Historiquement Show
Jean-Christophe Buisson reçoit Bruno Fuligni pour " Le fabuleux héritage du roi de Madagascar " (Éditions du Trésor) et Danièle Georget pour " Carmen des grands boulevards " (Robert Laffont). Éric Pincas d'Historia, présente le dossier le mois.
Nazis, la fabrique du mal
L'architecte Albert Speer fut mandaté par Hitler pour concevoir de nombreux bâtiments censés incarner le pouvoir national-socialiste : gros plan sur son parcours.
Nazis, la fabrique du mal
Une réflexion circonstanciée sur le parcours de Josephe Goebbels, l'un des plus puissants dignitaires nazis, un homme éduqué et a priori civilisé.
Nazis, la fabrique du mal
Un regard sur le parcours de Werner von Braun, jeune scientifique doué, dont l'ambition l'a conduit à abandonner tout sens moral pour poursuivre son rêve de vol spatial.
Nazis, la fabrique du mal
Heinrich Himmler fut l'un des plus hauts dignitaires du Troisième Reich, l'un des artisans de la politique de terreur et d'extermination nazies.
Rideau de fer, l'occupation soviétique
En février 1945, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l'URSS se réunissent à Yalta afin de s'accorder sur le futur de l'Europe. Staline, en position de force grâce à ses succès militaires, rassure les dirigeants occidentaux en s'engageant à organiser des élections démocratiques dans les territoires libérés par l'Armée rouge. En réalité, il va profiter du chaos ambiant pour étendre sa toile.
Rideau de fer, l'occupation soviétique
En décembre 1949, le camp soviétique célèbre les 70 ans de son chef tout-puissant. Dans tous les "pays frères", des "villes de Staline" voient le jour, rebaptisées ou construites à la faveur de chantiers titanesques. Si l'Armée rouge s'est désormais retirée en URSS, le Kremlin continue de superviser les régimes voisins. La jeunesse joue les fers de lance des grandes campagnes politiques.
Rideau de fer, l'occupation soviétique
La disparition de Staline ouvre une ère de contestation inédite dans les "démocraties populaires". En juin 1953, des ouvriers du bâtiment en lutte pour leurs salaires arrêtent le travail sur des chantiers de Berlin-Est, et s'attaquent aux symboles du pouvoir aux côtés de milliers de manifestants. Dépassé, le gouvernement est-allemand en appelle aux Soviétiques pour écraser le soulèvement.