Génération Guignols
L'ère Sarkozy/Guéant fut la grande époque de la police. Dans les Guignols, l'ancien président de la République n'hésitait pas intervenir lui-même pour casser du voyou. Et aux Etats-Unis ? De l'autre côté de l'Atlantique, c'est bien sûr l'incontournable Monsieur Sylvestre qui fait régner la loi et l'ordre.
Génération Guignols
Marie-José Pérec fut une grande athlète, mais aussi une personnalité publique bavarde. Elle ne pouvait pas ne pas avoir de marionnette. Pour cette dernière, la chasse aux médaille n'avait pas plus d'importance que la chasse aux sponsors.
Génération Guignols
Sans liberté d'expression, pas de Guignols. Tout le monde a son avis sur la question : Pierre Lescure, Ségolène Royal, George Bush, Monsieur Sylvestre, et même Johnny, qui lui, n'est pas Charlie, puisqu'il s'appelle Johnny. Et le couple présidentiel Sarkozy/Bruni, comment gèrent-ils la critique ?
Génération Guignols
Les retraites font partie des sujets de préoccupation des Français, qui se demandent s'ils auront de quoi vivre pour leurs vieux jours. L'ennui, c'est que ceux qui sont chargés de les y aider, les politiques, ne connaissent ce problème que par ouï-dire. Les Guignols en ont profité pour leur faire enfiler des perles.
L'humour de sa vie
Dans la salle du théâtre Grévin, Raphaël Mezrahi a proposé à Claude Lelouch de revenir sur son parcours à partir d'une question fondatrice : "Qu'est ce qui le fait rire ?". L'occasion pour lui de partager les archives de son Panthéon du rire : extraits de films, sketches cultes, caméras cachées préférées, souvenirs de radio ou de télé mémorables, et de faire découvrir ce qui l'a inspiré dans sa carrière.
Fernandel, l'homme au sourire
On l'a appelé Topaze, Ignace, Barnabé, Iréné, Don Camillo, Ali Baba, Crésus, Simplet ou même dieu. Il a été groom, troufion, chef, roi, vétérinaire, prêtre, prisonnier, épicier et même le Schpountz. Durant une quarantaine d'années de carrière, Fernandel marque le cinéma français sans jamais se départir de son sourire généreux, devenu légendaire.
Les trésors de Raphaël Mezrahi
Né en 1935, Popeck est devenu Popeck en 1978, pour monter son premier one man show. Il était loin d'être un débutant lors de ce spectacle filmé en 1987, que Raphaël Mezrahi a retrouvé. A l'époque, son style était déjà bien en place. Déjà en costume trois pièces, il avait à son actif une belle galerie de personnages pittoresques.
Popeck : fini de rire, on ferme !
Avec son accent yiddish, son chapeau melon, son caractère grognon et surtout son humour légendaire, Popeck offre un dernier tour de piste. L'artiste revient sur scène entouré de ses objets fétiches qui l'ont accompagné tout au long de sa carrière : une guitare, une redingote, un caleçon molletonné, un glaive et une balance, une mégère (pas apprivoisée), et un menu de chez Maxim's.
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Toujours inspiré, Aymé a noué une liaison à hauts risques avec Adeline, la fille d'un mafieux plutôt inquiétant, qui ne supporte pas la contradiction et, pire encore, voue une adoration sans limites à sa progéniture. En fait, l'infortuné amant ne demande qu'à rompre, mais comment s'y prendre ?
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Aymé découvre dans un magazine un test sur la sexualité qui, pense-t-il, a été rempli par Charlotte. Ayant épluché les résultats, il décide de se faire tatouer pour séduire la jeune femme. En réalité, c'est le professeur Strauss qui a répondu au questionnaire. Et le tatouage d'Aymé lui plaît énormément...
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Un homme politique tombe dans le coma entre les deux tours des élections présidentielles. Sabri, son sosie tout craché, le remplace au pied levé et, contre toute attente, remporte haut la main le scrutin. Devenu président de la République, il déclenche par mégarde une catastrophe nucléaire...