C'est un complot !
Pour les "platistes", la Terre est plate, ceinturée d'une barrière de glace qui empêche l'eau des océans de couler. Ils prétendent que la science et la technique moderne mentent.
Le mystère des Incas : des origines à la chute
Fondateur de la civilisation inca, Manco Capac pose les bases d'une puissance qui s'épanouit au XVe siècle. Son successeur Pachacutec transforme ce royaume en véritable empire. Il révolutionne l'architecture avec le Machu Picchu, étend son territoire au-delà de Cuzco et instaure une théocratie solaire. Du lac Titicaca aux Andes chiliennes, son héritage témoigne de cette remarquable civilisation...
Le mystère des Incas : des origines à la chute
Sous le règne de Tupac Yupanqui, la civilisation inca atteint son apogée territoriale. Par la guerre et la diplomatie, il annexe les territoires côtiers du Pacifique. Depuis sa capitale, Cuzco, il instaure une administration complexe avec un vaste réseau routier et des centres de gestion. Son système comptable unique, basé sur des cordes nouées, permet de diriger ce territoire jusqu'au désert d'Atacama.
Enfants du Soleil
Au Guatemala, la forêt tropicale dissimule les vestiges d'une ancienne cité maya érigée il y a 4000 ans : El Mirador. De nouvelles technologies laser ont récemment permis de dévoiler l'immensité de la ville. La population, rassemblant quelque 250 000 individus, était organisée selon une stricte hiérarchie. Dotés de grandes bibliothèques, les Maya avaient accumulé un immense savoir scientifique.
Enfants du Soleil
Les Aztèques ont commencé à bâtir leur empire autour du XIIIe siècle. C'est sur une île, située sur le lac Texcoco, qu'ils ont érigé la cité de Tenochtitlán, qui deviendra leur capitale. Mais les Aztèques étaient avant tout des conquérants. Arrivé au Mexique au XVIe siècle, le conquistador espagnol Hernán Cortés trouvera sans peine des alliés parmi les autochtones pour renverser l'empereur Moctezuma II.
Enfants du Soleil
Au XVe siècle, dans la cordillère des Andes, les Incas sont parvenus à édifier un vaste empire. Dans cette société où le sacré occupait une place prépondérante, de nombreux sacrifices humains étaient pratiqués. Avec leurs temples recouverts d'or, les Incas ont éveillé l'intérêt des Européens, à commencer par l'explorateur espagnol Francisco Pizarro, venu conquérir l'empire au XVIe siècle.
La guerre des As
Hiver 1914. La Grande Guerre s'enlise dans les tranchées. Pour le maréchal Joffre, "l'aviation n'est plus uniquement un outil de reconnaissance". La bataille de Verdun, en 1916, fait basculer les hostilités. La maîtrise du ciel devient capitale. L'industrie aéronautique se met à produire des avions par centaines. Guynemer et von Richthofen deviennent des héros populaires en multipliant les victoires.
La guerre des As
Quand ils sont en permission, les héros de l'aviation paradent et festoient. Ce vedettariat exaspère les soldats des tranchées, dont la presse ne parle jamais. En septembre 1917, Guynemer est abattu. René Fonck, qui n'a de cesse de le venger, mène la "charge des aviateurs", en 1918, au-dessus de la Somme : une bataille qui disloque l'offensive allemande, réconciliant les poilus avec les aviateurs alliés.
V2, la fusée nazie
L'analyste britannique Reginald Victor Jones tente de contrer le missile V2, tandis que le scientifique allemand Wernher von Braun voit ses ambitions spatiales détournées vers la guerre. Le soldat américain James Hamill mène l'opération Paperclip pour capturer les cerveaux allemands. Cette course technologique et stratégique entre trois nations transformera profondément l'histoire de la conquête spatiale.
Pearl Harbor, le monde s'embrase
Le 7 décembre 1941, à 7h53, le Japon lance une attaque surprise contre la flotte américaine ancrée dans la base de Pearl Harbor. Mais, loin d'être intimidés et de rechercher la paix avec Tokyo, comme l'espéraient les dirigeants nippons, les Américains font bloc autour du président Roosevelt et entrent en guerre, tournant majeur dans l'histoire du conflit.
Historiquement Show
Jean-Christophe Buisson reçoit Andreï Kozovoï pour " Les exilés " (Grasset) et Christian Curtil pour " L'honneur des miens " (Plon). Nicolas Chaudun chronique l'exposition " Jacques-Louis David ".