39-45 en couleur : Vers la victoire
Fin 1942, l'Amérique entre en guerre en Afrique du Nord, où les Britanniques combattent les Allemands et les Italiens pour le contrôle du canal de Suez.
39-45 en couleur : Vers la victoire
Espérant une victoire rapide, les Alliés envahissent l'Italie en septembre 1943. Mais les combats se transforment rapidement en une campagne sanglante.
Espionnes au coeur de la Seconde Guerre mondiale
Les destins de six femmes entrées dans l'armée secrète de Winston Churchill : Vera Atkins, Virginia Hall, Mathilde Carré, Noor Inayat Khan, Yvonne Cormeau et Yolande Beekman.
Espionnes au coeur de la Seconde Guerre mondiale
De la résistante belge Andrée de Jongh à la célèbre Joséphine Baker, retour sur le destin de ces femmes qui ont risqué leur vie pour leur pays.
Tanks, rois des champs de bataille
L'Etat-major allemand conçoit l'opération Citadelle, une vaste offensive sur le front russe mobilisant près de 50% des forces blindées du Reich dont un nouvel engin, le Panzer V, Panther. Sur le champ de bataille de Koursk vont s'affronter pas moins de 6000 chars soviétiques et allemands. Un véritable combat de titans.
Tanks, rois des champs de bataille
A partir de janvier 1942, les Etats-Unis conçoivent des chars légers et moyens à un niveau industriel. Le but est de noyer l'adversaire sous un raz de marée de blindés.
Une si belle époque ! La France d'avant 1914
Les quelques années qui séparent le début du XXe siècle de la Première Guerre mondiale furent comme une parenthèse heureuse, idéalisée plus tard avec nostalgie sous le nom de "Belle Epoque". Des images, aujourd'hui restaurées permettent de redécouvrir ce moment artistique intense au coeur d'une société qui aimait par dessus tout rire et prendre du plaisir à toute chose, malgré les difficultés.
Les mensonges de l'histoire
En 1979, deux hommes prétendent avoir mis au point une technologie capable de détecter les gisements de pétrole depuis un avion. La société d'extraction pétrolière Elf, se jette alors sur le projet, soutenue par le Président de la République de l'époque Valéry Giscard d'Estaing, qui finance les "avions renifleurs" à hauteur de 400 millions de francs.