vie pour une histoire d’un soir»

Philippe Geluck entouré de notre journaliste David Barbet et de la juge Anne Gruwez © DR
David Barbet Animateur

Philippe Geluck s’est confié à notre journaliste David Barbet et à la juge Anne Gruwez dans le cadre du podcast « Face à la juge Gruwez» à écouter sur Auvio. 

Rencontre avec le dessinateur.

Vous étiez autrefois animateur télé. Pourquoi ne pas refaire cet exercice ? 

J’ai été animateur télé pour « Lollipop » de 1979 à 1985 et pour « L’Esprit de famille » entre 1985 et 1988, puis j’ai quitté ce rôle. Je suis devenu chroniqueur, je n’étais plus le capitaine du navire et je me suis senti très bien dans ce rôle-là. On m’a proposé plusieurs fois de reprendre des émissions comme animateur en Belgique et en France. On m’a proposé un jeu quotidien sur France Télévisions, mais ce n’est plus ça que j’ai envie de faire. 

Pensez-vous à la retraite ? 

Non, mais là où je dois m’améliorer, c’est dans le temps consacré à ma famille. 

Dans votre carrière, avez-vous déjà fauté ? 

J’ai sûrement été maladroit quelques fois. On pense toujours à la faute originelle quand on parle d’une faute. Je suis un mari amoureux de sa femme et fidèle depuis quarante-sept ans. Avec la télévision en France, il y a eu des sollicitations mais j’ai toujours décliné. Je ne voulais pas mettre en danger l’histoire d’une vie pour une histoire d’un soir . 

Vous voyez la vie comme quelque chose de court. D’où cela vous vient-il ?

De l’enfance. J’avais des angoisses dans mon lit à l’âge de 8 ans. J’ai eu un camarade d’école qui est mort très jeune dans un accident de voiture, j’ai compris que sa vie avait été trop courte. 

Philippe Geluck propose son nouvel album du chat intitulé : « Le Chat et les 40 bougies »

Découvrez un extrait de l’interview en vidéo :

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