Mystères d'archives
Buffalo Bill, célèbre chasseur de bisons et éclaireur, révèle une facette méconnue dans des images filmées entre 1894 et 1916. Ces archives montrent ses relations amicales avec des chefs amérindiens, contrastant avec son rôle dans les guerres indiennes. Son spectacle, le Wild West Show, mettant en scène cow-boys et Amérindiens, a influencé le western et contribué à faire connaître cette culture autochtone.
Narbonne, la seconde Rome
Colonisée au Ier siècle avant J.-C., la gallo-romaine Narbo Martius, dans l'Aude, était la capitale d'une vaste province d'Occitanie, la Narbonnaise. Sa proximité avec la Méditerranée, via le canal de la Robine, en a fait l'une des plus importantes plaques tournantes du commerce maritime entre Rome et ses colonies, au point qu'elle fut surnommée "la seconde Rome".
Autun, les vestiges de la Rome gauloise
Autun, une petite ville de Bourgogne à l'apparence tranquille, possède pourtant un passé bien établi. Dans l'Antiquité, Autun se nommait Augustodunum, c'était l'une des capitales les plus grandes et les plus spectaculaires de la Gaule romaine, si prestigieuse qu'on la surnomma la Rome gauloise. Elle présentait des monuments exceptionnels comme le deuxième plus grand théâtre du monde romain.
Baux-de-Provence : la cité révélée
Retour sur l'épopée de la cité des Baux-de-Provence, une des plus anciennes constructions féodales d'Europe : un château érigé il y a plus de onze siècles.
En guerre(s) pour l'Algérie
Brahim, chauffeur de car, assiste dans les Aurès, le 1er novembre 1954, à l'assassinat de deux passagers. Cet attentat, signé par le FLN, compte parmi les dizaines qui éclatent ce jour-là sur tout le territoire algérien. Il marque le début de la guerre d'indépendance. Installée depuis 1830 en Algérie, la France coloniale est restée sourde aux alertes. Elle ignore encore qu'elle est condamnée.
En guerre(s) pour l'Algérie
Exécutions, tortures, rafles, déplacements de populations : la France réprime la révolte en Algérie, galvanisant plus encore les indépendantistes. Après l'attaque de villages coloniaux en août 1955 qui cause 120 morts, les massacres de 10 000 civils algériens attisent le feu de l'insurrection. Le Parlement vote au gouvernement de Guy Mollet les pouvoirs spéciaux et permet la mobilisation du contingent.
En guerre(s) pour l'Algérie
Brahim, chauffeur de car, assiste dans les Aurès, le 1er novembre 1954, à l'assassinat de deux passagers. Cet attentat, signé par le FLN, compte parmi les dizaines qui éclatent ce jour-là sur tout le territoire algérien. Il marque le début de la guerre d'indépendance. Installée depuis 1830 en Algérie, la France coloniale est restée sourde aux alertes. Elle ignore encore qu'elle est condamnée.
En guerre(s) pour l'Algérie
En 1959, Charles de Gaulle est de retour au pouvoir. Accueilli en homme providentiel par les partisans de l'Algérie française, il lance à Alger son célèbre "Je vous ai compris !". Pendant ce temps, le FLN crée un Gouvernement provisoire de la République algérienne et ouvre un second front en métropole. A la fin de l'année 1959, le calme semble cependant devenir sur le terrain. Pour combien de temps ?
En guerre(s) pour l'Algérie
Si l'armée française maintient la pression, de Gaulle décide de laisser aux Algériens le choix de leur destin en organisant un référendum. A Alger, des ultras de l'Algérie française, s'estimant trahis, se révoltent. Ils organisent des manifestations qui dégénèrent. La guerre tourne au conflit entre Français. Les premières négociations du gouvernement gaulliste avec le GPRA sont dans l'impasse.
En guerre(s) pour l'Algérie
Après la victoire du "oui", les partisans les plus radicaux de l'Algérie française fondent l'OAS, qui multiplie les attentats. A Paris, la marche pacifique du 17 octobre 1961 vire au massacre. A la suite des négociations entre la France et le GPRA, qui se concluent par les accords d'Evian, le cessez-le-feu entre en vigueur le 19 mars 1962. Français d'Algérie, militaires et harkis quittent le territoire.
Déclics
Les êtres humains ont appris à manipuler des nombres si grands que tous les livres du monde ne suffiraient pas à les contenir. Cet épisode plonge dans l'histoire des mathématiques.
C'est un complot !
Christophe Bourseiller revient sur les nombreuses, et parfois délirantes, théories qui expliquent l'assassinat du président américian John Fitzgerald Kennedy.